Burn-out : mieux le connaître pour mieux le prévenir 

Burn-out : mieux le connaître pour mieux le prévenir 

Burn-out : comment le prévenir afin de l'éviter ? Votre coach Pascale Garnier vous livre ses précieux conseils!

Le burn-out, souvent désigné comme syndrome d’épuisement professionnel, représente un problème de santé publique de plus en plus prévalent dans notre société moderne. Il est généralement causé par un stress prolongé au travail, qui entraîne une fatigue émotionnelle, mentale et physique intense. Connaître les symptômes, les causes et les moyens de prévention est essentiel pour anticiper et éviter cette condition. L’importance de cette connaissance est particulièrement soulignée dans les environnements de travail exigeants, où les employés sont souvent confrontés à des pressions intenses. Il est crucial de ne pas sous-estimer l’impact du burn-out, car il peut avoir des conséquences dévastatrices sur la santé des individus et la productivité des organisations.

Qu’est-ce que le burn-out ?

Le burn-out se manifeste par une fatigue extrême et un désespoir face aux exigences professionnelles. Les personnes touchées peuvent ressentir une perte d’intérêt pour leur travail, un déclin de leur performance et un sentiment d’impuissance. Cette condition peut aussi entraîner des sentiments d’inefficacité et même de dépression. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le burn-out est reconnu comme un syndrome lié à un stress chronique non géré. Les symptômes varient, mais incluent souvent des troubles du sommeil, des problèmes de concentration et une irritabilité accrue. De plus, les personnes atteintes peuvent développer des douleurs chroniques, des maux de tête et des troubles digestifs. Il est donc crucial de reconnaître ces signes avant qu’ils ne nuisent gravement à la qualité de vie.

Les causes du burn-out

Les causes du burn-out sont multiples et peuvent être regroupées en plusieurs catégories. Un environnement de travail hostile est l’une des principales raisons qui peuvent contribuer à l’apparition de ce syndrome. Les employés sont souvent soumis à des horaires de travail trop chargés, à un manque de reconnaissance de leurs efforts et à une communication insuffisante au sein de l’équipe. Ces facteurs peuvent engendrer un stress constant qui, à terme, peut mener à l’épuisement. Par exemple, une personne qui ne reçoit jamais de retour positif sur son travail peut commencer à se sentir démoralisée et moins motivée. De plus, l’absence de soutien social, que ce soit de la part des collègues ou des supérieurs, joue un rôle crucial dans le développement du burn-out. Un environnement où l’on se sent isolé peut intensifier la pression ressentie au travail.

Une autre cause fréquente est la pression excessive pour atteindre des objectifs irréalistes. Lorsque les employés ont l’impression qu’ils ne peuvent pas répondre aux attentes, leur motivation et leur engagement diminuent. Cette situation peut être exacerbée par un manque de ressources ou de soutien de la part des managers, ce qui rend le travail encore plus difficile. Les employés peuvent également ressentir une tension entre leurs responsabilités professionnelles et leur vie personnelle, ce qui contribue au déséquilibre et à l’épuisement. Il est donc essentiel pour les entreprises de surveiller les niveaux de stress de leurs employés et de créer un environnement de travail qui favorise l’épanouissement personnel et professionnel.

Les sources de stress au travail sont multiples.

Quels sont ces signes qui vous permettent de prévenir le burn-out ? Soyez vigilants au stress que vous ressentez ! S'écouter est essentiel !

Les sources de stress au travail sont multiples. Certaines sont indépendantes de vous :

  • Manque d’autonomie, 
  • Sentiment de déséquilibre entre les efforts fournis et la reconnaissance obtenue (salaire, estime, respect, etc.), 
  • Mauvaise communication, 
  • Manque de soutien de la part de votre hiérarchie ou de vos collègues… 
  • Surcharge de travail.

D’autres sources de stress sont inhérentes à vous-même :

  • Attentes élevées envers vous-même, perfectionnisme : vous vous mettez la pression et vous en arrivez à oublier les priorités, 
  • Tendance à mettre le travail au centre de votre vie,
  • Difficultés à déléguer ou à travailler en équipe…


Ces facteurs créent un sentiment de menace et peuvent vous déstabiliser. Progressivement, vous déployez une énergie grandissante pour accomplir votre travail, sans satisfaction. Les frustrations s’accumulent, entraînant des symptômes physiques ou psychologiques.

