C'est comme prendre dans ses mains des pétales de fleurs fragiles, les préserver et les abreuver de tout ce qui est nécessaire à leur développement.
Pascale Garnier coach professionnelle à Pelissanne.

L’amour de soi : un point de départ, d’une histoire sans fin,
essentiel pour votre développement intérieur

Aimez-vous d’abord pour aimer l’autre ensuite avec justesse car ce qui sera juste pour vous le sera pour l’autre aussi. Apprenez à vivre seul et devenez votre meilleure compagne ou compagnon. Ainsi la rencontre avec l’autre sera un vrai partage et non pas un besoin à combler. Pour 69 % des Français, l’amour de soi apparaît comme la condition sine qua non de l’amour d’autrui (in “Francoscopie”, G. Mermet, Larousse 1999). 

Dieu a certainement dicté ce commandement à Moïse, qui ne l’aurait pas écrit tellement c’est évident : l’amour de soi vous construit au quotidien.

 « Tu t’aimeras toi-même, autant sinon plus que ton prochain, tu prendras soin de toi, tu veilleras à ton bien-être, etc. » c’est un devoir, qui s’enseigne dès le plus jeune âge.

Futile ? ridicule ? est-ce qu’il n’y a que (mon) existence qui compte ? Traditionnellement et culturellement, c’est la capacité d’aimer autrui qui prime. Mais dans les faits, s’aimer pour soi est indispensable pour éprouver du plaisir et trouver du charme à la vie. 

Si vous imaginez les journées de quelqu’un qui chaque matin se trouverait bête et laid, persuadé de son infériorité et de son indignité à être aimé… Il est difficile de croire d’en déduire que sa vie affective et professionnelle serait heureuse. Qu’en pensez-vous ?

Les 5 langages de l'amour

Découvrez dans cette vidéo de Coach ce que sont les cinq langages de l’amour, trouvez le vôtre, repérez celui de votre partenaire pour une meilleure communication !

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S’aimer soi, pour soi même : loin de l’influence des autres

Ce sont des attitudes qui définissent l’amour de soi, dans les manuels de psychologie : se reconnaître une certaine valeur, protéger son territoire intime, se préserver, sa santé physique et psychique, connaître ses besoin réels. 

Il s’agit d’être une « bonne mère » à l’écoute de soi-même. Le vécu intérieur, le ressenti personnel sont les deux éléments qui peuvent témoigner de combien vous vous aimez. 

Une étude américaine, réalisée en 1993 sur la base d’un questionnaire adressée à plusieurs centaines de personnes entre 20 et 30 ans et dirigée par le chercheur James Overholser, a confirmé qu’hommes et femmes ont des critères d’appréciation d’eux-mêmes différents – la liberté de penser. A travers leurs réussites, professionnellement ou dans une activité physique pour les uns, dans les yeux de leur entourage pour les autres, pour faire reconnaître leurs qualités personnelles. 

Je peux m’estimer intellectuellement, avoir confiance en moi, tout en supportant difficilement mon apparence physique. Une vision relativement positive de soi n’exclut en rien que l’on se reproche un ou plusieurs traits de caractère particuliers.

Aussi vous comprenez bien que ce n’est pas une démarche individuelle, qu’elle n’est pas individualiste, elle est nécessaire pour vivre ensemble et se respecter autant que les autres. L’homme est un animal social : notre structuration psychique passe par l’autre, c’est un fait et un trait de notre humanité. Notre prochain, son reflet, son regard constituent des points importants pour apprendre et se diriger dans la vie. 

En effet s’aimer soi-même demande à ne pas s’enquérir que de soi et à ne pas fuir ses responsabilités envers autrui en s’appuyant sur des réflexions telles que : « On me prend intégralement comme je suis ou bien adieu. » C’est même l’inverse. 

L’amour de soi suppose une bonne dose de conscience, de connaissance de ses fonctionnements mentaux. Mieux vous connaître, vous écouter et vous comprendre pour vous accepter et vous aimer. C’est pour autant une histoire sans fin, car la vie quotidienne est faite de nombreuses difficultés qui peuvent ébranler votre amour.

L’amour de l’autre : à chacun son autre, et de l’amour pour tous 

Aimer un autre  

“ Une personne me bouscule dans le tramway, un problème au travail me contraint. Le temps d’un café, à m’interroger sur mes compétences, et aussitôt mon rapport à mon image s’altère. Et des souvenirs ternes, comme des jugements négatifs sur ma personne me reviennent en tête.”  me racontait Pascal.

