Comment surmonter la peur de l'échec ? La libération émotionnelle par Pascale Garnier vous aide !
Paralysée par l’idée d’un échec, vous avez le sentiment d’être bloquée ? Votre peur vous pétrifie et vous condamne à l’inaction ? Vous vous trouvez au bon endroit ! Comment surpasser cette crainte qui vous empêche de vivre ?

Il est vrai que l’échec provoque une sensation qui n’est agréable pour personne. Cette situation peut survenir par un manque de confiance en soi, vous pourrez régler cette problématique grâce à l’article Comment avoir confiance en soi ?. Dans cet article vous pourrez découvrir de quel manque de confiance vous êtes victime. Comprendre qu’il s’agit d’une prise de conscience et d’un état d’esprit à déclencher, vous apprendrez à restaurer votre sécurité intérieure et à vous accepter. Vous aurez également à votre disposition des conseils pour reprendre confiance en vous durant une journée éprouvante.

Comme le manque de confiance en soi, la peur de l’échec peut se transformer en refuge, une zone de confort qui nous plait bien et qui nous empêche de prendre des risques.

Avoir peur de l’échec devient donc un choix difficile à admettre. Vous vous direz qu’il est mieux de garder cette peur, que de prendre le risque et de peut-être réussir comme échouer. Une question se pose, « est-t’il mieux de vivre continuellement avec cette peur qui vous empêche de sauter le pas dans des situations qui vous effraient ou est-il mieux de tenter afin d’avoir un succès ?” L’égo peut également jouer un rôle dans cette peur ; par crainte d’une frustration, d’une déception, vous n’osez pas passer à l’action. Bien d’autres facteurs justifient cette peur de l’échec, comme le fait d’en voir plusieurs survenir, ou encore un souvenir d’un lourd échec dans le passé ou bien un traumatisme.

Qu’est-ce que la peur de l’échec ?

Qu'est-ce que la peur de l'échec ? L'échec est négatif que si on le perçoit comme tel. La vision de celui-ci change l'émotion conséquente. La libération émotionnelle vous vient en aide !

L’échec est un événement négatif qui rend plus ou moins la vie difficile. Il est naturel d’avoir un sentiment de peur et de vouloir éviter de revivre cet événement. On peut distinguer encore d’autres sources qui nourrissent cette peur comme :

  • une faible estime de soi et l’idée de ne pas y arriver, 
  • une idée perfectionnée de la réussite et de la manière d’y accéder,
  • un auto-sabotage qui vous paralyse et vous évite de tenter votre chance, 
  • la peur du risque et de ne pas arriver à le prendre dans de nouveaux projets.
Soit la kakorrhaphiophobie est le mot compliqué qui signifie la peur de l’échec.

C’est un fléau qui affecte un nombre considérable de personnes et que l’on rencontre de plus en plus de nos jours. Du moins en France. La société exerce une pression sociale sur sa population par une idéologie de vie que tout le monde veut avoir. Ne pas savoir lire, écrire, ne pas avoir un bac+5 signifie que tu n’as pas d’avenir, ne pas avoir d’emploi, ne pas avoir de partenaire au-delà de l’âge de 25 ans… est en effet bien souvent perçu comme un échec.

Comme ne pas savoir lire ; écrire ; compter à l’heure ; ne pas avoir un bac+5 signifie que tu n’as pas d’avenir ni d’emploi ; ne Finalement, avec ce tas d’échecs causés par l’effet de société on se remet en question, on peut se retrouver à douter voire à perdre confiance en soi. Sachez que la pression sociale et l’effet de société ne doivent pas être facteur de cette peur de l’échec. 

Les multiples causes de cette peur : 
  • Votre environnement familial : si vous avez subi des pressions étant petit, si vous été l’objet de railleries ;
  • Parcours scolaire : parsemé d’embûches, de la course aux notes et de la comparaison perpétuelle entre les élèves, il peut être très déstabilisant pour l’estime de soi. Nous ne nous évaluons plus par rapport à nos propres capacités, mais par rapport au jugement des autres.
  • La personnalité : perfectionniste ou anxieux ? Il y a plus de chances que la peur de l’échec vous paralyse ;
  • Certaines expériences professionnelles et personnelles traumatisantes qui nous marquent à tel point qu’elles nous handicapent dans notre quotidien ;
  • La pression sociale : selon le secteur d’activité au travail, la pression de la réussite peut plus ou moins être présente.

