Comment être heureux dans une société qui nous impose des devoirs et des lois à respecter ? Quelle est la place du bonheur dans une société qui nous restreint ?
Pascale Garnier, coach professionnelle en développement personnel à Pelissanne.

La liberté d’expression, de choix, culture française

La liberté d’expression en France voit le jour en 1789 dans l’article 11 : “tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement”. Elle permet à tout un chacun d’exprimer ses opinions librement. La liberté des choix signifie que nous pouvons faire ce que nous voulons, choisir de faire ou d’être telle ou telle personne (tant qu’aucune loi ne nous l’interdit). Serait-ce le début du bonheur ?

C’est la liberté de religion, la liberté de choisir son avenir professionnel, d’accès aux soins, du lieu de vie etc.

Toutes ces libertés sont appuyées par la culture française, décrite comme une des plus riches du monde. La culture française regroupe la langue parlée ; la politique culturelle de l’État (avec notamment l’Académie française) ; la diffusion de la culture ; la littérature et la poésie ; les Beaux-arts ; la musique ; la danse ; le théâtre ; le cinéma mais aussi l’art de vivre à la française ; l’histoire ; la philosophie ; les manifestations culturelles et sportives etc. Vous l’aurez compris, la culture française et la liberté des français fait de notre pays un pays très riche (culturellement parlant) et très varié.

“La plupart des gens sont aussi heureux qu’ils décident de l’être.”

– Abraham Lincoln

Pour être heureux, la première chose à faire est réaliser que le choix existe. En France notamment, le nombre de choix possible est quasiment infini. D’après une étude psychologique, le bonheur des individus ; c’est 40% dû aux choix qu’ils font. Chacun peut donc créer son bonheur, car non, être heureux n’est pas une question de chance.

Le bonheur est un état d’âme, il faut le rechercher à l’intérieur de nous. Tout commence par une prise conscience, comme beaucoup de choses d’ailleurs. Vous voulez changer de profession ? Tant que vous n’aurez pas de prise de conscience, vous ne changerez rien, même si au fond, vous en avez envie. Vous devez décider de vouloir être heureux pour y parvenir. Une fois que la première marche est franchie, que vous avez la motivation, tout est possible.

Les USA dans tout ça ?

Les États-Unis, qui se revendiquent étant un pays libre, ne l’est finalement pas tant que ça. Dans les faits récents, nous retrouvons la mort de George Floyd. C’était un afro-américain. Il a été abattu par les policiers de Minneapolis, Minnesota ce 25 mai 2020 à l’âge de 46 ans. Un agent est resté, genou appuyé contre son cou, visage contre le sol, pendant plus de 7 minutes. Les black américains se voient, depuis des années, menacés et “faibles” face aux policiers.

Il faut respecter les droits et les libertés de chacun pour vivre dans la joie. Le bonheur c'est aussi la tolérance.

Le président Donald Trump ne réagissant pas, la population américaine est révoltée. Elle pensait qu’après avoir eu un président noir à la tête du pays pendant 8 ans aurait fait évoluer les choses, mais non, malheureusement.

© SOPA Images/LightRocket via Getty Images

Le bonheur est un choix ?

Pour choisir d’être heureux, il suffit de suivre ces quelques recommandations, à faire tous les jours, qui vont influencer notre cerveau et nous rendre heureux. On s’y met ?

Commencez par vivre l’instant présent (quelques conseils se trouvent plus bas, dans l’article), croyez en vous. Si vous rencontrez un obstacle et que vous vous dites “Je ne vais pas y arriver”, c’est sûr que vous n’allez pas réussir. Alors que si vous vous dites “Je peux le faire, je vais y arriver”, vous réussissez ! Soyez positifs, gratifiants ; agissez comme si vous ne pouviez pas échouer, car la peur de l’échec peut être très décourageant…

Chaque être humain est unique, alors considérez-vous comme tel, arrêtez de vous comparer aux autres. Il y aura toujours meilleur que soi, et toujours moins bon, et c’est normal. Le monde serait triste si tout le monde était pareil non ? Le fait de tenter de nouvelles choses peut également être un pas de plus vers le bonheur. Ça vous empêche de répéter tout le temps la même chose. Fixez-vous des objectifs, un but dans la vie, ça permet de supprimer une partie des émotions négatives et d’être heureux.

