Burn-out : mieux le connaître pour mieux le prévenir 

Burn-out : mieux le connaître pour mieux le prévenir 

Burn-out : comment le prévenir afin de l'éviter ? Votre coach Pascale Garnier vous livre ses précieux conseils!

Le burn-out, on en parle beaucoup ces dernières années, mais sans toujours savoir de quoi il s’agit exactement. En 2021, près de 2 millions de personnes ont déclaré souffrir du syndrome du burn-out. Il s’agit donc bien d’un mal latent au sein de notre société. Alors est-ce que certains profils sont plus à risque ou est-ce que tout le monde peut être un jour concerné ? Quels sont les signes avant-coureurs ? Peut-on enrayer cet état de mal-être une fois qu’il commence à se manifester ?

Mieux connaître le burn-out, tout en restant à l’écoute de soi, permet de mieux le prévenir.

Qu’est-ce que le burn-out ?

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le burn-out se définit comme « un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail ».

Le burn-out ou épuisement professionnel est donc en lien direct avec le travail, fréquemment source de stress chronique.

Aux origines du burn-out

Cet état de stress au travail crée un déséquilibre entre la pression subie et les ressources (intérieures et extérieures) dont vous disposez pour l’affronter.

Les sources de stress au travail sont multiples.

Quels sont ces signes qui vous permettent de prévenir le burn-out ? Soyez vigilants au stress que vous ressentez ! S'écouter est essentiel !

Certaines sont indépendantes de vous :

  • Manque d’autonomie, 
  • Sentiment de déséquilibre entre les efforts fournis et la reconnaissance obtenue (salaire, estime, respect, etc.), 
  • Mauvaise communication, 
  • Manque de soutien de la part de votre hiérarchie ou de vos collègues… 
  • Surcharge de travail.

D’autres sont inhérentes à vous-même :

  • Attentes élevées envers vous-même, perfectionnisme : vous vous mettez la pression et vous en arrivez à oublier les priorités, 
  • Tendance à mettre le travail au centre de votre vie,
  • Difficultés à déléguer ou à travailler en équipe…

Vous ressentez alors la situation comme une menace et cela vous déstabilise. Progressivement, vous déployez une énergie grandissante pour accomplir votre travail, sans toutefois être satisfait. Les frustrations s’accumulent et des symptômes physiques ou psychologiques peuvent apparaître.

Reconnaître les signes précurseurs d’un burn-out

Les symptômes sont nombreux et assez diversifiés. Ils peuvent être aussi bien physiques que psychologiques.

Symptômes physiques :

  • Fatigue persistante, 
  • Troubles du sommeil : cauchemars à répétition, Insomnies, addiction aux somnifères, 
  • Douleurs chroniques (maux de dos, douleurs musculaires, migraines…), 
  • Infections plus fréquentes (rhume, otite…), 
  • Problèmes digestifs, ulcères d’estomac, 
  • Problèmes cutanés (eczéma, mycoses…),
  • Troubles cardiaques (pouls élevé, hypertension artérielle),
  • Variation de poids,
  • Développement de certaines addictions (tabac, alcool, nourriture, sport…).

Symptômes psychologiques :

  • Démotivation permanente par rapport au travail, 
  • Instabilité émotionnelle : irritabilité, colères spontanées, pleurs fréquents, 
  • Cynisme et sentiment de frustration, 
  • Sentiment d’échec, de ne pas être à la hauteur,
  • Baisse de la confiance et de l’estime de soi,
  • Détérioration du rapport aux autres, besoin d’isolement,
  • Anxiété, inquiétude et insécurité, 
  • Difficultés de concentration,
  • Pertes de mémoire, 
  • Difficulté à être clairvoyant, indécision, confusion, 
  • Pensées suicidaires parfois dans les cas les plus graves.
Prêtez attention à tous ces symptômes afin de prévenir le burn-out ! Si ces signes se manifestent de manière simultanée, alors il convient d’être sur vos gardes !

Le burn-out est un syndrome multifactoriel : si vous souffrez d’un des symptômes listés précédemment, cela ne signifie pas nécessairement que vous êtes victime de burn-out. En revanche, si plusieurs de ces signes se manifestent de manière simultanée, il convient d’être sur vos gardes ! Combien de cases avez-vous cochées ?

Alors comment procéder pour ne pas en arriver là ?

Est-il possible de prévenir le burn-out si des signes avant-coureurs se sont déjà manifestés ?

Comment prévenir le burn-out ?

Vous sentez que votre travail prend beaucoup de place dans votre esprit et que vous avez du mal à faire face ? Voici quelques conseils qui pourraient bien vous aider à sortir la tête de l’eau :
  • Si vous vous sentez surchargé ou débordé, établissez la liste de vos priorités et voyez comment vous pourriez déléguer. Apprendre à déléguer est un très bon moyen de prévenir le burn-out.
  • Fixez-vous des objectifs atteignables pour éviter la frustration et le sentiment d’échec.
  • Fixez des limites raisonnables à votre engagement professionnel et veillez à ne pas tomber dans un perfectionnisme envahissant.
  • Apprenez à reconnaître les situations qui vous stressent, afin d’essayer de les prévenir ou de les éviter. 
  • Réfléchissez avant d’accepter une mission et de vous retrouver surchargé de travail. Apprenez à dire « non ». 
  • Évitez de comparer vos performances à celles de vos collègues ou de vous lancer dans une compétition pour ne pas entamer la confiance en soi.
Voici par ailleurs une liste de questions à vous poser pour approfondir votre réflexion et votre introspection lorsque le travail vous pèse et que vos soucis professionnels commencent à interférer négativement avec votre vie quotidienne : 
Ce n'est pas parce que vous avez plusieurs symptômes que vous souffrez du burn-out. Voici les questions qu'il faut également se poser ! N'hésitez pas à consulter un spécialiste !
  • Quelle est la place du travail dans votre vie ? Est-elle en accord avec la place que vous aimeriez lui accorder ?
  • Quelles sont les raisons de votre mal-être au travail ?
  • Pourquoi êtes-vous si sensible à ces situations et à ces événements ? Quels effets ont-ils sur vous ?
  • Comment pouvez-vous modifier vos conditions de travail pour éviter que ces situations ne se produisent, ou pour diminuer leur impact négatif sur votre bien-être ?
  • Pourquoi n’avez-vous pas encore réussi à modifier vos conditions de travail ? Quels sont les freins qui vous ont empêché de le faire ?
  • Pouvez-vous raisonnablement demander à votre employeur de modifier certaines de vos conditions de travail ?
  • Les choses seraient-elles plus faciles si vous changiez d’employeur ? Quelle est votre part de responsabilité dans les raisons de votre mal-être ?
Et lorsque les premiers symptômes évocateurs d’un burn-out apparaissent, il n’est pas trop tard pour agir. Pour enrayer le phénomène, voici quelques précieux conseils :
  • Ne gardez pas vos soucis pour vous, mais parlez-en à vos proches ou à des personnes qui connaissent le même type de problème. Écoutez ce qu’ils ont à vous dire et acceptez d’être soutenu. L’isolement contribue à l’épuisement émotionnel.
  • Soyez à l’écoute des signaux physiques et psychiques que votre corps vous envoie.
  • Ralentissez votre rythme, prenez du temps pour vous, apprenez à faire des pauses, renouez avec la vie sociale, faites du sport… 
  • Efforcez-vous de relativiser ce qui se présente à vous et séparez autant que possible votre vie professionnelle de votre vie personnelle.
  • Au besoin, faites-vous accompagner par un professionnel pour comprendre les causes de votre mal-être, restaurer l’estime de vous-même, apprendre à mieux communiquer de manière constructive, définir des objectifs réalistes et valorisants, redéfinir les priorités, apprendre à planifier et à déléguer…

«Structure, clarté, transparence, bienveillance ont été au rendez-vous de ce coaching enrichissant et fortifiant ! Merci à Pascale, car elle a changé ma vie ! Elle m’a redonné confiance en moi et m’a donné tous les outils nécessaires pour être sereine et mieux armée. Grâce à elle j’ai mûri et changé complètement de vision des choses. Elle a été d’une aide incroyable et pour cela je ne pourrai jamais la remercier assez !» – Agathe

Ayez toujours à l’esprit que vous êtes la personne la plus importante au monde… Pour vous-même et que prendre soin de vous n’est pas une option !