Les symptômes du burn-out

Les symptômes du burn-out peuvent être physiques, émotionnels et comportementaux. Il est important de les reconnaître afin d’intervenir rapidement. Parmi les signes à surveiller, la fatigue chronique est l’un des plus évidents. Les personnes atteintes de burn-out éprouvent souvent une sensation d’épuisement persistant, même après une nuit de sommeil réparateur. Elles peuvent également ressentir un cynisme grandissant et un détachement vis-à-vis de leur travail et de leurs collègues. Cette attitude peut se manifester par une perte d’intérêt pour des projets ou des tâches qui, auparavant, suscitaient de l’enthousiasme.

De plus, l’irritabilité est un autre symptôme courant. Les individus peuvent se sentir facilement agacés, même par des situations mineures. Ce sentiment d’irritabilité peut perturber les relations au travail et nuire à la dynamique d’équipe. Les difficultés de concentration sont également fréquentes chez ceux qui souffrent de burn-out. L’incapacité à se concentrer sur des tâches quotidiennes peut entraîner des erreurs et des retards, ce qui peut aggraver le sentiment d’inefficacité. Sur le plan physique, des problèmes tels que des maux de tête, des douleurs musculaires et des troubles digestifs peuvent apparaître, entraînant des absences répétées au travail. Il est donc crucial de reconnaître ces signes dès qu’ils apparaissent et de ne pas les ignorer.

Symptômes physiques :

Les symptômes physiques du burn-out incluent :

  • Fatigue persistante, 
  • Troubles du sommeil : cauchemars à répétition, Insomnies, addiction aux somnifères, 
  • Douleurs chroniques (maux de dos, douleurs musculaires, migraines…), 
  • Infections plus fréquentes (rhume, otite…), 
  • Problèmes digestifs, ulcères d’estomac, 
  • Problèmes cutanés (eczéma, mycoses…),
  • Troubles cardiaques (pouls élevé, hypertension artérielle),
  • Variation de poids,
  • Développement de certaines addictions (tabac, alcool, nourriture, sport…).

Symptômes psychologiques :

Les symptômes psychologiques peuvent inclure :

  • Démotivation permanente par rapport au travail, 
  • Instabilité émotionnelle : irritabilité, colères spontanées, pleurs fréquents, 
  • Cynisme et sentiment de frustration, 
  • Sentiment d’échec, de ne pas être à la hauteur,
  • Baisse de la confiance et de l’estime de soi,
  • Détérioration du rapport aux autres, besoin d’isolement,
  • Anxiété, inquiétude et insécurité, 
  • Difficultés de concentration,
  • Pertes de mémoire, 
  • Difficulté à être clairvoyant, indécision, confusion, 
  • Pensées suicidaires parfois dans les cas les plus graves.
Prêtez attention à tous ces symptômes afin de prévenir le burn-out ! Si ces signes se manifestent de manière simultanée, alors il convient d’être sur vos gardes !

Prévenir le burn-out

Prévenir le burn-out nécessite une approche proactive et stratégique. Plusieurs stratégies efficaces peuvent être mises en place pour protéger la santé mentale et physique des employés. Établir des limites claires entre le travail et la vie personnelle est fondamental. Cela peut impliquer de définir des heures de travail fixes et de s’engager à ne pas consulter les courriels professionnels en dehors de ces heures. Une telle approche aide à préserver l’équilibre nécessaire à une vie professionnelle épanouissante.

Prendre des pauses régulières

De plus, prendre des pauses régulières tout au long de la journée est crucial pour réduire le stress accumulé. Même quelques minutes de repos peuvent faire une grande différence dans la perception de la charge de travail et la concentration. La pratique de la pleine conscience est également bénéfique. Techniques de méditation et exercices de respiration peuvent aider à réduire l’anxiété.

De nombreuses applications, telles que Headspace ou Calm, offrent des outils pratiques pour intégrer ces pratiques dans votre routine quotidienne. Ces moments de recentrage sont particulièrement utiles dans des environnements de travail où le stress peut s’accumuler rapidement.

Demander de l’aide

Il est essentiel de demander de l’aide lorsqu’on en ressent le besoin. Ne pas hésiter à solliciter le soutien de collègues, de mentors ou de professionnels peut alléger la charge mentale et trouver des solutions adaptées aux défis rencontrés.