Avec tout ça, il est important de garder du temps pour prendre soin de vous, passer du temps avec vos proches ou encore faire du sport.

Les impacts des manques de liberté par rapport à nos habitudes de vie

Sur l’autre continent

Penchons-nous sur l’exemple des Etats-Unis. Nous nous rendons compte, en étant auprès de ces communautés, que le bonheur y est omniprésent. Les habitants de Thaïlande ou du Cambodge par exemple, ont toujours le sourire. Ils sont toujours prêts à nous servir et nous aider, dans la joie et la bonne humeur.

Pourtant, ce ne sont pas les populations les plus riches, qui ont le plus de liberté.

“L’argent ne fait pas le bonheur” comme on dit. Le fait de posséder le dernier iPhone, le dernier sac à la mode ou d’acheter la plus belle maison ne fait pas de vous quelqu’un d’heureux. Les stars internationales nous le prouvent également, beaucoup font des dépressions, se droguent, boivent… Jusqu’à la mort pour certaines, alors qu’elles ont “tout ce dont elles ont toujours rêvé d’avoir”. Il ne faut donc pas faire l’amalgame entre réussite et bonheur.

Le rêve américain : un choix accessible pour tous ?

Barack Obama, à se réélection de 2012, faisait vibrer plus que jamais le coeur de ceux qui rêvent de l’American Dream. Dont il en est d’ailleurs lui-même l’incarnation. Mais peut-on encore réellement parler de ce rêve américain, tant convoité depuis le monde entier ?

“Peu importe que vous soyez noir ; blanc ; hispanique ; asiatique ; amérindien ; jeune ; vieux ; riche ; pauvre, en bonne santé ; handicapé ; gay ou hétérosexuel, vous pouvez réussir ici en Amérique si vous avez la volonté d’essayer”.

Barack Obama

Ce terme, créé il y a près de 85 ans, a quelque peu évolué. 50% de la population adulte rêve d’avoir assez d’argent pour sa retraite ; rêve de ne pas tomber malade pour ne pas se retrouver ruiné à cause d’une simple otite. Le rêve américain se transforme en mythe, où seulement une poignée de personnes réussissent et atteignent leurs objectifs.

La vie à la Française : ne nous en privez pas !

Vient alors se poser la question : plus on a de choix, plus c’est difficile ? Quand de nombreux choix se posent à nous, il nous est plus compliqué de prendre la bonne décision. Par rapport à notre avenir par exemple, on fait des choix, puis on peut le regretter et se dire “Et si j’avais fais ça ?” “Et si…”. Avec les si on refait le monde ! Concentrez-vous sur le moment présent, et plutôt se dire “Grâce à ça j’ai découvert ça, rencontré telle personne…”. En France, nous sommes énormément attachés à notre liberté. Presque plus à la liberté d’être libre qu’aux libertés qui nous sont offertes.

Lorsque, pendant le confinement, nous nous sommes retrouvés privés de notre liberté, nous ne savions plus quoi faire, comment agir. Nous nous retrouvions comme désemparés, nous avions l’habitude de sortir, de faire du sport, de faire les magasins… nous nous en sommes retrouvés privés. Nos habitudes de vie ont donc totalement changées. Quelques mois après, nous nous en sommes pourtant sortis grandis.

Pouvoir profiter sans limites imposées est un moyen d'être heureux. Le bonheur est dans les choses simples.

Ce 2 juin, les français peuvent retrouver leur liberté, d’aller au bar, au restaurant, à la plage… Un retour presque à la normale. Certaines règles ont été mises en vigueur afin d’éviter la propagation du virus, pour éviter une nouvelle vague, telles que l’autorisation d’avoir 10 personnes par table au maximum ou encore un mètre entre chaque table. 

