Qui dit automne, dit dépression saisonnière. Mais pas avec votre coach Pascale Garnier !

L’automne vous rend-il maussade ? Gare à la dépression saisonnière

Nous sommes officiellement entrés dans l’automne la semaine dernière. Pour certains, cette période est très appréciée. La baisse des températures appelle au cocooning et à se blottir sous un plaid en écoutant la pluie, ou à déguster un chocolat chaud au coin du feu, ou bien encore à ramasser des champignons en forêt…

Pour d’autres, comme certains d’entre vous qui êtes sujet à une dépression saisonnière, une longue période sombre s’annonce. Pour vous, l’automne s’apparente davantage à un sol boueux où vous risquez de glisser, à un enfermement forcé à cause du temps pluvieux et surtout à une faible luminosité due aux nuages gris et persistants.

Toutes ces idées noires, influent chaque jour un peu plus sur votre moral. Si cela ne durait que quelques jours, vous seriez en capacité de vous faire une raison… Or, cette période risque de s’étendre jusqu’au printemps prochain, soit 6 longs mois à broyer du noir !

Chaque année, vous appréhendez cette période sans pouvoir y échapper ? Vous êtes à la recherche d’une solution pour mettre définitivement fin à ce cercle vicieux qui vous plonge chaque année dans la dépression saisonnière ? Alors cet article va vous éclairer.

Quelles sont les causes de la dépression saisonnière ?

Facteur principal : la baisse de luminosité

Le facteur principal à l’origine de la dépression saisonnière est sans conteste le manque de luminosité naturelle. Mais ce dernier impacte chacun d’entre nous à différents degrés bien sûr. Alors quand peut-on parler de pathologie clinique ? Le DSM 5 qui fait office de référence dans la catégorisation des maladies psychologiques est psychiatrique définit plusieurs critères :

  • Ce type de dépression doit intervenir à la même période et ce chaque année : soit à l’entrée de l’automne, soit à l’entrée de l’hiver ;
  • La récurrence de ce phénomène doit apparaître au moins deux années de suite chez le patient de ce type ;
  • La phase dépressionnaire doit subsister au moins jusqu’au printemps suivant.

Il y a plusieurs facteurs qui déclenchent une dépression saisonnière. La baisse de luminosité en automne en fait partie !

Liens entre luminosité et régulation hormonale

À l’entrée dans l’automne, vous avez sans doute été interpellé par la vitesse à laquelle les arbres se dénudent de leurs feuilles. Il en va de même pour la luminosité. Le choc est violent, puisque nous passons d’une luminosité égale à 100 000 lux au cours des journées d’été les plus lumineuses à 2 000 lux, pour les journées hivernales les plus nuageuses.

La mise en corrélation de l’influence de cette baisse de luminosité et la baisse de moral, nous la devons au psychiatre et chercheur Dr Norman E.Rosenthal. Ses découvertes remontent au début des années 80, au National Institute of Mental Health. À cette même période a été découverte la luminothérapie. Après avoir exposé aux rayons lumineux artificiels à large spectre, certains des patients atteints de dépression saisonnière, il a fait le constat suivant : les symptômes diminuent.

L’automne joue-t-il avec votre horloge interne ? 

Comment la lumière peut-elle influer à ce point notre humeur ?

Pour faire simple : l’œil influe sur le cerveau qui modifie les sécrétions hormonales. Oui, mais de quelle manière ? Une fois que les rayons lumineux entrent dans l’œil, ces derniers sont codés sous forme de signaux électriques pour être “lus” par le cerveau. Le cerveau, ordinateur très puissant, enregistre ces informations via les neurones. Les neurones qui vont agir sur les neurotransmetteurs : petites molécules chimiques. Parmi elles, on relève principalement 2 hormones que sont : la sérotonine et la mélatonine.

La sérotonine régule différentes fonctions vitales telles que : l’humeur, le sommeil, les risques de dépression, l’agressivité… Et elle régit la sécrétion de mélatonine. Celle dernière assure quant à elle, l’équilibre des rythmes circadiens : jour/nuit. La sécrétion de cette dernière est réduite en plein jour pour vous permettre de rester éveillé et elle est accélérée la nuit pour vous pousser dans les bras de Morphée. Or, une diminution brutale de la quantité de lumière naturelle a pour effet chez certains, comme vous qui souffrez de dépression saisonnière, de récolter une horloge interne toute déréglée.

Les effets néfastes sur le mental liés à l’entrée dans l’automne

S’il s’agit d’un épisode sporadique, tant mieux pour vous ! Mais, si chaque année, le scénario se reproduit, il y a fort à parier que vous devez en être victime. Les symptômes peuvent être variés en fonction de votre profil, mais les conséquences sont toutes aussi pénibles à vivre au quotidien. 

Marie, 21 ans, étudiante en fac d’Anglais depuis 2 ans à Montréal.

Chaque année, c’est la même chose, elle entame l’année universitaire sur les chapeaux de roue, puis à l’arrivée de l’automne, son réservoir d’énergie s’épuise. Elle rentre dans un état de fatigue qui lui pèse au quotidien. Elle s’affale dans l’amphi où elle résiste pour ne pas s’endormir. Et le soir, elle est victime d’insomnie. Son horloge biologique fonctionne à l’envers. Les répercussions ne se font pas attendre sur sa productivité. Elle n’arrive plus à se concentrer.