Favoriser un environnement de travail sain

Encourager une culture de soutien au sein de l’équipe est une priorité. Cela permet de créer un espace où les employés se sentent valorisés et soutenus. Organiser des réunions régulières et des activités de team-building renforce les liens entre collègues. L’instauration d’un environnement positif, où les efforts sont reconnus, contribue à une atmosphère agréable et motivante. Les managers doivent être attentifs aux besoins de leurs équipes et prêts à adapter leurs méthodes de travail.

L’importance de la communication


La communication ouverte est essentielle pour prévenir le burn-out. Les employés doivent se sentir à l’aise pour exprimer leurs préoccupations et partager leurs idées. Les managers doivent être attentifs aux signes de détresse et encourager le dialogue au sein de l’équipe. La mise en place de canaux de communication efficaces, comme des réunions de feedback régulières, favorise un environnement où les préoccupations peuvent être abordées rapidement. Un feedback constructif aide également à ajuster les objectifs de travail.

Questions de réflexion

Voici une liste de questions pour approfondir votre réflexion lorsque le travail pèse et que vos soucis commencent à interférer avec votre vie quotidienne :

Ce n'est pas parce que vous avez plusieurs symptômes que vous souffrez du burn-out. Voici les questions qu'il faut également se poser ! N'hésitez pas à consulter un spécialiste !
  • Quelle est la place du travail dans votre vie ? Est-elle en accord avec la place que vous aimeriez lui accorder ?
  • Quelles sont les raisons de votre mal-être au travail ?
  • Pourquoi êtes-vous si sensible à ces situations ? Quels effets ont-elles sur vous ?
  • Comment pouvez-vous modifier vos conditions de travail pour réduire leur impact négatif ?
  • Pourquoi n’avez-vous pas encore réussi à modifier vos conditions de travail ?
  • Pouvez-vous raisonnablement demander à votre employeur de modifier certaines conditions ?
  • Les choses seraient-elles plus faciles si vous changiez d’employeur ?
  • Quelle est votre part de responsabilité dans ce mal-être ?

Agir en cas de symptômes

Lorsque les premiers symptômes d’un burn-out apparaissent, il est crucial d’agir rapidement. Pour enrayer le phénomène, voici quelques conseils :

  • Ne gardez pas vos soucis pour vous. Parlez-en à vos proches ou à des personnes qui vivent des situations similaires. Écoutez leurs conseils et acceptez d’être soutenu.
  • Soyez à l’écoute des signaux physiques et psychologiques que votre corps vous envoie. Ne les ignorez pas.
  • Ralentissez votre rythme. Prenez du temps pour vous, renouez avec la vie sociale, faites du sport.
  • Efforcez-vous de relativiser les situations qui se présentent à vous. Séparez votre vie professionnelle de votre vie personnelle.
  • Faites-vous accompagner par un professionnel. Cela peut aider à restaurer l’estime de soi et à apprendre à mieux communiquer.

«Structure, clarté, transparence, bienveillance ont été au rendez-vous de ce coaching enrichissant et fortifiant ! Merci à Pascale, car elle a changé ma vie ! Elle m’a redonné confiance en moi et m’a donné tous les outils nécessaires pour être sereine et mieux armée. Grâce à elle j’ai mûri et changé complètement de vision des choses. Elle a été d’une aide incroyable et pour cela je ne pourrai jamais la remercier assez !» – Agathe

Ayez toujours à l’esprit que vous êtes la personne la plus importante au monde… Pour vous-même et que prendre soin de vous n’est pas une option !

+ Lien vers vidéo burn-out

Quand consulter un professionnel ?

Si les symptômes persistent, il est crucial de consulter un professionnel. Un coach ou un hypnothérapeute peut apporter des perspectives précieuses et aider à surmonter les obstacles psychologiques liés au burn-out. À Pélissanne, plusieurs praticiens proposent des services adaptés. Une intervention précoce peut faire une grande différence dans le rétablissement et la prévention de l’aggravation des symptômes.

Les méthodes de traitement

Le traitement du burn-out peut inclure plusieurs approches. La thérapie individuelle est efficace. Travailler avec un psychologue ou un coach fournit des outils pratiques pour gérer le stress et améliorer la communication. La thérapie cognitivo-comportementale peut également aider à identifier et modifier les pensées négatives qui alimentent le stress.

