
La liberté d’expression, de choix, culture française
La liberté d’expression en France trouve son origine dans l’article 11 de 1789, qui affirme que “tout citoyen peut parler, écrire, et imprimer librement”. Cette liberté est essentielle pour permettre à chacun d’exprimer ses opinions sans restriction. Au-delà de la liberté d’expression, la liberté de choix donne à chacun la possibilité de tracer son propre chemin vers le bonheur. Cela inclut les décisions professionnelles, les croyances religieuses, les soins de santé ou le lieu de résidence.
Ces libertés fondamentales sont soutenues par la diversité culturelle de la France. Elles englobent la langue, les arts, la littérature, la musique, le théâtre, le cinéma, et l’art de vivre à la française. Cette richesse culturelle unique contribue directement au bien-être et au bonheur de tous. Elle offre à chacun l’opportunité de s’épanouir dans une société ouverte et diversifiée.
C’est la liberté de religion, la liberté de choisir son avenir professionnel, d’accès aux soins, du lieu de vie etc.
Toutes ces libertés sont appuyées par la culture française, décrite comme une des plus riches du monde.La culture française regroupe plusieurs éléments clés. Cela inclut la langue parlée, la politique culturelle de l’État (avec l’Académie française), et la diffusion de la culture. Elle englobe également la littérature, la poésie, les Beaux-Arts, la musique, la danse, le théâtre, et le cinéma. L’art de vivre à la française fait aussi partie de cette richesse, tout comme l’histoire, la philosophie, et les événements culturels et sportifs.
En résumé, la culture française et la liberté qu’elle offre rendent notre pays extrêmement riche et varié, à la fois sur le plan culturel et social.
“La plupart des gens sont aussi heureux qu’ils décident de l’être.”
– Abraham Lincoln
Pour être heureux, la première chose à faire est de réaliser que le choix existe. En France notamment, le nombre de choix possibles est quasiment infini. Selon une étude psychologique, 40 % du bonheur des individus dépend des choix qu’ils font. Chacun peut donc créer son propre bonheur, car être heureux n’est pas une question de chance.
Le bonheur est un état d’âme, qu’il faut rechercher à l’intérieur de soi. Tout commence par une prise de conscience, comme beaucoup de choses d’ailleurs. Vous voulez changer de profession ? Tant que vous n’aurez pas pris conscience de ce désir, vous ne changerez rien, même si vous en avez envie au fond de vous. Vous devez décider de vouloir être heureux pour y parvenir. Une fois que cette première étape est franchie et que vous avez la motivation, tout devient possible.
Les USA dans tout ça ?
Les États-Unis se présentent comme un pays libre, mais ils montrent des contradictions. En 2020, la mort de George Floyd a révélé les injustices et la brutalité policière subies par les Afro-Américains. Floyd, un homme noir, est mort après qu’un policier de Minneapolis, Minnesota, a appuyé son genou sur son cou pendant plus de sept minutes. Cet incident tragique a déclenché des manifestations massives et une prise de conscience mondiale sur le racisme systémique et les inégalités sociales aux États-Unis.
Depuis 2020, d’autres événements ont continué de souligner ces tensions. Le mouvement Black Lives Matter a poursuivi ses protestations, réclamant des réformes profondes des forces de l’ordre et du système judiciaire. En 2021, le verdict de culpabilité contre Derek Chauvin, le policier responsable de la mort de George Floyd, a été perçu comme une avancée vers la justice. Cependant, les défis persistent.
Les violences policières contre les minorités n’ont pas cessé. En 2021, Daunte Wright a été tué par une policière lors d’un contrôle routier à Brooklyn Center, Minnesota, ce qui a ravivé les protestations. En 2022, la mort de Jayland Walker, abattu par la police lors d’une poursuite à Akron, Ohio, a également provoqué une indignation nationale.
Ces incidents continuent de remettre en question l’idée de liberté et d’égalité aux États-Unis, montrant que malgré les avancées, le pays doit encore faire face à des problèmes systémiques profondément enracinés.

Le président Donald Trump ne réagissant pas, la population américaine est révoltée. Elle pensait qu’après avoir eu un président noir à la tête du pays pendant 8 ans aurait fait évoluer les choses, mais non, malheureusement.
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Le bonheur est un choix ?
Pour choisir d’être heureux, il suffit de suivre ces quelques recommandations, à faire tous les jours, qui vont influencer notre cerveau et nous rendre heureux. On s’y met ?