Comprendre la notion d’échec

Comprendre le notion d'échec est importante pour ne pas avoir peur de l'échec. La libération émotionnelle par Pascale aidera à libérer la peur causée.

L’échec fait partie de la vie, il est impossible de traverser une vie sans rencontrer d’échecs sur votre passage. Ce sont des événements qui font partie de tous les événements que vous aurez à vivre, il est inévitable bien qu’ils ne soient pas agréables. Cependant, ils peuvent être vécus autrement, tout dépend de la façon dont vous les percevez

Il est possible de décider de la façon dont ils seront perçus. L’échec peut aussi être un événement positif, il peut être une leçon pour vous-même, une source de motivation et de changement inattendus pour atteindre votre réussite.

Pour minimiser la peur de l’échec, je vous conseille de le prendre de manière plus optimiste, plus positivement pour voir le bon côté des choses en tirant du positif de ce négatif. Si vous avez peur de l’échec vous pouvez peut-être essayer d’anticiper et d’envisager tous les résultats possibles, pour vous préparer à l’éventualité et ne pas mal le vivre. Vous pouvez également élaborer un plan en cas d’échec ou demander de l’aide à vos proches. De plus vous pouvez essayer de fixer des objectifs plus atteignables, qui ne vous font pas ressentir cette peur

Mais il faut avoir conscience que ne pas prendre le risque d’échouer, c’est aussi penser aux regrets que vous pourriez avoir si vous n’essayez pas.

Prendre conscience qu’il y a un risque d’échec dans tout ce que l’on entreprend, permet de relativiser ce risque et d’en tirer les opportunités positives et constructives pour soi et les autres.

La peur d’échouer est en chacun de nous. Nous avons tous déjà remis en question notre capacité à réussir à un moment donné et nous avons émis des doutes. Peur de ne pas être à la hauteur du résultat attendu par son client, peur de ne pas réussir à atteindre son objectif de chiffre d’affaires mensuel, ou même à titre privé… peur de rater le gâteau d’anniversaire de son enfant ! La peur de l’échec se cache partout et le vrai problème survient lorsque cette peur nous paralyse et nous empêche d’avancer. Tout le monde possède cette crainte, certains savent la contrôler pour se rassurer, d’autres pas. Si vous êtes en train de lire ces lignes, alors c’est sûrement votre cas ! Il est donc essentiel pour vous de la surmonter pour avancer. Plusieurs méthodes existent pour réussir à dépasser votre peur de l’échec et c’est ce que nous allons voir ensemble dans la suite de cet article. 

Je vous conseillerai de lister tout ce que ces échecs vous ont permis de réaliser, de découvrir sur vous-même. Le but étant de d’acquérir ou de retrouver une souplesse mentale afin de ne pas généraliser cet échec à votre vie entière. Je vous conseillerai de lâcher prise. C’est indispensable pour accepter ou tolérer l’imperfection et l’inconnu.

Vous pouvez également vous poser des petits défis comme apprendre la cuisine, à jouer d’un instrument, entreprendre seul une démarche, oser vous exprimer librement et selon vos besoins.

“Sortir du prévisible est la seule façon de déployer de nouvelles ressources.” 

7 Conseils pour surmonter la peur de l’échec 

7 conseils pour vous débarrasser de la peur de l'échec.

“À force d’éviter les échecs, vous oubliez que vous pourriez également réussir. Mais lorsque vous échouez vous avez surtout réussi à oser. Le pire des échecs reste le fait de n’avoir rien tenté !”

1. Expérimenter l’échec pour l’apprivoiser

Vous stagne. Vous cessez d’avancer. Vos projets professionnels ou personnels qui vous tiennent à cœur à cause de la peur qui vous paralyse attendent. Vous créez de l’auto frustration chez vous. Apprivoiser l’échec c’est l’affronter. Cela reste l’une des méthodes pour l’accepter et s’y habituer. Faire de nouvelles choses dans votre vie ; sortir de votre zone de confort ; en faisant des choses anodines vous fera vous confronter à l’échec, sur des activités qui n’ont pas de réel enjeu pour vous. En prenant le risque de faire des activités qui ne vous tiennent pas à cœur. Vous vous obligerez à vous entraîner à affronter l’échec. Vous pourrez ainsi apprécier l’échec. Celui qui vous permet de tirer une leçon positive ; qui vous permet d’évoluer et de vous améliorer pour ne pas faire les mêmes erreurs.