+ Lien vers vidéo burn-out

Témoignage – direction Vannes

Angèle, profession libérale, est sous pression, croule sous les missions, s’en veut de ne pas pouvoir toutes les mener à bien, a un sommeil agité, pique des crises de colère, s’en prend à son entourage sans raisons apparentes, a des douleurs articulaires, a un regard de bête « traquée », a du mal à se concentrer et reconnaît qu’elle « n’imprime » plus…

Dans l’accompagnement, elle prend conscience de sa mise en danger d’elle-même, alors qu’elle doit se montrer solide car elle élève seule sa fille.

Nous travaillons ensemble à restaurer l’estime d’elle-même et repensons l’organisation de ses journées. Plus tard, elle a reconnu « être passée près ». Elle a ralenti la cadence en prenant conscience qu’elle arrive à absorber les mêmes tâches avec un décalage raisonnable dans le temps sans que cela nuise à sa clientèle qu’elle a appris à discipliner aussi.

Le burn-out peut toucher tout le monde, personne n'est à l'abri ! Suivez les conseils de votre coach afin de le prévenir le plus tôt possible !
L’hypnose, au coeur des préjugés

L’hypnose, au coeur des préjugés

Votre coach Pascale Garnier vous explique ce qu'est réellement l'hypnose, cette méthode qui soigne un grand nombre de patients !

L’hypnose. Vous en avez forcément entendu parler d’une manière ou d’une autre mais sans toujours savoir de quoi il s’agit exactement. Elle fait d’ailleurs bien souvent l’objet de tous les fantasmes et a priori. Entre supercherie et manipulation, magie et sorcellerie pour les plus extrêmes, solution alternative ou encore véritable outil de mieux-être pour d’autres…

Même si son fonctionnement précis conserve quelques mystères, il est scientifiquement avéré que l’hypnose présente de nombreux bienfaits. C’est la raison pour laquelle nous vous proposons dans cet article de vous aider à démêler le vrai du faux.

Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : l’hypnose ne laisse personne indifférent. Il y a ceux qui y croient, ceux qui l’ont déjà expérimentée, les convaincus, les curieux, les sceptiques, les méfiants, les opposants… Et vous, où vous situez-vous ? 

  • Mini-test
L’hypnose, au cœur des préjugés (typeform.com) : L’hypnose, au coeur des préjugés

1/ Pensez-vous connaître l’hypnose ? 

  • Oui
  • Non

2/ Pour vous, l’hypnose c’est :

  • Une expérience spectaculaire menée par un illusionniste 
  • Une pratique obscure dont il faut se méfier
  • Une aide précieuse pour aller de l’avant

3/ Selon vous, l’hypnose peut s’assimiler à :

  • Une forme de sommeil
  • Une transe incontrôlable
  • Un état d’attention renforcée

4/ Cochez les cases qui vous paraissent justes. Lorsque l’on est hypnotisé :

  • On devient à la merci de l’hypnothérapeute
  • On court le risque de ne plus se réveiller
  • On reste conscient durant toute la séance
  • On ne se souvient plus de rien après 
  • On peut mettre fin à l’état d’hypnose quand on le souhaite

5/ Aimeriez-vous vivre l’expérience de l’hypnose ?

  • Oui
  • Non
  • Peut-être

L’hypnose en 5 idées reçues

Idée reçue n°1 – L’hypnose relève du surnaturel 

L’hypnose n’est en réalité qu’une pratique thérapeutique qui permet au praticien d’aider son patient à modifier sa perception et ainsi lui permettre d’accéder à son subconscient et trouver les clés pour dépasser ses problèmes.

La technique de l’hypnose est enseignée dans le cadre de formations destinées principalement à des psychologues, coachs en développement personnel ou psychiatres qui souhaitent enrichir leurs compétences pour accompagner au mieux les personnes qui les consultent ou au personnel médical en complément des traitements plus communément utilisés. Rien à voir avec de la magie donc.

Idée reçue n°2 – L’hypnose est une forme de sommeil dont nous pouvons ne plus sortir

Même si l’étymologie semble indiquer le contraire (« hypnos » signifiant « sommeil » en grec), l’hypnose n’est en rien un état de sommeil. Il s’agit plutôt d’un état modifié de conscience, une expérience hybride entre un état de rêverie et de relaxation dont nous faisons l’expérience au quotidien, et une veille intense, d’attention très forte à nos propres perceptions.  

Ainsi, puisque l’on ne dort pas, impossible de ne pas se réveiller !

S’il n’est pas entretenu, l’état d’hypnose diminue petit à petit jusqu’à disparaître de lui-même.

Idée reçue n°3 – L’hypnothérapeute peut nous manipuler

Voici une idée ancrée dans l’imaginaire collectif qui fait écho à l’hypnose de spectacle, bien connue de tous !

En état hypnotique, le cerveau présente des capacités de jugement et d’analyse différentes. L’hypnose offre un accès au subconscient mais ne permet en aucun cas de vous faire agir contre votre gré ou à l’encontre de vos valeurs. Une séance d’hypnose peut être interrompue à tout instant par la personne qui reste entièrement maître de ses comportements.

Le rôle de l’hypnothérapeute est de vous accompagner jusqu’à l’état de conscience modifié et durant toute la séance en vous suggérant des images ou des changements. Les ressentis et visualisations serviront ensuite de base d’analyse pour comprendre l’origine de vos problèmes et parvenir à les surmonter.

Idée reçue n°4 – L’hypnose ne fonctionne que sur ceux qui y croient

D’après une étude menée à l’université de Stamford, seule 5% de la population ne serait pas réceptive à l’hypnose. Les 95 % restants peuvent donc répondre à l’hypnose, à condition néanmoins d’avoir le désir d’essayer et d’établir une relation de confiance avec le thérapeute. Tout dépend aussi de l’habileté de ce dernier à accompagner son patient vers ce qui capte naturellement son attention.

Toutefois, il arrive parfois que certaines personnes ne parviennent pas du premier coup à lâcher prise et à plonger dans un état hypnotique. Ce n’est pas parce qu’il n’y sera pas parvenu une fois qu’il n’y parviendra jamais. D’ailleurs, plus on pratique l’hypnose ou l’auto-hypnose, plus il est aisé d’ouvrir à chaque fois davantage notre porte vers le subconscient.

Et saviez-vous que, de manière tout à fait naturelle, nous nous plongeons nous-même en état hypnotique sans même nous en rendre compte, et ce, environ toutes les 90 minutes ?

Idée reçue n°5 – L’hypnose peut être une expérience traumatisante

L’hypnothérapie est orientée en priorité sur les ressources du patient et non sur ses problèmes et dans la majorité des cas, l’hypnose se révèle une expérience agréable. Toutefois, elle peut parfois faire ressurgir des souvenirs désagréables, mais cela a précisément une fonction thérapeutique. En effet, ces derniers constituent un excellent levier pour identifier l’origine d’un mal-être. Dans ce cas, ce moment pénible n’est que transitoire puisqu’il est un tremplin pour rebondir, surmonter les difficultés et avancer. 

L’hypnose n’est donc pas une pratique dangereuse dont il faut se méfier. Au contraire, elle peut présenter de nombreux avantages et vous offrir une introspection particulièrement riche en enseignements, pour mieux vous connaître, mieux vous accepter et vivre plus en harmonie avec vous-même. Mais toutes les typologies d’hypnose ne se valent pas et ne sont pas destinées aux mêmes objectifs. Tour d’horizon.

+ lien vers vidéo témoignage Se laisser glisser tout en gardant son libre arbitre

Il y a hypnose et hypnose…

Il existe différentes typologies d’hypnose, pratiquées selon l’objectif recherché ou selon le type de problématique à prendre en charge.