Les groupes de soutien sont une ressource précieuse. Partager des expériences avec d’autres personnes permet d’apporter un réconfort. Ces groupes offrent un espace sûr pour discuter des défis et des succès.

Ateliers de gestion du stress

Participer à des ateliers de gestion du stress aide à acquérir des compétences concrètes pour faire face aux situations stressantes. Ces sessions abordent des techniques de relaxation, de gestion du temps et de communication efficace. Les participants apprennent à développer des stratégies d’adaptation pouvant être appliquées dans leur vie quotidienne.

L’importance du bien-être au travail

Investir dans le bien-être des employés est fondamental pour toute entreprise. Des employés heureux et en bonne santé sont plus productifs et engagés. Les entreprises doivent promouvoir des initiatives de bien-être prenant en compte la santé mentale et physique des employés. Cela peut inclure des programmes de fitness, des activités de plein air, ou des ateliers sur la gestion du stress. Offrir des ressources comme des abonnements à des salles de sport peut également faire une différence notable.

Programmes de bien-être en entreprise

Les programmes de bien-être doivent être diversifiés pour répondre aux besoins des employés. Cela peut inclure des cours de yoga, des séances de méditation, ou des ateliers sur la gestion du stress. Offrir des ressources variées permet de s’assurer que chaque employé trouve une méthode qui lui convient. Par exemple, des entreprises qui organisent des pauses bien-être régulières constatent une diminution du stress au sein de leurs équipes. Ces initiatives contribuent à créer un environnement de travail positif où les employés se sentent valorisés.

Flexibilité au travail

Offrir des horaires de travail flexibles permet aux employés de mieux gérer leur temps. Cela peut réduire le stress et augmenter la satisfaction au travail. Par exemple, permettre aux employés de travailler à distance quelques jours par semaine peut améliorer leur équilibre travail-vie personnelle. Des études montrent que les travailleurs ayant la possibilité de choisir leurs horaires sont généralement plus heureux et moins susceptibles de souffrir de stress lié au travail.

Culture de la reconnaissance

La reconnaissance des efforts des employés est cruciale pour maintenir leur motivation. Établir une culture de la reconnaissance, où les contributions des employés sont valorisées, contribue à prévenir le burn-out. Cela peut se faire à travers des remerciements publics, des récompenses ou des primes pour les performances exceptionnelles. Prendre le temps de célébrer les succès, même petits, a un impact significatif sur l’engagement des employés et leur satisfaction.

Témoignage – direction Vannes

Angèle, profession libérale, est sous pression, croule sous les missions, s’en veut de ne pas pouvoir toutes les mener à bien, a un sommeil agité, pique des crises de colère, s’en prend à son entourage sans raisons apparentes, a des douleurs articulaires, a un regard de bête « traquée », a du mal à se concentrer et reconnaît qu’elle « n’imprime » plus…

Dans l’accompagnement, elle prend conscience de sa mise en danger d’elle-même, alors qu’elle doit se montrer solide car elle élève seule sa fille.

Nous travaillons ensemble à restaurer l’estime d’elle-même et repensons l’organisation de ses journées. Plus tard, elle a reconnu « être passée près ». Elle a ralenti la cadence en prenant conscience qu’elle arrive à absorber les mêmes tâches avec un décalage raisonnable dans le temps sans que cela nuise à sa clientèle qu’elle a appris à discipliner aussi.

Le burn-out peut toucher tout le monde, personne n'est à l'abri ! Suivez les conseils de votre coach afin de le prévenir le plus tôt possible !

Le burn-out est un enjeu majeur dans le monde professionnel d’aujourd’hui. Connaître ses causes et symptômes, ainsi que mettre en place des stratégies préventives, est essentiel pour préserver sa santé mentale et physique. Par conséquent, si vous êtes à Pélissanne et que vous cherchez des solutions, il est recommandé d’explorer les options de coaching ou d’hypnose. Ces méthodes peuvent vous aider à mieux gérer le stress et à améliorer votre bien-être général.

Naissez pas la situation s’aggraver. Agissez maintenant pour votre bien-être et celui de vos collègues. Un environnement de travail sain est bénéfique pour tous et contribue à créer une culture d’entreprise où chacun peut s’épanouir.

L’hypnose, au coeur des préjugés

L’hypnose, au coeur des préjugés

Votre coach Pascale Garnier vous explique ce qu'est réellement l'hypnose, cette méthode qui soigne un grand nombre de patients !