@emmanuelmacron

Même si les rassemblements à grand nombre de personnes restent interdits ; et si les discothèques restent fermées ; le fait de pouvoir reprendre un mode de vie “à la française” fait revivre la France et ses habitants !

L’adaptation et le manque de ce qui était avant

Le contact physique, la place du toucher dans nos sociétés occidentales

Dans les sociétés occidentales, le toucher a une place très importante, au même niveau que les rites de politesse, qui permettent d’éviter le sentiment d’agression dû à la présence corporelle de quelqu’un d’autre. Avec l’épidémie du Covid-19, la peur d’être contaminé et les distanciations sociales, les gestes barrières à respecter, tout rites de salutation et de contact physique a été aboli. Qu’est-ce que ça change vraiment ? Est-ce que ça va faire disparaître tout contact physique de notre société ? Nous allons devoir nous adapter pour ne pas sombrer dans la tristesse et la paranoïa.

Pour être heureux et accéder au bonheur, il ne faut plus vivre dans le passé.

Selon certains sociologues, les yeux vont devenir bien plus expressifs, ils vont saluer à la place des poignées de mains et des bises et ils vont devoir réconforter à la place des bras. Le contact physique est un besoin vital chez les être vivants : un bébé qui en serait privé est très susceptible de mourir très tôt. 

Nous verrons dans les mois à venir si le contact physique pourra peu à peu revenir et comment il va évoluer, et en attendant, souriez avec les yeux !

L’adaptation à la privation, ou à une nouvelle vie ?

Nous avons dû nous adapter ! Certes, nous ne pouvions plus sortir comme nous le voulions, nous devions faire des attestations d’autorisation de sortie pendant des semaines, et nous nous en sommes sortis. Sans les libertés que nous avions habituellement, tout en sachant que ça ne serait que provisoire, nous avons trouvé de nouvelles activités et de nouvelles occupations. Nos amis et notre famille nous manquait ? Les E-apéros ont fait leur apparition sur tous les réseaux sociaux possibles. « La France traverse actuellement un choc économique d’une violence inouïe, plus fort que la crise des subprimes en 2008 et la pire depuis la Seconde Guerre mondiale. »

Il s’agissait, dans cette période si particulière, de limiter nos libertés pour nous protéger ; car la sécurité est la première de nos libertés les plus importantes. Les restriction de libertés pour le bien de la population est vue à la fois comme un bien et comme un mal. Le point positif qui fait accepté ça est la sécurité, comme les vidéosurveillances qui étaient très mal vues quand elles ont fait leur entrée dans notre société et qui sont aujourd’hui plutôt bien acceptés.

Les personnes qui n’acceptent pas les restrictions de libertés pensent en fait qu’en voulant protéger (en diminuant les libertés), se retrouvent privés des deux. C’est en quelque sorte le résultat du PATRIOT act (Providing Appropriate Tools Required to Intercept and Obstruct Terrorism, soit « fournir les outils appropriés pour déceler et contrer le terrorisme »). Qui, plusieurs années après (la loi a été créée après les attentats du 11 septembre 2001, sous le gouvernement de George W. Bush), le bilan est mitigé. Aucun attentat n’a été prédit ou arrêté depuis sa mise en vigueur. Elle permettait la surveillance des personnes suspectes (mise sur écoute, surveillance rapprochée, sans que personne ne soit au courant).

Nous devons donc donc nous adapter

Lorsque de telles mesures sont mises en place, pour notre propre bien et le bien d’autrui, même si le manque de nos libertés passées se fait ressentir, nous avons dû nous adapter. On se crée une nouvelle routine, et notre corps, notre esprit s’habituent.

À quoi va ressembler l’après ? Dans quel état sera le Monde ? Les choix que nous prenons aujourd’hui, depuis quelques mois, sont des décisions qui changeront probablement le monde de demain ; que ça soit au niveau de nos systèmes de santé, de notre culture, de notre politique et de notre économie. Nous devons donc prendre des décisions et réfléchir aux conséquences sur le long terme, qui n’est pas toujours simple à imaginer dans cette période où nous ne savons pas comment la situation va évoluer. À suivre…

L’absence de choix pour des esprits analysants/contrôlants

Les styles sociaux : comment vous sentez-vous  et appréciez les autres ?