2. L’échec : la méthode américaine du “Fast fail »

Cette méthode sortie tout droit du lean startup et de la méthode agile, le “fast fail”. C’est l’idée de pouvoir tenter et tester un concept sans le sentiment de peur d’échouer. Tout sera fait pour réduire le risque au minimum de l’échec et le maîtriser. Les erreurs commises lors du projet seront analysées. Pour que vous essayez de faire une nouvelle tentative plus élaborée et qui ne résulte pas de l’échec.

À titre personnel, cette méthode est intéressante à étudier puisqu’elle change votre vision de l’échec. La méthode vous permet de comprendre et d’apprendre. L’erreur n’est pas une fin mais un renouveau en essayant plusieurs fois jusqu’au succès. Le fait d’échouer vous permet de prendre conscience que vous pouvez essayer encore une fois avec un plan plus abouti. Le fait d’échouer vous permet d’apprendre les nombreuses facettes de votre projet que vous n’aviez pas prévues. 

Comme d’autres entrepreneurs avant vous, il peut donc être intéressant de vous imprégner de cet état d’esprit “ à l’américaine. L’échec n’est que le début du succès. Google est le maître incontesté du “fast fail” ! C’est en ayant une pile d’échecs qu’il a laissé derrière lui, qu’aujourd’hui il est devenu le géant qui règne sur la Silicone Valley. Le site Killed by Google est l’empreinte de son échec. Il rassemble tous les produits et services que Google n’a pas réussi à vendre. Au lieu de cacher ses échecs, la firme les affiche fièrement et n’hésite pas à en parler. Chez Google, le feedback est roi !

À votre tour de transformer vos échecs en solutions qui vous mèneront vers le succès !

3. La confiance en soi pour maîtriser sa peur de l’échec

Comme évoqué plus haut, le manque de confiance en soi est l’un des facteurs qui nourrit la peur de l’échec. Mais c’est aussi l’une des clés pour dire adieu à cette peur en prenant confiance en soi ! 

Votre échec ne vous définit pas en tant que personne. La honte, la culpabilité, le sentiment d’échec, vous faites souvent de cela une fatalité, pourtant ce n’est pas parce que vous échouez que c’est la fin ! Plutôt que de vous laisser écraser par le poids de vos erreurs, rebondissez et forgez votre confiance sur ces bases. Chacune de ces impasses doit vous permettre de creuser un nouveau tunnel, plus élaboré.

Rappelez-vous que tout comme la réussite, l’échec est une question de perception. Changez votre vision de vous-même et vous ferez évoluer par la même occasion votre interprétation des événements extérieurs.

4. Ne plus avoir peur du jugement des autres  

« L’enfer c’est les autres

Les codes sociaux définissent et font fonctionner le monde. Certains comportements sont acceptés, d’autres non. Il y a des choses que vous pouvez faire et d’autres que vous ne pouvez pas faire par rapport aux jugements de vos semblables en société. Depuis toujours les jugements font partie de vos vies. Être jugés sur vos comportements et vos actions font partie de l’éducation. Vous êtes en évaluation permanente par vos proches, les professeurs, les camarades de classe, les collègues de travail et les patrons par habitude. 

Si bien qu’un radar du jugement s’est développé en chaque personne. Vous êtes susceptible d’être observé et jugé à chaque fois que vous réalisez une action. Au lieu d’ignorer vous restez bloqué dans vos actions et vous paralysez surement. Le naturel et votre personnalité peuvent en être oubliés par peur d’oser d’être vous-même et faire ce que vous aimez.

Méthode contre ce radar à jugement :

Il est temps de trouver une solution pour ne plus porter d’importance au regard des autres. Changez votre vision du jugement, détachez de votre personnalité les critiques d’autrui. En réalité ce n’est que le reflet de leurs propres besoins non comblés. Le jugement fait appel à l’expérience passée ; l’éducation ; au milieu d’évolution ; à la situation à l’instant T. 

Le jugement est une somme de données qui appartient à la personne qui juge et non à la personne jugée. Par exemple, si vous avez rendez-vous avec quelqu’un d’en retard et que vous êtes pressé. Deux types de réactions s’offrent à vous :

  • Vous faites la remarque à la personne lorsqu’elle arrive ; sans lui dire que vous manquez de temps ; elle le prend pour elle et cela génère un conflit ;
  • Deuxième option, vous exprimez vos besoins et vous lui expliquez calmement que vous avez beaucoup de travail en ce moment. La personne ne le prend pas personnellement et vous trouvez une solution ensemble pour optimiser le rendez-vous.