L’hypnose. Ce mot évoque souvent des scènes spectaculaires où une personne perdrait toute maîtrise de ses actes. Pourtant, cette image éloignée de la réalité nuit à une pratique qui mérite d’être mieux comprise. L’hypnose est une technique utilisée depuis des siècles pour agir sur l’inconscient et permettre une transformation douce, progressive, et durable.

Dans le contexte d’un accompagnement en cabinet à Pélissanne ou en visio, elle peut répondre à de nombreuses demandes : stress, anxiété, peurs, troubles du sommeil, mais aussi confiance, motivation, ou gestion des émotions. Cette approche vient souvent compléter un travail de coaching ou s’inscrit dans une démarche de développement personnel.

Mais face aux représentations culturelles parfois caricaturales, beaucoup hésitent. Quels sont les risques ? Quelle est son efficacité réelle ? Peut-on seulement y croire ? Cet article propose de démystifier les fausses croyances liées à l’hypnose, pour mieux en comprendre le fonctionnement, les bénéfices, et les conditions de réussite. 

  • Mini-test
L’hypnose, au cœur des préjugés (typeform.com) : L’hypnose, au coeur des préjugés

1/ Avez-vous déjà entendu parler de l’hypnose ? 

  • Oui
  • Non

2/  Selon vous, l’hypnose correspond à :

  • Une technique de manipulation
  • Une méthode trop floue
  • Un moyen utile pour dépasser certains blocages

3/ Ce que vous imaginez d’un état hypnotique :

  • Une sorte de sommeil profond
  • Un état incontrôlable
  • Une focalisation intérieure

4/ Cochez les affirmations que vous jugez correctes :

  • Le praticien peut contrôler la personne
  • L’état hypnotique est irréversible
  • Le patient reste lucide durant toute la séance
  • L’hypnose entraîne une perte de mémoire totale
  • L’hypnose s’interrompt si la personne le souhaite

5/ Seriez-vous prêt(e) à vivre une séance ?

  • Oui
  • Non
  •  À voir plus tard

L’hypnose en 5 idées reçues

Idée reçue n°1 – L’hypnose relève du surnaturel 

L’hypnose ne repose ni sur des pouvoirs occultes ni sur des pratiques ésotériques. Elle s’appuie sur des connaissances psychologiques précises, souvent transmises dans des cursus destinés à des coachs, des professionnels du soin ou des praticiens en relation d’aide.

Cette technique, pratiquée à Pélissanne comme à Salon-de-Provence ou La Barben, consiste à induire un état particulier de conscience, dans lequel l’esprit devient plus disponible à des suggestions utiles. Cela permet d’agir en douceur sur certains automatismes de pensée ou sur des réactions émotionnelles.

Il ne s’agit pas d’une mise sous emprise. Rien ne se passe sans l’accord total du consultant. L’hypnose fonctionne toujours dans le respect de la personne.

Idée reçue n°2 – L’hypnose est une forme de sommeil dont nous pouvons ne plus sortir

L’état hypnotique est un état de conscience. Ce n’est ni le sommeil, ni l’éveil classique. Il ressemble davantage à un moment de concentration profonde, comme lorsqu’on est absorbé par une tâche, un paysage, ou un souvenir.

Le cerveau reste actif. L’hypnose permet de contourner certains filtres mentaux pour créer une ouverture. C’est pourquoi elle est utilisée en coaching émotionnel ou en préparation mentale, notamment pour apaiser les tensions, dépasser des freins, ou retrouver de la souplesse comportementale.

Et surtout, l’état d’hypnose est temporaire. Il se termine de lui-même ou à la demande du consultant.

Idée reçue n°3 – L’hypnothérapeute peut nous manipuler

Cette peur vient souvent de l’hypnose de spectacle. Mais en accompagnement individuel, le cadre est très différent. Le praticien ne dicte pas des actions. Il guide la personne, propose des images, des suggestions, et respecte son rythme.

À Pélissanne ou à Lançon-Provence, l’accompagnement repose sur l’écoute et la confiance. Aucune action ne peut être imposée. Le consultant garde sa capacité de réflexion, de décision, et peut intervenir à tout moment dans la séance.

Cette relation de confiance rappelle celle que l’on peut établir en coaching, où le professionnel n’est pas là pour imposer une solution, mais pour faciliter un changement choisi et assumé.

