La charge mentale : apprendre à l'alléger.
Pascale Garnier, coach certifiée en développement personnel à Pelissanne.

Actu radio

Le mot de Pascale :

J’ai eu la chance d’avoir pu passer à l’antenne de la radio locale Mistral Social Club, vous pouvez l’écouter en cliquant ici ; où j’explique mon métier dans sa globalité, et où je parle du confinement, des effets positifs que ça peut avoir sur soi. Ce temps de confinement est un temps de retour sur soi pour rétablir la connexion à soi-même ; mettre de la conscience sur qui l’on est et ce qu’on fait ; et à la sortie, comment je vais aborder ma planète (et j’espère mieux la traiter, j’espère qu’on ne pourra pas refaire les mêmes erreurs, faire comme si le coronavirus n’avait jamais existé).

Nous avons créé notre première émission Allo Coach, diffusée le 10 Mai sur les ondes.

Dans cette dernière, j’explique comment j’accompagne les personnes qui font appel à moi dans le changement. De quelle manière je peux les aider à tout d’abord développer l’hémisphère droit du cerveau ; qui ne l’est en fait que très peu dans nos sociétés et qui correspond au logement de notre véritable nature ; notre personnalité, notre créativité et notre intuition. Pour pouvoir mettre à l’équilibre les deux hémisphères de notre cerveau pour que la personne soit à l’équilibre à tous les niveaux de sa vie (sans interférer dans sa vie, bien évidemment). 

En cette période si particulière, je tiens à partager ce que j’ai appris. Afin d’aider les personnes à faire face à ces changements si soudains, à alléger cette charge mentale.

Dans cette interview que je vous invite à aller écouter en cliquant ici, je réponds aux questions de deux auditeurs comme celle de Fanny par exemple. “Fanny qui a des angoisses importantes liées au confinement et à sa durée, qu’est-ce que peut faire Fanny pour mieux vivre ce moment ?” Pour beaucoup de personnes qui ressentent cette forte pression au cours de ces derniers mois, je leur recommande de s’installer confortablement dans un endroit calme. Un endroit où on se sent en sécurité. Sans pouvoir être dérangé par quoique ce soit.

Je vous conseille de décroiser les bras, les jambes, de fermer les yeux. Inspirer bien par le nez en fermant la bouche et en gonflant le ventre au rythme de l’air qui circule dans notre corps. Ramener l’inspiration dans la poitrine et la bloquer 7 secondes ; puis d’expirer lentement en prenant soin d’explorer le circuit que fait le souffle dans notre corps (de la tête aux pieds) ; avant de le faire sortir par la bouche et de bloquer sa respiration à nouveau 7 secondes. Cet exercice est à répéter 7 ou 8 fois pour être apaisé.

En attendant de vous retrouver au cabinet, je vous invite à lire Pourquoi les hommes n’écoutent jamais rien et les femmes ne savent pas lire les cartes routières d’Allan et Barbara Pease, pour que chacun apprenne sur quelle planète vit son autre pour pouvoir en discuter et s’harmoniser ; ou à écouter des musiques relaxantes sur YouTube en vous branchant sur 528Hz pour se laisser aller avec Miracle Music Earing et Good Morning Music.

Le miracle de la nature

Vancouver, 26 Mars 2020,

Une jeune femme de 27 ans, Angela Primachenko, alors enceinte de 8 mois, se rend à l’hôpital Legacy Salmon Creek à Vancouver à cause de symptômes du Covid-19. Le verdict tombe, son état s’aggrave de jours en jours. En quelques heures seulement après son admission, Angela se retrouve sous respirateur aux soins intensifs. Elle décide, avec le conseil des médecins, de se plonger dans un coma artificiel afin de sauver sa fille.

Soins intensifs, hôpital de Vancouver, 1er Avril 2020

Toujours plongée dans un coma artificiel mais l’état de la patiente stabilisé. Les médecins ont pu déclencher l’accouchement, afin que la maman ait de meilleures chances de se battre contre le virus et de sauver son bébé. Elle accouche donc, sous coma, de sa petite fille.

Hôpital de Vancouver, 6 Avril 2020

À son réveil 5 jours plus tard, Angela Primachenko découvre que sa fille est née “Je n’avais plus mon ventre ! C’était tout simplement époustouflant (…) Tout le monde était debout pour une ovation, applaudissant. C’était tellement incroyable et énorme de pouvoir quitter l’unité de soins intensifs pour aller à l’étage. C’est juste la grâce de Dieu.” livre la jeune mère. Sa fille, prénommée Ava, a été testée négative au coronavirus ainsi que son mari et son premier enfant de 11 mois. Son prénom est inspiré du nom hébreu “Ayyha” qui veut dire Souffle de vie.

La soeur de Angela témoigne, sur Instagram, avec cette touchante publication.

@oksanaluiten

Pascale Garnier Coach professionnelle en développement personnel à Pelissanne.