L’hypnose classique

Aussi appelée « hypnose directe », elle est la technique la plus ancienne, à l’origine des mécanismes fondamentaux de l’hypnose. Cette pratique directive vise à plonger le patient dans un état hypnotique en lui donnant des ordres. Elle provoque des effets immédiats puisque la personne est en position de soumission. 

  • L’hypnose médicale

Dans la sphère médicale, l’hypnose classique est de plus en plus utilisée pour guérir ou accélérer psychologiquement le processus de guérison d’un traumatisme, d’un trouble ou d’une douleur physique. Elle permet aussi d’aider le patient à gérer son stress en préparation d’une intervention par exemple. Elle est en ce sens très efficace. 

  • L’hypnose de spectacle

Dans le domaine du spectacle, elle est destinée à divertir un public : l’hypnotiseur agit sur des personnes pour leur faire faire un peu tout et n’importe quoi dans un but uniquement récréatif. 

Ceci n’est évidemment pas une option pour l’hypnothérapeute dont l’objectif est clair : aider son patient à dépasser un mal-être et lui donner les clés pour aller de l’avant et poursuivre le plus sereinement possible son chemin de vie.

Depuis son émergence au 18ème siècle sous l’influence du médecin allemand Franz-Anton Mesmer, la pratique de l’hypnose classique a été complétée et améliorée.

L’hypnose Ericksonienne

L’Hypnose Ericksonienne est née en 1937 de son concepteur Milton Erickson, psychiatre américain qui a bouleversé le monde de la thérapie. Elle est devenue la référence des hypnoses actuelles.

Cette pratique permet à la personne de contourner ses barrières conscientes (la logique ou la raison) et sa résistance pour atteindre son subconscient. Il peut alors mobiliser ses ressources internes afin de trouver une solution et résoudre ses problèmes qui peuvent pourtant lui sembler insolubles. L’hypnose Ericksonienne se base sur un état modifié de conscience, cet état que l’on expérimente tous chaque jour, quand on se sent « dans la lune ». Respectueux des valeurs intrinsèques du patient, le praticien se met à l’écoute et adapte son langage pour amplifier cet état, inviter la personne à l’introspection, la guider à l’aide de métaphores et suggestions indirectes pour la mener vers les changements désirés. Le changement doit venir de la personne elle-même, véritable partie prenante de son développement personnel.

Cette technique de l’hypnose Ericksonienne présente l’avantage d’offrir des résultats très nets à courte échéance. Elle est particulièrement recommandée pour agir sur les dépendances et les angoisses, dépasser ses peurs, renouer avec l’estime et la confiance en soi, gérer le stress, le mal-être, les difficultés relationnelles, lever les blocages émotionnels… 

« Bien plus qu’un accompagnement, un cheminement intérieur guidé par la bienveillance et le professionnalisme de Pascale. Cela m’a offert un changement de perspective et d’angle de vue. Une expérience à vivre et à partager ! » – Diane

Témoignage – Direction Biarritz

Margot, 40 ans, chef d’entreprise à Biarritz, est une femme d’affaires pressée et une maman stressée. Face au poids de ses responsabilités et à la pression qu’elle se met, elle a beaucoup de mal à lâcher prise, à faire confiance et à déléguer, aussi bien auprès de ses équipes que de son conjoint.

Elle a besoin d’avoir un œil sur tout pour avoir l’impression de garder le contrôle. Cela a tendance à la rendre autoritaire avec tout le monde et à nuire à la qualité de ses relations avec les autres, tout comme à sa qualité de vie personnelle et celle de sa propre famille. A la maison, elle se montre impatiente et directive avec ses enfants et son compagnon exprime des signes de lassitude, voire parfois de rejet. Elle commence à prendre conscience de l’urgence qu’il y a pour elle à changer pour sauver la famille qu’elle a construite. Or elle sait pertinemment qu’elle n’y parviendra pas seule.

Margot n’a ni le temps ni l’envie de se lancer dans une psychothérapie de longue haleine. Elle a bien entendu parler des effets bénéfiques de l’hypnose mais elle est méfiante. Elle qui aime garder le contrôle, elle craint d’être embarquée contre son gré dans une aventure qui pourrait briser sa force et sa ténacité. Et si elle n’en ressortait pas « indemne » ?

Et puis l’hypnose après tout, n’est-ce pas que pour les esprits faibles qui se laissent facilement embrigader ?

Malgré ses réticences, Margot a pris contact avec moi. J’ai pu lui expliquer le déroulement et les effets auxquels elle pouvait s’attendre, aussi bien durant la séance qu’à court et moyen terme. Elle a été rassurée de savoir qu’elle resterait consciente tout du long et qu’elle pourrait sortir de son état hypnotique si bon lui semblait. Nous avons pu effectuer ensemble un travail remarquable qui lui a permis de comprendre d’où lui venait cet irrépressible besoin de tout contrôler et surtout de changer sa perception et modifier son comportement autoritaire. Aujourd’hui, ses relations professionnelles sont plus équilibrées et sa vie de famille a retrouvé plus de sérénité.

Ne laissez pas les spectacles d'hypnose vous faire croire que vous ne serez pas maître de votre corps lors des séances d'hypnose ! Vous gardez votre libre arbitre !
Dépasser ses peurs et aller de l’avant grâce à l’hypnose

Dépasser ses peurs et aller de l’avant grâce à l’hypnose

Vous ne savez pas comment dépasser vos peurs et aller de l'avant ? Votre coach Pascale Garnier vous livre son secret !

Il nous est déjà tous arrivé de ne pas oser prendre la parole en public. Bien souvent, c’est la peur d’être ridicule ou le regard des autres qui nous arrête. Pourtant, seul, devant le miroir de la salle de bain, on s’en sortait plutôt bien. Cette peur du jugement nous empêche de nous exprimer et de faire entendre notre voix. On rentre alors dans un moule et on suit un groupe ou une voie qui ne nous correspond pas.

La peur est un grand obstacle qui nous empêche d’avancer, d’atteindre nos objectifs et d’avoir la vie que l’on rêve de mener. Nous craignons les échecs et les mauvaises surprises qui ne sont que le fruit de notre imagination.

Vos peurs handicapent votre quotidien ? Vous ne savez pas comment les affronter, les dépasser et aller de l’avant ? Alors cet article est fait pour vous !

Je vous fais découvrir l’hypnose, cette méthode peu connue, qui sauve un grand nombre de mes patients grâce à son efficacité. L’hypnose agit comme accélérateur pour aller vers le changement, ce qui est un avantage à ne pas négliger.

Libérez-vous de vos peurs et changez votre vie ! Alors prêts à enfin devenir vous-même ?

Comprendre l’origine de vos peurs

Tout d’abord, selon moi, il existe trois grandes catégories de peurs :

  • Premièrement, les peurs liées au centre instinctif. Ce sont les peurs qui touchent à la survie, comme la mort, la maladie, la vieillesse ou la souffrance ;
  • Ensuite, les peurs liées au centre émotionnel. Ces peurs se produisent durant notre enfance. Elles sont liées à des blessures émotionnelles et cela peut se traduire par : la peur de l’abandon, de l’échec, de ne pas être à la hauteur, du changement, etc.
  • Et enfin, les phobies. Il n’a pas encore été démontré que la génétique avait un lien dans la transmission des phobies. Cependant, l’éducation et l’environnement familial jouent un rôle très important. En effet, un père ou une mère phobique peut transmettre à son enfant une vulnérabilité émotionnelle qui peut le prédisposer aux phobies.

Allons voir de plus près les peurs reliées au centre émotionnel, puisque ce sont ces peurs qui nous bloquent et nous empêchent d’avancer dans la vie.

Comme je l’ai dit précédemment, les peurs liées au centre émotionnel se développent pendant l’enfance. Ces peurs créent un “blocage émotionnel”, qui sont en réalité des blessures émotionnelles refoulées qu’il faut guérir.