Commencez par vivre l’instant présent (quelques conseils se trouvent plus bas, dans l’article), croyez en vous. Si vous rencontrez un obstacle et que vous vous dites “Je ne vais pas y arriver”, c’est sûr que vous n’allez pas réussir. Alors que si vous vous dites “Je peux le faire, je vais y arriver”, vous réussissez ! Soyez positifs, gratifiants ; agissez comme si vous ne pouviez pas échouer, car la peur de l’échec peut être très décourageante…
Chaque être humain est unique, alors considérez-vous comme tel, arrêtez de vous comparer aux autres. Il y aura toujours meilleur que soi, et toujours moins bon, et c’est normal. Le monde serait triste si tout le monde était pareil non ? Le fait de tenter de nouvelles choses peut également être un pas de plus vers le bonheur. Ça vous empêche de répéter tout le temps la même chose. Fixez-vous des objectifs, un but dans la vie, ça permet de supprimer une partie des émotions négatives et d’être heureux.
Avec tout ça, il est important de garder du temps pour prendre soin de vous, passer du temps avec vos proches ou encore faire du sport.
Les impacts des manques de liberté par rapport à nos habitudes de vie
Sur l’autre continent
Penchons-nous sur l’exemple des Etats-Unis. Nous nous rendons compte, en étant auprès de ces communautés, que le bonheur y est omniprésent. Les habitants de Thaïlande ou du Cambodge par exemple, ont toujours le sourire. Ils sont toujours prêts à nous servir et nous aider, dans la joie et la bonne humeur.
Pourtant, ce ne sont pas les populations les plus riches, qui ont le plus de liberté.
“L’argent ne fait pas le bonheur” comme on dit. Le fait de posséder le dernier iPhone, le dernier sac à la mode ou d’acheter la plus belle maison ne fait pas de vous quelqu’un d’heureux. Les stars internationales nous le prouvent également, beaucoup font des dépressions, se droguent, boivent… Jusqu’à la mort pour certaines, alors qu’elles ont “tout ce dont elles ont toujours rêvé d’avoir”. Il ne faut donc pas faire l’amalgame entre réussite et bonheur.
Le rêve américain : un choix accessible pour tous ?
Barack Obama, à se réélection de 2012, faisait vibrer plus que jamais le coeur de ceux qui rêvent de l’American Dream. Dont il en est d’ailleurs lui-même l’incarnation. Mais peut-on encore réellement parler de ce rêve américain, tant convoité depuis le monde entier ?
“Peu importe que vous soyez noir ; blanc ; hispanique ; asiatique ; amérindien ; jeune ; vieux ; riche ; pauvre, en bonne santé ; handicapé ; gay ou hétérosexuel, vous pouvez réussir ici en Amérique si vous avez la volonté d’essayer”.
– Barack Obama
Ce terme, créé il y a près de 85 ans, a quelque peu évolué. 50% de la population adulte rêve d’avoir assez d’argent pour sa retraite ; rêve de ne pas tomber malade pour ne pas se retrouver ruiné à cause d’une simple otite. Le rêve américain se transforme en mythe, où seulement une poignée de personnes réussissent et atteignent leurs objectifs.
La vie à la Française : ne nous en privez pas !
Vient alors se poser la question : plus on a de choix, plus c’est difficile ? Quand de nombreux choix se posent à nous, il nous est plus compliqué de prendre la bonne décision. Par rapport à notre avenir par exemple, on fait des choix, puis on peut le regretter et se dire “Et si j’avais fais ça ?” “Et si…”. Avec les si on refait le monde ! Concentrez-vous sur le moment présent, et plutôt se dire “Grâce à ça j’ai découvert ça, rencontré telle personne…”. En France, nous sommes énormément attachés à notre liberté. Presque plus à la liberté d’être libre qu’aux libertés qui nous sont offertes.
Pendant la pandémie de COVID-19, lorsque nous nous sommes retrouvés privés de notre liberté, nous ne savions plus quoi faire ni comment agir. Nous étions habitués à sortir, faire du sport, faire les magasins, et nous nous sommes retrouvés privés de ces activités. Nos habitudes de vie ont donc totalement changé. Pourtant, quelques mois après, nous en sommes ressortis grandis.
Depuis la fin des confinements, la vie en France a repris un rythme plus normal, mais les leçons apprises pendant cette période restent. La valorisation des moments simples, des interactions sociales et du temps passé avec nos proches a pris une nouvelle dimension.