Pourquoi cet écart entre moi et moi ? 

Fœtus puis nourrisson, nous n’en avons pas. Le moi se construit dans la relation avec nos premiers « autres ». Il s’agit de notre mère, notre père ou ceux qui en tiennent lieu. Selon le psychanalyste Jacques Lacan, c’est à partir de 18 mois – au moment du « stade du miroir » que l’aventure démarre. 

C’est l’adulte qui suscite cette prise de conscience en renvoyant l’enfant au miroir, en l’identifiant. Le prénom et même les mots que vous employez participent à la construction de ce moi. 

Pour s’aimer, encore faut-il savoir que l’on existe en tant qu’individu distinct.

Vivre en couple, nous partageons des outils

Retrouvez ici les vidéos explicatives des 3 éléments essentiels. Ils sont conçus pour ne pas se perdre en cours de route dans un couple.

Dans la relation aux autres, en couple : faites-vous une place

Découvrez dans cette vidéo de Coach : le couple et l’importance de garder une place pour soi dans le quotidien, dans les projets et dans la vie que vous construisez ensemble.

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L'amour de soi est difficile à cultiver dans la relation aux autres.

Une règle dans le couple: ne pas s’aliéner pour l’autre. Il est très facile de ne plus penser à soi, de s’endormir dans un élément nommé “couple” qui n’est pas vous. Un couple c’est deux individus qui construisent pour un bonheur commun, en respectant et développant le bonheur de l’autre.

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L'amour de soi, aimer l'autre : sans s'oublier

Et ne vous oubliez jamais ! Aucun des membres du couple n’a la responsabilité du bonheur de l’autre, c’est à vous qu’elle incombe. Pour vous assurer ce bonheur, il vous faut prendre soin de vous.

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L’autosabotage c’est manquer à soi : ne vous fuyez pas !

De quoi parle-t-on ? voici la définition qui nous paraît la plus claire à ce jour, n’hésitez pas à la partager avec nous : 

“L’autosabotage est une manière de s’interdire de réussir sa vie par un mécanisme inconscient en adoptant le masque d’arguments rationnels.”

L'auto-sabotage est parfois inconscient

Vous remettez tout à plus tard ?

Vous vous en voulez de ne pas être aussi performant.e ?

Vous cherchez l’approbation des autres ?

Vous n’avancez pas dans vos projets ?

Vous vous sabotez. Découvrez les 4 étapes pour y mettre un terme. http://ow.ly/ibNK30ihs6W

L’auto Saboteur est principalement assaillit par des doutes, des peurs et de la culpabilisation. 

  • Julie a un rendez-vous galant avec un homme qu’elle aime beaucoup. Elle se sent mal à l’aise, et finalement arrive en retard au rendez-vous sans moyen de paiement. Elle sabote son RDV galant pensant ne pas être assez bien pour lui ? 
  • Nicolas a commencé un nouveau poste prometteur pour sa carrière. Mais il sort beaucoup avec ses amis ce qui pénalise gravement l’avancement de son projet. Il sabote sa réussite potentielle pensant ne pas mériter ce succès.  
Il arrive très souvent que nous soyons emportés par ce type de mécanisme inconscient d’auto sabotage.

Certes il arrive que ce ne soit lié qu’aux événements, au hasard ou aux autres… Mais parfois l’estime de soi est en cause, elle conduit à réagir contre son propre développement personnel.

Les relations toxiques c’est s’attaquer à soi : fuyez les !

Les personnes toxiques sont partout ! Mieux vaut les fuir pour ne pas y laisser des plumes. Encore faut-il savoir qu’on est dans une relation toxique. Christophe Médici, psychosociologue, nous explique comment identifier une personne toxique et comment s’en défaire.  

Savoir reconnaître une personne toxique  “Le mot toxique vient du latin ‘toxicum’ qui veut dire ‘poison’. Les personnes toxiques sont tout simplement des personnes qui nous empoisonnent la vie !”, résume Christophe Médici. 

La personne toxique peut être un conjoint, un collègue de travail, un ami, un membre de la famille ou un interlocuteur virtuel.  

Vous avez le sentiment que votre mari ou votre femme vous humilie, vous empêche de pratiquer un hobby, de changer de carrière ou de retrouver vos ami.e.s ? 