Avant de les accepter, il faut comprendre ses peurs. Vous ne parvenez pas à le faire ? Contactez votre coach Pascale Garnier !

Les traumatismes laissés par les événements du passé, perdurent dans le temps, car ils sont constamment réactivés par le subconscient. C’est pour cette raison que l’on n’arrive pas à avancer.

Je vous donne un exemple concret : la peur de la solitude ou de l’abandon. Les personnes qui ressentent ces peurs sont dépendantes des autres. Elles sont souvent victimes de personnes toxiques, car elles développent une dépendance affective. Celle-ci, les pousse à accepter des comportements inacceptables, pourvu qu’elles ne soient pas délaissées. Dépendre des autres, c’est s’oublier soi-même et ne pas vivre sa vie. En s’effaçant totalement, le dépendant affectif sombre peu à peu dans la passivité. Les personnes qui souffrent de ce type de dépendance ont souvent peu confiance en elles et cherchent sans cesse l’approbation des autres. 

Enfin, lorsque des émotions difficiles comme la colère, la déception, la culpabilité ou bien encore la tristesse sont enfouies et non guéries, les effets secondaires affectent le bien-être général. En effet, vous pouvez vous sentir plus fatigués, démotivés ou encore de mauvaise humeur. Ces émotions vont forcément vous freiner et vous pousser à procrastiner. 

Tout cet enchaînement peut vous pousser à la dépression, car votre moral en prend un coup. Avant d’en arriver là, demandez de l’aide ! 

Comment se faire aider pour soigner ses peurs ?

Les blocages émotionnels peuvent être difficiles à reconnaître, car un nombre important de ces blocages résulte d’événements survenus à un jeune âge. Il existe aussi l’amnésie traumatique, qui vous fait oublier un épisode ou toute une partie de votre vie.

Comme évoqué dans l’article Comment l’hypnose peut changer votre vie ! (pgcoachpro.com), il existe plusieurs traitements, mais malheureusement, ils ne conduisent pas toujours à la guérison. Par exemple, les traitements médicamenteux qui sont censés vous soigner, vous exposent à d’autres problèmes.

En revanche, l’hypnose permet déjà de détecter rapidement les causes de la peur, car on va entrer dans le subconscient du patient. On détecte directement le problème et la cause. On plonge le patient dans son état pur, son état de “bébé” et on va parcourir ensemble les expériences qu’il a vécues. L’adulte d’aujourd’hui sera en capacité de comprendre ce qu’il s’est passé et pourra clarifier cette compréhension qui a manqué à l’enfant qu’il était. Cet enfant intérieur sera donc apaisé et toutes ses qualités, valeurs et capacités vont pouvoir émerger.

Il faut se faire aider pour affronter ses peurs et surtout avancer !

Évidemment, le travail ne se fait pas en une fois. Il faut respecter et suivre le rythme du patient, on avance à son allure. Au fur et à mesure des séances, la personne se réapproprie, ses qualités oubliées ou enfouies et les utilise dans son présent et dans son futur. Elle visualise les corrections nécessaires à apporter et définit les actions à appliquer. 

En hypnose, on travaille sur l’estime de soi. On amène la personne à revivre des événements où elle se sent fière de ses propres accomplissements. Se remémorer les situations où elle a fait des choses positives pour les autres n’est pas l’objectif.

Les gens confondent souvent l’estime de soi et la confiance en soi. Ce sont pourtant deux choses différentes. L’estime de soi, c’est le volant et le moteur d’une voiture, la confiance, ce sont les roues entraînées par le moteur une fois en marche. 

L’estime de soi correspond à l’identité de la personne. La confiance représente l’ensemble de ses capacités et de ses compétences. Si la personne a suffisamment d’estime pour elle, elle se met en action et stimule sa confiance en elle. Toutes ces actions contribuent à lui offrir un retour d’information dont elle a besoin pour savoir si elle est sur la bonne voie.

Débarrasser le subconscient de ses émotions négatives en neutralisant les événements négatifs permet de libérer l’énergie nécessaire pour aller de l’avant. C’est pour cette raison que je pratique l’hypnose sur mes patients. Après nos séances, ils sont libérés de leurs peurs et pleinement épanouis.

Zoom sur Avignon

Rémy, 27 ans, vit près du Palais des Papes d’Avignon depuis peu.

“J’ai emménagé à Avignon il y a quelques mois pour rejoindre ma conjointe Lucie.

Au début de notre relation, tout se passait bien. Nous allions au restaurant, au cinéma et faisions nos activités préférées ensemble, comme un couple normal finalement.

Seulement, à un moment donné, le schéma habituel se répétait : possessivité, jalousie, suspicions, approbation, insécurité…

Lucie est une personne attentionnée et très présente pour moi, mais avant mes séances d’hypnose avec Pascale, je ne me rendais pas compte que je lui en demandais trop. Notre relation, qui avait si bien commencé, se transformait peu à peu en une relation toxique. C’était insupportable à la fois pour moi et pour elle. En discutant avec une amie, je me suis d’abord rendu compte que ce n’était pas normal que dans toutes mes relations le même schéma se répète. J’ai fini par me dire que le problème ne provenait pas uniquement des autres… Au final, j’avais besoin de voir quelqu’un pour comprendre pourquoi mes relations sont toutes similaires et qu’est-ce que je dois faire pour que cela change.

J’ai alors entamé mes recherches et je suis tombée sur plusieurs articles qui parlaient de l’hypnose. Les articles vantaient les bienfaits et la capacité à lire en soi comme dans un livre pour “accepter et avancer”.

Bien sûr, au départ, j’étais réticent et je me suis dit que c’était sûrement faux. Je n’arrivais pas à croire que quelque chose qu’on pratique d’habitude pour faire rire les gens pouvait m’aider à me comprendre.

Mais ça, c’était avant de rencontrer Pascale ! Elle a pris le temps de m’expliquer ce que c’était l’hypnose, les différents types d’hypnose et le déroulement des séances. Elle a également pris le temps de me rassurer et de m’expliquer qu’elle n’allait pas travailler seule, que nous serions deux, elle et moi.

Je ne saurais pas vraiment l’expliquer, mais je ne dormais pas et en même temps, je n’étais pas éveillé.

Pascale m’a replongé dans mon enfance. Cela m’a permis de comprendre mon besoin de réassurance constant. Elle m’a ensuite fait visualiser les moments où je me suis senti fier de moi. Cela m’a permis de réaliser que je valais quelque chose et que j’étais capable d’être comblé par mon image sans avoir besoin de l’approbation des autres.

En toute bienveillance, après la séance, Pascale a pris le temps de répondre à mes questionnements. Elle est très attachée au respect de la personne dans sa personnalité, ses valeurs ou son rythme.

Aujourd’hui, j’ai réussi à dépasser ma dépendance affective et ma peur de l’abandon. J’ai repris confiance en moi, ce qui me permet d’être heureux et épanoui. Non seulement, j’ai réussi à soigner les blessures qui m’empêchaient de vivre, mais j’ai également réussi à ne plus faire vivre un cauchemar à Lucie. Notre relation est redevenue saine et nous communiquons mieux.

Merci Pascale pour ce renouveau et le travail que vous faites !”

Affrontez vos peurs pour avancer avec votre coach Pascale Garnier !
Comment soigner un syndrome du Stress Post Traumatique ?

Comment soigner un syndrome du Stress Post Traumatique ?

Stress Post Traumatique, comprendre ce que c'est et se soigner avec votre coach Pascale Garnier !

Adopter les techniques qui vous aident à venir à bout du Syndrome du Stress Post Traumatique

“A mes patients dont le corps n’a rien oublié et qui m’ont tout appris”. Voici un extrait du dernier livre de Bessel Van der blok intitulé Le corps n’oublie rien. Cet éminent psychiatre s’est évertué tout au long de sa carrière à soigner le patient atteint et non uniquement ses symptômes.