Les Français continuent de s’adapter et de trouver des moyens de maintenir cette connexion avec la liberté et les choix, tout en naviguant dans un monde post-pandémique où certaines restrictions et précautions restent en place.

En juin 2020, les Français ont retrouvé leur liberté de fréquenter les bars, restaurants et plages. Cela marquait un retour presque à la normale. Des règles strictes ont été mises en place pour éviter la propagation du virus. Parmi elles, la limitation à 10 personnes par table et la distanciation d’un mètre entre les tables.
Aujourd’hui, bien que les confinements soient derrière nous, certaines précautions sanitaires persistent. Le port du masque est encore recommandé dans certains lieux publics, et les gestes barrières sont encouragés. La pandémie a laissé une empreinte durable sur les comportements sociaux, rappelant l’importance de la vigilance sanitaire.
Les efforts de vaccination ont permis d’atteindre une immunité collective, réduisant les cas graves et les hospitalisations. Néanmoins, le gouvernement continue de surveiller la situation et est prêt à réagir face à de nouvelles variantes ou à une recrudescence des infections.
En 2024, la France reste vigilante. Elle adapte ses stratégies de santé publique pour assurer la sécurité et le bien-être de tous. L’objectif est de maintenir autant de libertés que possible pour les citoyens.
L’adaptation et le manque de ce qui était avant
Le contact physique, la place du toucher dans nos sociétés occidentales
Dans les sociétés occidentales, le toucher occupe une place très importante. Il est aussi essentiel que les rites de politesse, qui évitent le sentiment d’agression dû à la proximité physique. Avec l’épidémie de Covid-19, la peur d’être contaminé et la distanciation sociale ont changé ces habitudes. Les gestes barrières ont fait disparaître les salutations et le contact physique. Mais qu’est-ce que cela change vraiment ? Cela va-t-il faire disparaître tout contact physique dans notre société ? Nous allons devoir nous adapter pour ne pas sombrer dans la tristesse et la paranoïa.
Bien que les restrictions les plus strictes aient été levées, les comportements ont changé durablement. Les poignées de main et les embrassades, autrefois courantes, sont souvent remplacées par des salutations sans contact, comme un signe de la main ou un sourire. Les gens sont plus conscients de la nécessité de garder une certaine distance pour des raisons sanitaires.
Les sociologues estiment que ces changements pourraient persister, au moins en partie, même après la fin de la pandémie. Cependant, le besoin de contact physique reste un besoin humain fondamental. Petit à petit, les interactions physiques reprendront, peut-être sous des formes modifiées, avec plus d’attention à l’hygiène et au consentement.
La pandémie a mis en lumière l’importance du contact visuel et de la communication non verbale. Le port du masque cache partiellement les expressions faciales, rendant les yeux et les gestes essentiels pour transmettre des émotions. Les interactions sociales ont évolué, mais le besoin de connexion physique et émotionnelle reste fort et continuera de s’exprimer dans notre quotidien.
Selon certains sociologues, les yeux sont devenus bien plus expressifs. Ils remplacent les poignées de main et les bises pour saluer, apportant réconfort à la place des bras. Le contact physique est vital chez les êtres vivants. Un bébé privé de ce contact est très susceptible de mourir prématurément.
L’adaptation à la privation, ou à une nouvelle vie ?
Il a fallu s’adapter à une nouvelle réalité, où nos libertés étaient restreintes pour notre sécurité. Pendant des semaines, nous étions obligés de rester chez nous, avec des attestations pour chaque sortie. Malgré ces restrictions temporaires, nous avons trouvé de nouvelles activités et maintenu le lien avec nos proches grâce aux E-apéros virtuels. Cela a montré notre résilience remarquable.
La pandémie a provoqué un choc économique d’une ampleur historique, comparable à la crise des subprimes de 2008, voire à celles des périodes de guerre. Durant cette période exceptionnelle, la sécurité est devenue la priorité absolue, malgré les restrictions des libertés. Les mesures de surveillance, comme la vidéosurveillance, étaient d’abord controversées. Elles ont finalement été acceptées, jugées nécessaires pour garantir la sécurité collective.
Certaines personnes contestent ces restrictions, arguant qu’en cherchant à protéger, nous risquons de nous priver de nos libertés fondamentales. Cela rappelle les débats suscités par le PATRIOT Act, adopté après les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis sous George W. Bush. Bien que cette loi visait à prévenir le terrorisme par la surveillance accrue des suspects, son efficacité reste discutée, aucun attentat majeur n’ayant été empêché grâce à ses dispositions.