Selon le modèle Watzlawick, psychosociologue fondateur de l’école Palo Alto, quatre types de personnalité fortes existent :

  • Les promoteurs sont ceux qui sont orientés vers les actions et qui expriment facilement leurs émotions
  • Les directifs sont ceux qui sont orientés vers les actions et qui expriment peu leurs émotions
  • Les empathiques sont ceux qui sont pas orientés vers les actions et qui expriment facilement leurs émotions
  • Les analystes sont ceux qui sont pas orientés vers les actions et qui expriment peu leurs émotions
Le bonheur est plus accessible quand on sait qui on est.

Pour savoir à quel type de personnalité vous appartenez, je vous invite à faire ce test, que je trouve particulièrement bien.

Le fait de savoir à quel type de personnalité vous appartenez va vous permettre de vous aidez dans vos méthodes de management, de mieux comprendre vos réactions face à certaines situations et de mieux accueillir et laisser de la place à vos émotions.

Des temps plus difficiles à gérer pour certain, par nature ?

Chacun fait donc partie d’une des 16 catégories de styles sociaux. Il est donc pas tout le temps facile de s’adapter, de manager en fonction de vous et de vos collaborateurs. Parfois, ça colle bien. Vous réussissez à vous adapter sans aucune difficulté. Mais parfois, c’est l’inverse, et c’est à ce moment là que les conflits naissent. Généralement, ceux qui ont du mal à communiquer et à se comprendre sont ceux en diagonale : le promoteur avec l’analyste, l’empathique avec le directif.

L’analysant, qui veut que tout soit parfait, a besoin de sécurité, rassurez-le. Donnez-lui quelque chose dont il connaît au moins la base. Le contrôlant, qui veut toujours paraître fort, a besoin de réalisation. Donnez-lui quelque chose de concret, où il pourra voir le changement. Le promouvant, qui veut faire au plus vite, a besoin de reconnaissance, dites-lui quand son travail est bien fait, rassurez-le. Le facilitant, qui veut faire plaisir, a un besoin d’appartenance, à un groupe par exemple. Faites-le se sentir en sécurité et à l’aise au sein de l’entreprise, de son équipe.

Une fois l’habitude prise, la confiance gagnée, ça sera bien plus simple de collaborer et de communiquer sans non-dits et sans tension.

Comment vivre l’instant présent ?

Pour chacun d’entre nous et vous

Ne pas procrastiner, saisir le moment présent, est une des clefs de réussite au bonheur. Pour se faire, vous pouvez d’ores et déjà tenir un carnet de gratitude. En quoi ça consiste ? Rien de plus simple. Tous les soirs, remplissez-le de petites choses qui ont fait que votre journée était une bonne journée. Un café en terrasse ce matin qui vous a fait du bien ? Notez-le. Vous avez fait une bonne séance de sport ? Notez-le aussi. Vous avez repris contact avec un vieil ami ? Notez-le.

Écrire toutes ces petites choses positives du quotidien va vous faire réaliser qu’il y a en fait souvent bien plus de positif dans une journée que ce qu’on pensait. En faisant ça tous les soirs, notre cerveau va s’habituer à se concentrer sur le positif.

Les aspects négatifs de la journée vont peu à peu passer en arrière plan. Vous pouvez rajouter à ça des objectifs quotidiens pour le lendemain, des citations inspirantes, ce qui aurait fait de cette journée une journée encore meilleure… 

Le bonheur est atteint lorsqu'on arrête de penser qu'aux choses négatives et qu'on relève aussi les choses positives.

Selon une étude menée par l’Université de Californie, les personnes qui tiennent un journal de gratitude seraient plus susceptibles de faire des progrès rapides vers leurs objectifs personnels ou professionnels, seraient plus optimistes et plus enthousiastes et déterminés que les autres.