Il est professeur de psychiatrie à la Boston University et fondateur du Trauma center de Boston. Son parcours médical et pédagogique lui donne une certaine notoriété en la matière. Et pourtant, le corps médical n’a pas toujours été enclin à écouter ce qu’il avait à dire… Nombreuses ont été les embûches, avant que ses méthodes avant-gardistes soient entendues par ses confrères.

Le Syndrome du stress post-traumatique ou SSPT a cette fâcheuse tendance à exprimer des symptômes qui peuvent être affiliés à différentes pathologies. Ce qui en fait une maladie difficilement diagnosticable. Bien souvent, les patients errent de traitement en traitement. Ils ont souvent à leur actif un panel de diagnostiques bien chargé. Et pourtant, il existe une méthode naturelle qui guérit particulièrement bien cette maladie.

Vous en avez assez de jongler d’un diagnostic à un autre et vous souhaitez savoir si vous êtes atteint d’un SSPT ? Ou bien, vous savez que vous en êtes détenteur, mais vous n’arrivez pas à en venir à bout ? Alors cet article vous explique comment une méthode naturelle peut mettre fin à l’insupportable.

Le Syndrome du Stress Post Traumatique : un traumatisme comme un autre ?

Il y a les petits traumatismes du quotidien…

Il est tout à fait normal d’être choqué lorsqu’on assiste à une scène marquante. Prenons l’exemple d’Aurore et de sa sœur Hélène. Elles se rendent à la mer à vélo avec leurs parents. Quand tout à coup, Hélène fait un malaise et tombe de son vélo. Sa sœur et ses parents continuent leur balade sans remarquer son absence. Pendant ce laps de temps, des passants ont relevé Hélène qui avait le visage ensanglanté suite à une coupure de l’arcade sourcilière. C’est sa mère qui se retourne en premier et aperçoit sa fille couverte de sang et qui se met à hurler. Ils garderont un mauvais souvenir de cette histoire qu’ils se répètent encore à chacune de leur rencontre.

Vous avez peut être subi un traumatisme que votre cerveau a effacé. Consultez un professionnel pour savoir si vous êtes victime du Stress Post Traumatique ou non.

Ce souvenir a été correctement mémorisé et mis en mots. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas en fonction de la gravité de l’événement auquel nous assistons. Lorsque une menace de mort imminente intervient, la victime est bloquée. Même après qu’elle s’en soit sortie, la mise en mots de ses propres maux n’est pas possible…

Et les événements qui laissent une marque indélébile…

Dans le cas du Syndrome Stress Post Traumatique , on parle d’expérience insoutenable qui a mis en jeu l’intégrité physique de la personne concernée et provoqué des sentiments indescriptibles. Il s’agit d’une “empreinte” pour reprendre le terme utilisé par Van der Kolk. Cette trace a affecté autant l’esprit, que le corps et notre cerveau.

En général, on relève trois catégories d’aléas qui sont à l’origine de ce SSPT :

  • Être confronté de manière abrupte à la mort : attentat, assister au meurtre d’un proche, climat de guerre…
  • Avoir subi une menace de mort : tentative de meurtre, agression à l’arme blanche…
  • Être victime de viol par un inconnu ou d’un membre proche de la famille.

Quand la mémoire vous fait défaut…

L’INSERM a annoncé en novembre 2020, des chiffres éloquents quant aux chances de guérison d’un SSPT. S’il est rapidement pris en charge, il peut guérir en 6 semaines. Mais 1 fois sur 5, il devient chronique et peut avoir des conséquences désastreuses sur la santé mentale.  

Le syndrome du Stress Post Traumatique se soigne. On peut opter pour les médicaments, ou alors l'hypnose !

En ce qui concerne les SSPT, l’intensité de l’événement provoque une hypermnésie : la personne est capable de revivre la scène qui l’a traumatisée. La réminiscence se traduit par un regard figé, hagard comme s’il regardait un film que seul lui peut voir. Mais le patient n’est pas capable de le verbaliser pour en prendre conscience et prendre du recul sur l’événement. La répétition de ce “film” a un impact considérable sur la vie de la personne.

C’est exactement ce qui s’est passé pour Benjamin, 39 ans, ancien soldat. Il a été plusieurs fois en mission en Afghanistan après les attentats du 11 novembre. Un jour, il a été pris en embuscade avec 4 de ses pairs. Il en a réchappé, mais ne peut oublier le visage de ses camarades ensanglantés et sans vie gisant sur ce sol souillé de rouge. Au retour de cette dernière mission, il prend une décision irrévocable : quitter l’armée. Il en a fait part à son chef, sans lui expliquer pourquoi. Seule la façon dont les mains de Benjamin se tordaient, son regard horrifié et sa bouche tordue de douleur ont convaincu le lieutenant de ne pas le renvoyer sur le terrain. Son cerveau sait qu’il a vécu un traumatisme, mais il était incapable de le mettre en mot.

C’est le cas de nombreux vétérans de guerre.

7 signes qui montrent que vous êtes atteints du Syndrome Stress Post Traumatique

Quand les premiers signes émergent…

Les psychiatres s’accordent à dire que les symptômes d’un tel traumatisme, peuvent pointer le bout de leur nez au cours des 3 premiers mois post-traumatisme. Mais le cerveau n’a pas encore dévoilé tous ses mystères aux neuroscientifiques… Pour des raisons encore méconnues, ces derniers peuvent apparaître au bout de plusieurs mois, voire plusieurs années. La mémoire a ses secrets

Une longue liste proportionnelle à la douleur ressentie

Bien évidemment, chaque être humain est différent. Vous pouvez ressentir quelques-uns de ces symptômes ou tous. Et ceci à des degrés d’intensité différents et à des fréquences variées. Il n’y a pas de règle en matière de douleur psychique.

Il y a des signes qui ne trompent pas ! Si vous êtes parfois envahi (e) par un sentiment de peur sans pouvoir agir dessus, consultez un professionnel !

Réalisons maintenant ce petit test et répondez sans réfléchir aux questions suivantes :

  • Vous êtes parfois envahi(e) par un sentiment de peur irraisonnée sans pouvoir agir dessus et qui se traduisent de la manière suivante :
  • – un excédent de sueur ;
  • – une tachycardie inexpliquée ;
  • – des tremblements ;
  • – une accélération du rythme respiratoire ;
  • – des frissonnements.
  • Vous n’arrivez pas à vous débarrasser de pensées qui surgissent à votre esprit, même en pratiquant la méditation. Ces dernières causent chez vous : une crise d’angoisse ou un état dépressif.
  • Vous êtes victime de réminiscences de type flash-back ;
  • Vous vous sentez handicapé(e) dans certaines situations intimes : libido et tendresse en berne.
  • Vous êtes rapidement dispersé(e) au travail ou dans vos activités. Se concentrer relève parfois du parcours du combattant.
  • Vous avez des difficultés à vous endormir.
  • Vous vous sentez constamment sur le qui-vive comme si le pire pouvait arriver à chaque instant.

Si vous avez répondu par l’affirmative à la majorité de ces questions, il y a fort à parier que vous êtes atteint(e) du Syndrome de Stress Post Traumatique. L’identifier auprès d’un médecin psychiatre est la première étape du chemin qui vous conduira vers la guérison. Quelles méthodes peuvent guérir le SSPT ?

Il y a les méthodes traditionnelles …

Si vous avez la chance d’être diagnostiqué rapidement sans que l’on ne vous ait identifié comme bipolaire, dépressif ou atteint d’un TDAH, alors tant mieux pour vous ! La bonne nouvelle est que le trouble de stress post-traumatique se soigne ! Comme le souligne très bien Van Der Kolk, la psychiatrie actuelle est régie par le DSM 5 : c’est une référence médicale qui regroupe toutes les maladies psychiatriques et les symptômes associés.

Par conséquent, les méthodes de soins sont figées sur la guérison des symptômes. Les psychiatres proposent un traitement médicamenteux et une psychothérapie associée.