Cette période a soulevé des dilemmes complexes entre sécurité et liberté. Elle nous a obligés à repenser nos priorités et nos valeurs fondamentales en tant que société.
Nous avons donc dû nous adapter.
Malgré le sentiment de perte de nos libertés passées, les mesures mises en place étaient nécessaires pour notre propre bien et celui des autres. Nous avons dû créer de nouvelles routines, nos corps et nos esprits s’adaptant progressivement à cette nouvelle réalité.
Mais à quoi ressemblera l’après ? Quel sera l’état du monde dans les mois et années à venir ? Les choix que nous faisons aujourd’hui auront probablement des répercussions profondes sur nos systèmes de santé, notre culture, notre politique et notre économie. Il est crucial de réfléchir aux conséquences à long terme de nos décisions, même si prévoir l’avenir dans cette période d’incertitude reste difficile. Nous devons rester vigilants et prêts à ajuster notre trajectoire en fonction de l’évolution de la situation.
L’absence de choix pour des esprits analysants/contrôlants
Les styles sociaux : comment vous sentez-vous et appréciez les autres ?
Selon le modèle Watzlawick, psychosociologue fondateur de l’école Palo Alto, quatre types de personnalité fortes existent :
- Les promoteurs sont ceux qui sont orientés vers les actions et qui expriment facilement leurs émotions
- Les directifs sont ceux qui sont orientés vers les actions et qui expriment peu leurs émotions
- Les empathiques sont ceux qui sont pas orientés vers les actions et qui expriment facilement leurs émotions
- Les analystes sont ceux qui sont pas orientés vers les actions et qui expriment peu leurs émotions

Pour savoir à quel type de personnalité vous appartenez, je vous invite à faire ce test, que je trouve particulièrement bien.
Connaître votre type de personnalité vous aidera dans vos méthodes de management. Cela vous permettra de mieux comprendre vos réactions dans certaines situations et de mieux accueillir vos émotions en leur laissant plus de place.
Des temps plus difficiles à gérer pour certain, par nature ?
Chacun fait donc partie d’une des 16 catégories de styles sociaux. Il est donc pas tout le temps facile de s’adapter, de manager en fonction de vous et de vos collaborateurs. Parfois, ça colle bien. Vous réussissez à vous adapter sans aucune difficulté. Mais parfois, c’est l’inverse, et c’est à ce moment là que les conflits naissent. Généralement, ceux qui ont du mal à communiquer et à se comprendre sont ceux en diagonale : le promoteur avec l’analyste, l’empathique avec le directif.
L’analysant, qui veut que tout soit parfait, a besoin de sécurité, rassurez-le. Donnez-lui quelque chose dont il connaît au moins la base. Le contrôlant, qui veut toujours paraître fort, a besoin de réalisation. Donnez-lui quelque chose de concret, où il pourra voir le changement. Le promouvant, qui veut faire au plus vite, a besoin de reconnaissance, dites-lui quand son travail est bien fait, rassurez-le. Le facilitant, qui veut faire plaisir, a un besoin d’appartenance, à un groupe par exemple. Faites-le se sentir en sécurité et à l’aise au sein de l’entreprise, de son équipe.
Une fois l’habitude prise, la confiance gagnée, ça sera bien plus simple de collaborer et de communiquer sans non-dits et sans tension.
Comment vivre l’instant présent ?
Pour chacun d’entre nous et vous
Ne pas procrastiner, saisir le moment présent, c’est l’une des clés du bonheur. Pour commencer, tenez un carnet de gratitude. Chaque soir, prenez quelques minutes pour y consigner les petites choses qui ont illuminé votre journée. Un sourire sincère échangé avec un inconnu ? Notez-le. Une lecture qui vous a captivé ? C’est aussi important. Un repas partagé en famille ? Une belle balade dans la nature ? Ces moments méritent aussi d’être reconnus et appréciés.
En écrivant ces instants de bonheur quotidien, vous prendrez conscience que chaque jour est rempli de petites joies souvent négligées. Cette pratique aide votre esprit à se focaliser sur le positif, reléguant les aspects négatifs au second plan.
Vous pouvez également enrichir votre carnet en y incluant des objectifs pour le lendemain, des citations inspirantes, ou encore réfléchir à ce qui aurait rendu cette journée encore meilleure. Progressivement, vous développerez une habitude positive qui renforcera votre bien-être mental et émotionnel.