Ne prenez pas les critiques pour vous, soyez conciliant envers vous-même. Vous devrez vous dire que vous êtes assez et avoir une vision positive de votre valeur. Si vous êtes tolérant avec vous-même et tolérant avec les autres ; alors la valeur d’un jugement extérieur n’en sera que plus amoindrie. Vous n’aurez plus besoin de la reconnaissance de vos pairs et de la validation sociale.

5. Se débarrasser de la peur de l’échec du au syndrome de l’imposteur 

Vous êtes-vous déjà senti illégitime ou inapte à endosser un poste qui vous paraît surqualifié par rapport à vos compétences ? Avez-vous confiance en vous sur les missions à faire ? Vous sous-estimez-vous ? Si tel est le cas, vous n’avez pas une vision claire de votre valeur.

Ce syndrome fait naître divers comportements qui nuisent à votre développement personnel. Souvent, la personne qui ressent le syndrome de l’imposteur ne se sent pas à la hauteur. Elle va donc développer des systèmes de défense :

  • Fournir un volume de travail bien plus supérieur à la normale pour combler le manque de compétences perçu ;
  • Se préparer à l’échec car il est plus simple à gérer que la réussite face à ses collègues et à son patron. Un succès est plus dangereux, car il peut permettre aux autres de réaliser que vous êtes un imposteur.

Ces systèmes de défense ne sont pas épanouissants et ne contribuent pas à l’évaluation juste de vos compétences et de votre valeur. Ici, vous devrez faire un travail sur vous et votre estime. Commencez par apprendre vos qualités et vos défauts. Pour cela, une attitude honnête et tolérante devrait être de mise. Prenez confiance en vous, acceptez les compliments et ne surestimez pas la valeur des autres.

6. Utiliser la déception comme trampoline

Vous avez vu qu’échouer était inévitable pour avancer et que cela vous permettait de prendre du recul et d’essayer à nouveau, jusqu’à la réussite. Cependant, entre l’échec et le rebond, il y a l’étape de la déception. Pour pouvoir recommencer et réessayer, vous devrez l’utiliser comme moteur.

Lorsque vous êtes déçu, vous en voulez au monde entier dans un premier temps. Les choses vous semblent injustes et cruelles. Afin de ne pas vous laisser noyer par une attitude négative, il convient de profiter de cette déception. Vous pouvez changer votre vision du monde et établir un nouveau plan plus réaliste pour faire aboutir votre projet.

Cette étape est cruciale. Si elle est bien gérée elle permet de prendre du recul et d’envisager une autre issue, un autre moyen. Faites-vous une raison, pardonnez-vous vos erreurs et recommencez avec un meilleur plan.

7. Arrêter de vouloir être parfait 

Vous l’aurez déjà compris la société française joue un rôle et la culture française est paradoxale ! D’une part nous refusons l’échec, de l’autre nous nous méfions du succès tout en le prônant comme idéal à atteindre. Bizarre, non ? L’idée de perfection est omniprésente.

Vous devez réussir humblement, sans faire d’erreurs ou tout du moins sans montrer vos faiblesses et vos échecs. Rappelez-vous seulement qu’aucune réussite n’existe sans échecs.

Zoom sur Hyères

Tom, 25 ans, a un poste à responsabilité dans une grande entreprise, il exerce dans les Ressources Humaines. Après être sorti de ses études, Tom a endossé ce rôle et a toujours donné le meilleur de lui-même ; voire plus. À chaque dossier à traiter afin de prouver ses compétences il s’épuise. Il n’arrive pas à décrocher et se sent submergé par la charge de travail qu’il s’inflige. De plus en plus stressé à l’idée de devoir rendre autant de dossiers le paralyse et l’empêche d’avancer. À sa rencontre, il fallait que je lui vienne en aide pour libérer ce stresse causé par cette peur de l’échec ! 

Avec Tom, les séances de libération émotionnelle se sont enchaînées. Et lui ont permis d’extérioriser toute cette peur due à la surcharge de travail qu’il s’est infligé ; qu’il n’arrivait pas à évacuer ; ni à contrôler. Après avoir débloqué ses craintes, Tom a fini très fatigué mais il est conscient de ses compétences, a confiance en lui aujourd’hui et sait poser des limites. 

Pascale Garnier, Coach professionnel, me contacter au numéro de téléphone inscrit ici !