  • Les médicaments : ces derniers ont pour objectif de diminuer les symptômes cités plus haut. Les médecins prescrivent alors antidépresseurs et anxiolytiques. Ils peuvent effectivement être très utiles pour pallier une crise anxiogène ou une dissociation de l’esprit. Mais, malheureusement, ils ne s’attaquent pas à l’origine du problème pour une guérison sur le long terme.
  • D’autres techniques liées à la psychothérapie ont fait leurs preuves et empêchent une dépendance médicamenteuse : la thérapie cognitivo-comportementale, l’EMDR et enfin l’hypnose

C’est cette dernière technique qui va nous intéresser et que nous vous avons présentée dans les articles précédents. Bien souvent, les traumatismes profonds remontent à l’enfance. Ce sont ces blessures qui méritent d’être guéries par l’hypnose. Pascale la pratique régulièrement sur les patients victimes d’un traumatisme passé. Mais laissons Noémie en témoigner…

Zoom sur la ville de Bayonne

Noémie, 29 ans, future maman et formatrice au GRETA.

J’ai mis entre parenthèses ma carrière pour vivre pleinement ma grossesse. Avec mon compagnon, nous attendons cet événement avec impatience. Et pour cause, sans pouvoir l’expliquer, je ressens une gêne dans les moments intimes avec mon compagnon. Ce qui n’a pas facilité la conception. Même si Benoît m’assure que cela ne le gêne en rien, car il est fou amoureux de moi, je ne peux m’empêcher de culpabiliser.

Un jour en promenade dans les ruelles de Bayonne, je me suis arrêtée quelques instants au pied du pont du quartier St Esprit. J’appréhende toujours de passer au-dessus d’un point d’eau, et ce, depuis toute petite. Mais cette fois-ci, peut-être sous l’action des hormones de la gestation, plusieurs flash-back m’envahissent. Des souvenirs désagréables remontent à la surface et me mettent dans un état à la limite de la crise épileptique. Je prends alors un taxi pour rentrer et m’isoler.

J’avais besoin d’aide et j’ai alors pensé à prendre de nouveau contact avec Pascale. Nous avions déjà travaillé ensemble, car elle m’avait déjà coachée pour quitter mon travail de serveuse pour devenir formatrice. Je lui ai exposé la situation très désagréable que je venais de vivre. Pascale, me propose de réaliser une séance d’hypnose pour identifier et faire remonter mes souvenirs enfouis. À ma grande surprise et pour le plus grand des désarrois, les souvenirs m’assaillent et je me souviens avoir été victime d’attouchements par un de mes voisins au bord du canal qui jouxtait la maison de mes parents.

Passé la considération du traumatisme, Pascale m’a aidé à mettre en mots mes émotions et je ne la remercierai jamais assez ! Le travail n’est pas terminé, mais je sais que la guérison est au bout du chemin !”

Dites adieu au syndrome du Stress Post Traumatique avec les séances d'hypnose proposées par votre coach Pascale Garnier !
L’automne une période propice à la dépression saisonnière

L’automne une période propice à la dépression saisonnière

Qui dit automne, dit dépression saisonnière. Mais pas avec votre coach Pascale Garnier !

L’automne vous rend-il maussade ? Gare à la dépression saisonnière

Nous sommes officiellement entrés dans l’automne la semaine dernière. Pour certains, cette période est très appréciée. La baisse des températures appelle au cocooning et à se blottir sous un plaid en écoutant la pluie, ou à déguster un chocolat chaud au coin du feu, ou bien encore à ramasser des champignons en forêt…

Pour d’autres, comme certains d’entre vous qui êtes sujet à une dépression saisonnière, une longue période sombre s’annonce. Pour vous, l’automne s’apparente davantage à un sol boueux où vous risquez de glisser, à un enfermement forcé à cause du temps pluvieux et surtout à une faible luminosité due aux nuages gris et persistants.

Toutes ces idées noires, influent chaque jour un peu plus sur votre moral. Si cela ne durait que quelques jours, vous seriez en capacité de vous faire une raison… Or, cette période risque de s’étendre jusqu’au printemps prochain, soit 6 longs mois à broyer du noir !

Chaque année, vous appréhendez cette période sans pouvoir y échapper ? Vous êtes à la recherche d’une solution pour mettre définitivement fin à ce cercle vicieux qui vous plonge chaque année dans la dépression saisonnière ? Alors cet article va vous éclairer.

Quelles sont les causes de la dépression saisonnière ?

Facteur principal : la baisse de luminosité

Le facteur principal à l’origine de la dépression saisonnière est sans conteste le manque de luminosité naturelle. Mais ce dernier impacte chacun d’entre nous à différents degrés bien sûr. Alors quand peut-on parler de pathologie clinique ? Le DSM 5 qui fait office de référence dans la catégorisation des maladies psychologiques est psychiatrique définit plusieurs critères :

  • Ce type de dépression doit intervenir à la même période et ce chaque année : soit à l’entrée de l’automne, soit à l’entrée de l’hiver ;
  • La récurrence de ce phénomène doit apparaître au moins deux années de suite chez le patient de ce type ;
  • La phase dépressionnaire doit subsister au moins jusqu’au printemps suivant.

Il y a plusieurs facteurs qui déclenchent une dépression saisonnière. La baisse de luminosité en automne en fait partie !

Liens entre luminosité et régulation hormonale

À l’entrée dans l’automne, vous avez sans doute été interpellé par la vitesse à laquelle les arbres se dénudent de leurs feuilles. Il en va de même pour la luminosité. Le choc est violent, puisque nous passons d’une luminosité égale à 100 000 lux au cours des journées d’été les plus lumineuses à 2 000 lux, pour les journées hivernales les plus nuageuses.

La mise en corrélation de l’influence de cette baisse de luminosité et la baisse de moral, nous la devons au psychiatre et chercheur Dr Norman E.Rosenthal. Ses découvertes remontent au début des années 80, au National Institute of Mental Health. À cette même période a été découverte la luminothérapie. Après avoir exposé aux rayons lumineux artificiels à large spectre, certains des patients atteints de dépression saisonnière, il a fait le constat suivant : les symptômes diminuent.

L’automne joue-t-il avec votre horloge interne ? 

Comment la lumière peut-elle influer à ce point notre humeur ?

Pour faire simple : l’œil influe sur le cerveau qui modifie les sécrétions hormonales. Oui, mais de quelle manière ? Une fois que les rayons lumineux entrent dans l’œil, ces derniers sont codés sous forme de signaux électriques pour être “lus” par le cerveau. Le cerveau, ordinateur très puissant, enregistre ces informations via les neurones. Les neurones qui vont agir sur les neurotransmetteurs : petites molécules chimiques. Parmi elles, on relève principalement 2 hormones que sont : la sérotonine et la mélatonine.

La sérotonine régule différentes fonctions vitales telles que : l’humeur, le sommeil, les risques de dépression, l’agressivité… Et elle régit la sécrétion de mélatonine. Celle dernière assure quant à elle, l’équilibre des rythmes circadiens : jour/nuit. La sécrétion de cette dernière est réduite en plein jour pour vous permettre de rester éveillé et elle est accélérée la nuit pour vous pousser dans les bras de Morphée. Or, une diminution brutale de la quantité de lumière naturelle a pour effet chez certains, comme vous qui souffrez de dépression saisonnière, de récolter une horloge interne toute déréglée.

Les effets néfastes sur le mental liés à l’entrée dans l’automne

S’il s’agit d’un épisode sporadique, tant mieux pour vous ! Mais, si chaque année, le scénario se reproduit, il y a fort à parier que vous devez en être victime. Les symptômes peuvent être variés en fonction de votre profil, mais les conséquences sont toutes aussi pénibles à vivre au quotidien. 

Marie, 21 ans, étudiante en fac d’Anglais depuis 2 ans à Montréal.

Chaque année, c’est la même chose, elle entame l’année universitaire sur les chapeaux de roue, puis à l’arrivée de l’automne, son réservoir d’énergie s’épuise. Elle rentre dans un état de fatigue qui lui pèse au quotidien. Elle s’affale dans l’amphi où elle résiste pour ne pas s’endormir. Et le soir, elle est victime d’insomnie. Son horloge biologique fonctionne à l’envers. Les répercussions ne se font pas attendre sur sa productivité. Elle n’arrive plus à se concentrer.