L’intérêt de se rapprocher et faire en équipe

Le team building (construction d’équipe en anglais), à suggérer à son boss ou à souffler aux oreilles des managers. Cela vous permet de développer l’esprit d’équipe chez les collaborateurs avec le manager. Ils se construisent sous forme de séminaires, qui, au lieu d’être banaux comme beaucoup, peuvent être originaux et enrichissants, ce qui renforcera la cohésion d’équipe. C’est applicable avec un peu d’imagination !

Vous pouvez, par exemple, faire un séminaire à l’étranger ; dans un endroit un peu spécial pour allier le séminaire avec ses réunions, à plus de fun, d’aventure, d’activité. Un PDG qui a utilisé cette méthode témoigne “Mes collaborateurs sont devenus très proches. Un tel séminaire coûte cher, mais c’est un bon investissement pour renforcer la communication de chacun.”

Vous pouvez, pour quelque chose de moins coûteux, prendre une journée et la transformer et quelque chose d’amusant ! Vous pouvez alors organiser une grande chasse au trésors dans le quartier de l’entreprise afin de rigoler, de découvrir l’histoire locale et de souder l’équipe.

Enfin, si vous avez une équipe sportive, vous pouvez faire une équipe lors d’une manifestation originale telle que la Color Run. C’est une course à pieds de 5km, avec un t-shirt blanc au départ, arrosé de poudre colorée à chaque kilomètre. Ou encore la Frappadingue, si vous avez la chance de la recevoir pas loin de votre entreprise. C’est une course à pieds en équipe de 5 à 12 kilomètres selon la catégorie choisie. Elle est parsemée d’obstacles tous plus originaux les uns que les autres, où l’entraide est primordiale. Voilà de quoi rigoler et renforcer l’équipe au maximum !

Alors, prêts à sauter le pas et à être inventif ?

Où est votre Nord intérieur ?

Lors d’un coaching, qu’il soit en cabinet ou à distance, je peux vous proposer de découvrir votre boussole intérieure. Le but de cette méthode de développement personnel est de savoir qui on est ; de quoi nous avons besoin pour être comblés de bonheur, pour aligner le Nord de notre boussole intérieure. Pour se faire, il suffit de trouver le point de départ, qui peut être un événement de notre vie, un point de référence de notre existence. Il faut ensuite suivre sa voie en posant les problèmes à plat ; en trouvant des solutions pour les disséminer au fur et à mesure pour enfin parvenir à ses objectifs et se sentir heureux, en harmonie avec soi-même ! En chemin vers l’alignement de son Nord, il faut écouter son corps. Il ne faut pas hésiter à demander de l’aide, en coaching par exemple, écouter les événements et enfin, patienter.

Bulles de Bonheur à Montréal

Deux françaises de Montréal, Albane Français et Raphaëlle de Foucauld ont décidé de créer un podcast, disponible ici, sur le bonheur (un nouvel épisode est disponible chaque jeudi depuis Avril 2019). La première travaille dans le marketing digital, la seconde est conseillère conjugale et familiale, les deux femmes se sont rencontrées à Montréal lors d’une collaboration pour créer des petits jeux pour renforcer les liens avec nos proches et elles ont décidé de s’allier pour créer la podcast “Bulles de bonheur”.

Chaque épisode donne un conseil sur comment être plus heureux, comment mettre du bonheur dans sa vie. Elles touchent tous les publics puisque ça peut être écouté autant par des adolescents, que par des personnes âgées, des parents, des célibataires… Elles visent les sphères amicales, familiales, professionnelles… et elles sont fortes, ces “chercheuses inconditionnelles de bulles de bonheur” comme elles se plaisent à se décrire ! En janvier, elles comptabilisaient près de 20 000 écoutes dans une vingtaine de pays, et c’est pas prêt de s’arrêter.

Chaque épisode difficile de notre vie nous donne un conseil sur comment être plus heureux, comment mettre du bonheur dans sa vie.
Pascale Garnier, coach professionnelle en développement personnel à Pelissanne.