Vivre l’instant présent, c’est aussi cultiver la pleine conscience. C’est être pleinement présent à ce que vous faites, ici et maintenant, sans laisser le passé ou le futur envahir vos pensées. Que ce soit en pratiquant la méditation, en observant la nature qui vous entoure, ou en vous concentrant pleinement sur vos activités quotidiennes, vous renforcez votre capacité à vivre pleinement chaque instant.
Rappelez-vous : la vie se déroule ici et maintenant. En cultivant la gratitude et en vivant pleinement chaque moment, vous enrichissez votre existence et contribuez à votre propre bonheur.
Selon une étude menée par l’Université de Californie, les personnes qui tiennent un journal de gratitude seraient plus susceptibles de faire des progrès rapides vers leurs objectifs personnels ou professionnels, seraient plus optimistes et plus enthousiastes et déterminés que les autres.

L’intérêt de se rapprocher et faire en équipe
Le team building, ou construction d’équipe, est bien plus qu’une simple activité. C’est un levier puissant pour renforcer la cohésion entre collaborateurs et améliorer la communication au sein de l’entreprise. En proposant des séminaires originaux et enrichissants, vous pouvez transformer des moments banals en expériences mémorables qui soudent les liens.
Imaginez un séminaire à l’étranger ou dans un lieu hors du commun, mêlant réunions de travail et activités ludiques. Un tel investissement peut sembler coûteux, mais les résultats en termes de motivation et de dynamique d’équipe en valent largement la peine. Comme le témoigne un PDG : “Mes collaborateurs sont devenus plus que des collègues, ils sont devenus une équipe soudée.”
Pour ceux qui préfèrent des options plus accessibles financièrement, pourquoi ne pas transformer une journée ordinaire en une grande aventure ? Organisez une chasse au trésor dans le quartier de l’entreprise, une occasion parfaite pour rire ensemble, découvrir l’histoire locale et renforcer les liens d’équipe.
Si votre équipe est plutôt sportive, participez à des événements comme la Color Run, une course joyeuse où l’esprit d’équipe prime sur la compétition. Ou optez pour la Frappadingue, une course semée d’obstacles uniques qui favorisent l’entraide et la collaboration.
En résumé, le team building est une opportunité de stimuler la créativité, d’encourager l’innovation et de cultiver un environnement de travail positif. C’est l’occasion parfaite pour sortir de la routine, inspirer vos collaborateurs et leur offrir des expériences qui renforcent non seulement l’équipe, mais aussi le plaisir au travail.
Alors, êtes-vous prêt à franchir le pas et à faire de chaque journée une nouvelle aventure pour votre équipe ?
Où est votre Nord intérieur ?
Lors d’un coaching, en cabinet ou à distance, je vous propose de découvrir votre boussole intérieure. Cette méthode de développement personnel vous aide à savoir qui vous êtes et ce dont vous avez besoin pour être comblé de bonheur. L’objectif est d’aligner le Nord de votre boussole intérieure. Pour cela, il faut commencer par trouver un point de départ, souvent un événement ou un moment marquant de votre vie. Ensuite, vous suivez votre voie en posant les problèmes à plat et en trouvant des solutions au fur et à mesure. Cela vous permet d’atteindre vos objectifs et de vous sentir en harmonie avec vous-même.
Bulles de Bonheur à Montréal
Deux françaises de Montréal, Albane Français et Raphaëlle de Foucauld ont décidé de créer un podcast, disponible ici, sur le bonheur (un nouvel épisode est disponible chaque jeudi depuis Avril 2019). La première travaille dans le marketing digital, la seconde est conseillère conjugale et familiale, les deux femmes se sont rencontrées à Montréal lors d’une collaboration pour créer des petits jeux pour renforcer les liens avec nos proches et elles ont décidé de s’allier pour créer la podcast “Bulles de bonheur”.
Chaque épisode donne un conseil sur comment être plus heureux, comment mettre du bonheur dans sa vie. Elles touchent tous les publics puisque ça peut être écouté autant par des adolescents, que par des personnes âgées, des parents, des célibataires… Elles visent les sphères amicales, familiales, professionnelles… et elles sont fortes, ces “chercheuses inconditionnelles de bulles de bonheur” comme elles se plaisent à se décrire ! En janvier, elles comptabilisaient près de 20 000 écoutes dans une vingtaine de pays, et c’est pas prêt de s’arrêter.
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