Par conséquent, suivre les cours devient difficile. Si vous aussi vous êtes étudiant et dans la même situation, vous savez que ce cercle infernal nuit grandement à votre parcours universitaire. Il va remettre en jeu toutes vos chances de réussite. L’année précédente, Maria a pu rattraper le temps perdu entre mars et juin, période où son moral est remonté en flèche avec l’avènement du printemps. Mais elle a décroché son année de justesse. Plus les années passent, plus la charge de travail augmente, si elle ne trouve pas de solution, elle risque de rater son diplôme universitaire.

Sofiane, 41 ans, père d’une petite fille et marié depuis 3 ans.

Chaque année, la femme de Sofiane, Cécile, lui fait la même remarque : “l’automne ne te va pas !”. Effectivement, à cette même période, depuis qu’ils se connaissent, cela fait environ 10 ans à présent, Sofiane qui est habituellement souriant devient triste et irritable. Si c’était passager, personne n’y prêterait attention.

Or, cela influe sur leur couple et leur vie de famille. Vous avez sans doute déjà pu vous aussi éprouver cela : un rien vous agace, vous criez sur vos enfants à la moindre bêtise et pour ne rien arranger, votre libido descend en flèche… Cécile, sa femme, même si elle l’aime énormément, commence à saturer face à la récurrence de cette situation. Par dessus tout, elle ne supporte plus que son mari s’emporte sur leur petite fille de 2 ans à la moindre incartade.

Si Sofiane ne veut plus être victime de la dépression saisonnière, il va devoir se prendre en main. Les traitements qu’il a déjà pris au cours des années précédentes n’ont eu aucun effet. Il va donc devoir se pencher sur une autre alternative.

L’hypnose : un remède naturel pour éviter la dépression saisonnière

Cet automne, optez pour l'hypnose afin de vous sortir de la dépression saisonnière !

Si comme Sofiane et Marie, vous voulez vous débarrasser définitivement de la dépression saisonnière, faites appel à un hypnothérapeute. Pour en savoir plus sur cette technique à proprement parler, nous vous invitons à lire un de nos articles précédents. Aujourd’hui, nous vous proposons de vous prouver en quoi l’hypnose agit spécifiquement sur cette pathologie. Ce qui caractérise la dépression saisonnière, nous l’avons déjà dit, c’est le manque de lumière naturelle. Alors le coach en hypnose va vous accompagner au son de sa voix, vers des lieux emplis de chaleur.

Ces derniers vont vous procurer des sensations physiques positives. Vous entrerez alors dans un cocon fait sur mesure, rien que pour vous ! Le coach en hypnose vous entraînera à retrouver ces sensations par vous-même par le biais d’exercices quotidiens. Ainsi, vous prolongez les effets de la séance sur le long terme. C’est tout l’intérêt de pratiquer l’hypnose avec un coach. En effet, ce dernier, tout comme Pascale, ne se limite pas au bien-être délivré uniquement pendant la séance. Il prend en compte votre mal-être quotidien et vous donne des exercices à reproduire chaque jour pour obtenir l’effet escompté. Vous devenez acteur de votre guérison.

Zoom sur Montréal

Valérie 62 ans, mamie épanouie, veuve depuis 4 ans, à Montréal

“J’ai lu dernièrement que 18 % des gens sont touchés par une dépression saisonnière au Canada. C’est d’autant plus vrai au Nord-est, comme à Montréal chez moi, où les hivers sont longs et rudes. C’est à la lecture de ces quelques lignes que je me suis questionnée sur ma propre dépression saisonnière.

Je suis une enseignante retraitée et comblée. Je suis bénévole dans de nombreuses associations et passe beaucoup de temps avec mes petits-enfants de respectivement 6 et 9 ans qui habitent à proximité de chez moi. Cependant, chaque année, mon fils et ma belle-fille s’inquiètent pour moi. Plus précisément, pour mon moral. À chaque entrée dans l’hiver, je deviens morose. Les journées raccourcissent et agissent sur ma bonne humeur. J’ai moins envie de m’adonner à mes activités quotidiennes. Il en va de même pour le bénévolat qui me passionne habituellement. Mon fils me fait également ressentir, que j’ai l’air “ailleurs” lorsque je m’occupe des petits.

Chaque année, l’arrivée du printemps dissipe tous ces nuages noirs et le moral est de nouveau boosté. Or, que ce soit pour moi ou mes proches, je commençais à en avoir assez d’appréhender cet hiver qui me pèse tant. Alors, à force de visionner des vidéos et de lire des articles sur le net, je suis tombée sur cette vidéo de Pascale qui traitait des bienfaits de l’hypnose. Touchée par son discours et sa spontanéité, je n’ai pas hésité longtemps. Je l’ai contactée pour une première séance à distance. Conquise et ravie des effets obtenus rapidement, j’ai réalisé plusieurs séances qui m’ont beaucoup aidée.

J’ai traversé le dernier hiver d’une manière totalement différente. Je me suis concentrée sur les éléments positifs de cette saison et sur tous les petits bonheurs qui m’entourent au quotidien. Merci pour tout Pascale !”

L'automne, une période propice à la dépression. Ne vous laissez plus abattre et faites appel à votre coach Pascale Garnier !
Comment l’hypnose peut vous offrir le déclic qui changera votre vie ?

Comment l’hypnose peut vous offrir le déclic qui changera votre vie ?

De nos jours, 1 personne sur 5 souffre de dépression. Faites-vous accompagner par un coach, l'hypnose peut être une solution.

Après avoir tout essayé, l’hypnose sera sûrement LA solution à vos problèmes

Aujourd’hui, nombre d’entre nous ont déjà consulté une multitude de spécialistes pour venir à bout de sa dépression. Combien de thérapeutes et de traitements avez-vous consulté pour guérir de votre dépression chronique ? Les statistiques actuelles ne trompent pas. Selon l’INSERM, 1 personne sur 5 souffrira d’une dépression au cours de sa vie. Le plus terrible est qu’on estime que 5 à 20 % de ces personnes tenteront de se suicider. La dépression est une maladie psychologique qui ne doit pas être négligée. Dans 70 % des cas, les traitements et psychothérapies associés sont efficaces. Ce qui signifie que malgré un traitement et un accompagnement médical, 3 personnes sur 10 ne s’en sortent pas ! Faites-vous partie des 30 % restants ? La pratique de l’hypnose accompagnée par un coach spécialisé vous propose une porte de sortie, pour des jours meilleurs.

Quelles sont les causes de la dépression ?

La dépression, un terme qui s’est vulgarisé, voire banalisé. Étant donné qu’elle touche environ un cinquième de la population mondiale, il y a deux options possibles : soit vous connaissez un membre de votre proche entourage qui est touché par cette maladie, soit vous en êtes victime vous-même. Elle ne s’adresse pas à une catégorie d’âge en particulier. Non, elle touche tout le monde à des degrés variés. 

Comment se manifeste-t-elle ?

Vous vous sentez peu à peu envahie par une tristesse maladive. Bien souvent, vous n’arrivez même pas à identifier la raison de cette tristesse. Vous n’avez plus goût à rien, même votre pâtisserie préférée ne vous attire plus. Un autre détail qui peut avoir des conséquences néfastes, vous n’arrivez plus à vous concentrer. Même si vous êtes féru de lecture, lire un livre devient une activité difficile. Il vous faut relire dix fois la même page pour la comprendre. 

Nous avons parfois l'impression qu'il n'y a pas d'autres issus que les médicaments pour soigner la dépression. Heureusement un coach peut vous aider à vous en sortir avec des séance d'hypnose.