Plusieurs signes montrent qu’on est en présence d’une personne toxique :
  • On se sent mal et incommodé quand elle est là. “Sa présence provoque un stress, une tension”.
  • On se sent aliéné. “Quand la personne toxique est là, on ne peut pas s’exprimer ou faire ce qu’on veut car on appréhende ses mots ou sa désobligeance”.
  • On se sent vidé. “Les personnes toxiques puisent toute l’énergie de leur(s) victime(s)”.

Aussi, il existe différents degrés de toxicité, plus ou moins dangereux pour les personnes qui en sont victimes. Cela va du manipulateur au pervers narcissique, en passant par l’égocentrique. La toxicité se traduit par de la manipulation, de la culpabilisation, de la violence physique et/ou psychique, de la jalousie, des critiques, de l’emprise ou encore de l’intolérance. Bref, tous les obstacles à une relation saine car les personnes toxiques ne nous veulent pas du bien.

Préserver l'amour de soi c'est éviter les relations toxiques.
  • Retour vers l’amour et l’estime de soi
  • Ancrage et Communication apaisée
  • Fini l’équivoque avec la reformulation

Découvrez dans mon accompagnement les 3 différentes étapes à franchir pour vous sortir de relations toxiques de toute nature, conjugales, professionnelles.

http://ow.ly/pIBe30iem2b

Apprendre de la vie : générateur de bonheur

J’ai appris – Jacques Salomé

Je devrais tenter de dire ce que les rencontres, les séparations, les découvertes, les éblouissements comme les désespérances m’ont appris dans le sens de me découvrir, de me construire, d’influencer le déroulement de mon existence.

J’ai ainsi appris que la vie n’est faite que de rencontres et de séparations et qu’il nous appartient de les vivre en acceptant de nous responsabiliser face à chacune?

J’ai appris encore qu’il y a toujours une part d’imprévisible dans le déroulement des jours et donc qu’il m’appartenait de savoir accueillir les cadeaux inouïs ou les blessures qui peuvent surgir dans l’immensité d’un jour.

J’ai appris bien sûr à vivre au présent, à entrer de plain-pied dans l’instant, à ne pas rester enfermé dans mon passé ou me laisser envahir par des projections sur un futur trop chimérique.

J’ai appris tardivement à remercier, chaque matin, la Vie d’être présente en moi et autour de moi, à honorer chaque fois que cela m’est possible, à la respecter en toute occasion, à la dynamiser avec mes ressources et mes limites.

J’ai appris difficilement à m’aimer, non d’un amour narcissique ou égocentrique (même si la tentation était grande) mais d’un amour de bienveillance, de respect et de tolérance.

J’ai appris avec beaucoup de tâtonnements à me respecter en osant dire non quand je suis confronté à des demandes qui ne correspondent pas à mes possibles ou à ma sensibilité.

J’ai appris avec enthousiasme que la Beauté est partout, dans le vol d’un oiseau, comme dans le geste d’un enfant pour tenter de capter le vol d’un papillon ou encore dans le sourire d’un vieillard qui croise mon chemin.

J’ai appris avec beaucoup de surprises que le temps s’accélérait en vieillissant et qu’il était important non pas d’ajouter des années à la Vie, mais de la Vie aux années.

J’ai appris malgré moi que je savais beaucoup de choses avec ma tête et peu de choses avec mon coeur.

J’ai appris que je pouvais oser demander, si je prenais le risque de la réponse de l’autre aussi frustrante ou décevante qu’elle puisse être, que je pouvais recevoir sans me sentir obligé de rendre, que je pouvais donner sans envahir l’autre, et refuser sans le blesser.

J’ai appris, sans même le vouloir, que j’avais des besoins et qu’il ne fallait pas les confondre avec des désirs.

J’ai appris avec soulagement que je pouvais désapprendre l’inutile dont je me suis encombré pendant des années.

J’ai appris joyeusement à planter des arbres, c’est le cadeau le plus vivant que je peux faire jusqu’à ma mort à cette planète merveilleuse qui a accueilli mes ancêtres et surtout mes géniteurs.

J’ai appris doucement à recevoir le silence et à méditer quelques minutes chaque jour pour laisser aux vibrations de l’univers la possibilité de me rejoindre et de m’apprivoiser un peu.

Oui, j’ai appris beaucoup dans ma vie et pourtant je cherche encore l’essentiel.