Par conséquent, suivre les cours devient difficile. Si vous aussi vous êtes étudiant et dans la même situation, vous savez que ce cercle infernal nuit grandement à votre parcours universitaire. Il va remettre en jeu toutes vos chances de réussite. L’année précédente, Maria a pu rattraper le temps perdu entre mars et juin, période où son moral est remonté en flèche avec l’avènement du printemps. Mais elle a décroché son année de justesse. Plus les années passent, plus la charge de travail augmente, si elle ne trouve pas de solution, elle risque de rater son diplôme universitaire.

Sofiane, 41 ans, père d’une petite fille et marié depuis 3 ans.

Chaque année, la femme de Sofiane, Cécile, lui fait la même remarque : “l’automne ne te va pas !”. Effectivement, à cette même période, depuis qu’ils se connaissent, cela fait environ 10 ans à présent, Sofiane qui est habituellement souriant devient triste et irritable. Si c’était passager, personne n’y prêterait attention.

Or, cela influe sur leur couple et leur vie de famille. Vous avez sans doute déjà pu vous aussi éprouver cela : un rien vous agace, vous criez sur vos enfants à la moindre bêtise et pour ne rien arranger, votre libido descend en flèche… Cécile, sa femme, même si elle l’aime énormément, commence à saturer face à la récurrence de cette situation. Par dessus tout, elle ne supporte plus que son mari s’emporte sur leur petite fille de 2 ans à la moindre incartade.

Si Sofiane ne veut plus être victime de la dépression saisonnière, il va devoir se prendre en main. Les traitements qu’il a déjà pris au cours des années précédentes n’ont eu aucun effet. Il va donc devoir se pencher sur une autre alternative.

L’hypnose : un remède naturel pour éviter la dépression saisonnière

Cet automne, optez pour l'hypnose afin de vous sortir de la dépression saisonnière !

Si comme Sofiane et Marie, vous voulez vous débarrasser définitivement de la dépression saisonnière, faites appel à un hypnothérapeute. Pour en savoir plus sur cette technique à proprement parler, nous vous invitons à lire un de nos articles précédents. Aujourd’hui, nous vous proposons de vous prouver en quoi l’hypnose agit spécifiquement sur cette pathologie. Ce qui caractérise la dépression saisonnière, nous l’avons déjà dit, c’est le manque de lumière naturelle. Alors le coach en hypnose va vous accompagner au son de sa voix, vers des lieux emplis de chaleur.

Ces derniers vont vous procurer des sensations physiques positives. Vous entrerez alors dans un cocon fait sur mesure, rien que pour vous ! Le coach en hypnose vous entraînera à retrouver ces sensations par vous-même par le biais d’exercices quotidiens. Ainsi, vous prolongez les effets de la séance sur le long terme. C’est tout l’intérêt de pratiquer l’hypnose avec un coach. En effet, ce dernier, tout comme Pascale, ne se limite pas au bien-être délivré uniquement pendant la séance. Il prend en compte votre mal-être quotidien et vous donne des exercices à reproduire chaque jour pour obtenir l’effet escompté. Vous devenez acteur de votre guérison.

Zoom sur Montréal

Valérie 62 ans, mamie épanouie, veuve depuis 4 ans, à Montréal

“J’ai lu dernièrement que 18 % des gens sont touchés par une dépression saisonnière au Canada. C’est d’autant plus vrai au Nord-est, comme à Montréal chez moi, où les hivers sont longs et rudes. C’est à la lecture de ces quelques lignes que je me suis questionnée sur ma propre dépression saisonnière.

Je suis une enseignante retraitée et comblée. Je suis bénévole dans de nombreuses associations et passe beaucoup de temps avec mes petits-enfants de respectivement 6 et 9 ans qui habitent à proximité de chez moi. Cependant, chaque année, mon fils et ma belle-fille s’inquiètent pour moi. Plus précisément, pour mon moral. À chaque entrée dans l’hiver, je deviens morose. Les journées raccourcissent et agissent sur ma bonne humeur. J’ai moins envie de m’adonner à mes activités quotidiennes. Il en va de même pour le bénévolat qui me passionne habituellement. Mon fils me fait également ressentir, que j’ai l’air “ailleurs” lorsque je m’occupe des petits.

Chaque année, l’arrivée du printemps dissipe tous ces nuages noirs et le moral est de nouveau boosté. Or, que ce soit pour moi ou mes proches, je commençais à en avoir assez d’appréhender cet hiver qui me pèse tant. Alors, à force de visionner des vidéos et de lire des articles sur le net, je suis tombée sur cette vidéo de Pascale qui traitait des bienfaits de l’hypnose. Touchée par son discours et sa spontanéité, je n’ai pas hésité longtemps. Je l’ai contactée pour une première séance à distance. Conquise et ravie des effets obtenus rapidement, j’ai réalisé plusieurs séances qui m’ont beaucoup aidée.

J’ai traversé le dernier hiver d’une manière totalement différente. Je me suis concentrée sur les éléments positifs de cette saison et sur tous les petits bonheurs qui m’entourent au quotidien. Merci pour tout Pascale !”

L'automne, une période propice à la dépression. Ne vous laissez plus abattre et faites appel à votre coach Pascale Garnier !