D’un point de vue extérieur, rien ne transparaît…

Prenons l’exemple de Lucile, 29 ans, couturière de mode. Elle a toujours été dotée d’une créativité sans faille. Mais depuis quelques mois, les idées lui font défaut. Elle n’arrive pas à se concentrer pour créer de nouveaux patrons. Les commandes s’accumulent et les clients s’impatientent. Ce qui lui renvoie une faible estime de soi et accentue sa tristesse. Pourtant, aucun événement récent ne justifie cet état pathologique. Ses amis commencent à s’inquiéter pour elle, mais elle préfère s’isoler et ne pas en parler. Les répercussions se font ressentir aussi bien dans le domaine professionnel que sentimental. Elle se décide tout de même à consulter son médecin qui la renvoie vers un psychiatre. Ce dernier lui prescrit des antidépresseurs et lui préconise de suivre une psychothérapie afin d’identifier le problème pour ne pas que cette dépression devient chronique.

Des traitements inefficaces 

Débuter par un traitement médical approprié

Tout comme Lucile, chaque patient atteint d’une dépression passe bien souvent par cette première étape. Mais ces traitements ne sont pas sans conséquence. Bien évidemment, ils vont faciliter le sommeil, puisqu’ils vous coupent de vos émotions. Ce qui évite évidemment de ressasser vos idées noires. Mais les molécules chimiques de ces traitements ont de nombreux effets secondaires. Bien souvent, ils augmentent l’appétit, ce qui n’est pas un mal certes, mais ils modifient le sentiment de satiété. En effet, vous aurez tendance à manger plus que ce dont votre corps à besoin. Les conséquences ? Une prise de poids parfois importante. Faut-il choisir entre dormir ou grossir ? D’autres effets peuvent avoir des effets dévastateurs : la somnolence, l’insomnie ou les maux de tête. 

L'hypnose peut être une alternative aux médicaments. On peut donc se soigner en évitant la dépendance médicamenteuse.

La dépendance médicamenteuse : un cercle vicieux difficile à briser

Prenons l’exemple de Lucas, 43 ans, qui après avoir perdu son emploi est entré en dépression. Il a perdu le sommeil et n’arrive plus à se reposer. Sur prescription de son médecin, il a donc pris des antidépresseurs. Or, au réveil chaque jour, il se sent nauséeux, même si cela s’apaise au fil de la journée. Ce sont alors les migraines qui prennent le dessus. Il a certes retrouvé des nuits plus longues, car il se sent « assommé » après son traitement, mais les journées sont difficiles.

Ces effets secondaires, ne l’aident pas à se mobiliser pour retrouver du travail. Il entre alors dans un cercle vicieux. Il a besoin de dormir pour être en forme le lendemain et être proactif. Mais s’il ne prend pas ses médicaments il ne dort pas, s’il décide de les ingérer, il est sujet aux effets secondaires. Plus il avance dans le temps, plus le sevrage est difficile.

Une psychothérapie en dents de scie

Un accompagnement thérapeutique en parallèle du traitement

Le système médical actuel est en souffrance. Les psychiatres au sein des hôpitaux sont débordés et peinent à gérer les urgences. Bien souvent, les patients atteints de dépression doivent donc s’orienter soit vers un psychiatre qui exerce en libéral ou bien vers un psychologue. Mais vers qui se tourner ? Comment trouver le spécialiste qui vous aidera à vous en sortir ? Les personnes atteintes de dépression, se laissent vivre au jour le jour, car elles sont affublées de tristesse. Si certains ont la chance d’avoir un entourage bienveillant, ces derniers seront là pour les guider. Or, ce n’est pas la majorité des cas. 

Il faut se faire suivre par un thérapeute en parallèle du traitement. Un coach pourra également pratiquer l'hypnose.

Quand les espoirs de guérison ne sont pas là, que faire ?

C’est exactement la question que se pose Mounia, 51 ans, qui vient de perdre son mari atteint d’un cancer, il y a tout juste un an. Elle se sent complètement perdue. Elle n’a pas eu d’enfant par choix et se retrouve seule à gérer sa peine. Lorsqu’elle a cherché un psychiatre comme on le lui a conseillé à l’hôpital après avoir été hospitalisée lors d’un épisode dépressif sévère, elle a pris le premier numéro venu. Malheureusement, les consultations se suivent, le traitement n’évolue pas et sa peine est grandissante. Cela fait à présent plusieurs mois qu’elle stagne à la phase 4 du deuil. Cette étape correspond à la dépression associée à la tristesse. Même si bien évidemment, il s’agit d’une phase salutaire, elle ne doit pas s’éterniser. Il faut transiter vers la résignation. Alors lorsque les traitements et les accompagnements médicaux ne vous donnent pas satisfaction, que faire ?

5 apports de l’hypnose pour guérir de la dépression

Encore méconnue et pourtant tellement efficace, l’hypnose est une méthode naturelle qui vous permet de guérir de la dépression. Vous en avez assez d’être dépendant des médicaments pour être en capacité de trouver le sommeil ? Pourquoi ne pas essayer l’hypnose Ericksonnienne ? Nous vous invitons à lire ou à relire notre article précédent, pour en savoir plus sur cet éminent psychiatre américain. 

Les traitements médicamenteux et les psychothérapies font souvent leurs preuves. Mais un tiers des personnes n’y sont pas réceptives. L’hypnose, elle, propose une alternative à ces personnes qui ont besoin d’autre chose pour s’en sortir définitivement. Et surtout, elle est considérée comme une thérapie brève où les effets ne se font pas attendre. En fonction de la réceptivité de chacun, les troubles de l’humeur peuvent s’atténuer en quelques jours seulement. Voici quelques-uns des bénéfices que vous pourrez tirer des séances avec un coach en développement personnel qui pratique l’hypnose : 

1.     Éradiquer les schémas de pensée négatifs en proposant de nouveaux schémas positifs aux circuits neuronaux ;

2.     Alléger les troubles de l’émotion ;

3.     Se défaire des croyances limitantes et s’imprégner de visions positives ;

4.     Se reconnecter à soi-même pour identifier ses propres ressources ;

5.     Retrouver un sommeil de qualité afin d’apaiser le mental.

L'hypnose peut être une alternative pour soigner la dépression.

Zoom sur Vancouver

Iris, 19 ans, étudiante à Vancouver.

“Bien souvent avant le décès de mon père, il y a un an, nous venions nous promener régulièrement sur le pont suspendu de Capilano. C’est un pont de singe mondialement connu qui traverse le fleuve Capilano de part en part au Canada. Ma mère, mon père, mes deux sœurs cadettes et moi-même adorions venir nous promener ici et profiter de cette vue indescriptible. Il offre une vue spectaculaire sur cette surface d’eau immense. La vue varie en fonction des saisons. Aujourd’hui, il fait très humide, comme chaque hiver à Vancouver. Les 140 mètres de long me donnent l’occasion de laisser voguer mon esprit en tentant de chasser cette tristesse insoutenable qui me poursuit depuis le décès de mon père. Cette vue magnifique malgré la pluie fine persistante, met au défi quiconque de voir à plus de quelques mètres.

Ma vision de l’avenir ne m’offrait guère plus de visibilité que ce paysage. En effet, je ne voyais pas d’issue à mon mal-être malgré mon jeune âge. Je me suis donc mise comme de nombreux internautes à chercher sur Google, comment changer ma vie ? Je suis alors tombée sur la chaîne YouTube de Pascale Garnier, coach en développement. Avec un peu d’appréhension, je l’ai contactée pour lui exposer mon problème.

Pascale ne s’est pas contentée de me proposer une séance d’hypnose. Elle m’a accompagnée en véritable guide, en me proposant des exercices quotidiens. J’ai alors changé mes habitudes pour tenter de déblayer tous les éléments toxiques qui obscurcissaient mon chemin de vie. J’ai, avec Pascale, été capable de déblayer les obstacles qui m’empêchaient de dire au revoir à mon père que j’avais perdu. Je voyais de nouveau une perspective d’avenir où la joie m’attendait au bout du chemin. Alors en un mot : Merci !”.

Votre coach professionnelle Pascale Garnier vous accompagne et vous aide à sortir de la dépression avec l'hypnose.

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