Idée reçue n°4 – L’hypnose ne fonctionne que sur ceux qui y croient

La motivation joue un rôle. Mais la croyance n’est pas indispensable. Des études ont montré que la majorité des individus sont réceptifs à l’hypnose, à condition d’être disposés à essayer.

Certaines personnes ont besoin de temps pour se sentir à l’aise avec ce type d’accompagnement. Cela ne signifie pas qu’elles ne sont pas capables d’entrer dans cet état. Simplement, leur mental a besoin d’un cadre rassurant.

Avec la pratique régulière, l’hypnose devient plus accessible. Comme pour la visualisation ou la respiration consciente, l’habitude renforce la facilité à lâcher prise.

Idée reçue n°5 – L’hypnose peut être une expérience traumatisante

L’objectif n’est pas de remuer inutilement le passé, mais d’activer les ressources internes du consultant. Parfois, certaines émotions ou souvenirs refont surface. Ce n’est pas un danger, mais un signal à écouter.

À travers l’hypnose, la personne peut observer autrement ce qui la bloque. Elle n’est pas enfermée dans l’émotion : elle apprend à l’accueillir, à en comprendre le sens, et à créer un nouveau rapport à elle-même.À Pélissanne, de nombreuses personnes vivent cette expérience en visio ou en présentiel, pour avancer sans être submergées. L’hypnose est un outil de reconstruction douce, pas une méthode brutale.

+ lien vers vidéo témoignage Se laisser glisser tout en gardant son libre arbitre

Il y a hypnose et hypnose…

Il existe différentes typologies d’hypnose, pratiquées selon l’objectif recherché ou selon le type de problématique à prendre en charge.

L’hypnose classique

Utilisée dès les débuts de cette pratique, l’hypnose classique repose sur un mode directif. Le praticien énonce des suggestions précises, parfois sous forme d’ordres. Cela peut convenir à certaines situations, mais reste aujourd’hui marginal dans l’accompagnement individuel.

  • L’hypnose médicale

Cette pratique s’inscrit dans un contexte de soins : gestion de la douleur, préparation à une opération, accompagnement en cancérologie… Encadrée par des protocoles médicaux, elle s’adresse à des professionnels spécialement formés.

On la retrouve parfois à l’hôpital, mais également en cabinet, dans le cadre d’une approche complémentaire.

  • L’hypnose de spectacle

Le but ici est de divertir. Les participants sont souvent très réceptifs, voire sélectionnés. L’objectif n’est pas thérapeutique. Il s’agit de produire un effet de surprise ou d’étonnement.

Ce n’est pas comparable à l’usage que fait un praticien sérieux, engagé dans le coaching de transformation ou la gestion des blocages profonds.

Depuis son émergence au 18ème siècle sous l’influence du médecin allemand Franz-Anton Mesmer, la pratique de l’hypnose classique a été complétée et améliorée.

L’hypnose Ericksonienne

L’Hypnose Ericksonienne Inspirée par Milton Erickson, est la plus utilisée aujourd’hui dans les accompagnements personnalisés. Elle repose sur le respect total de la personne.
Elle utilise un langage souple, symbolique, imagé. Le praticien ne commande pas. Il suggère. Il aide le consultant à accéder à ses propres ressources, à son propre rythme.

Cette hypnose est pratiquée dans de nombreux cabinets, y compris à Pélissanne et Cornillon-Confoux, et convient aux personnes qui recherchent un changement durable, sans pression extérieure.

Elle est recommandée dans de nombreux cas : manque de confiance, difficulté à prendre une décision, stress chronique, douleurs diffuses, fatigue mentale, dépendances… 

« Bien plus qu’un accompagnement, un cheminement intérieur guidé par la bienveillance et le professionnalisme de Pascale. Cela m’a offert un changement de perspective et d’angle de vue. Une expérience à vivre et à partager ! » – Diane

Témoignage – Direction Biarritz

Margot, 40 ans, chef d’entreprise à Biarritz, est une femme d’affaires pressée et une maman stressée. Face au poids de ses responsabilités et à la pression qu’elle se met, elle a beaucoup de mal à lâcher prise, à faire confiance et à déléguer, aussi bien auprès de ses équipes que de son conjoint.

Elle a besoin d’avoir un œil sur tout pour avoir l’impression de garder le contrôle. Cela a tendance à la rendre autoritaire avec tout le monde et à nuire à la qualité de ses relations avec les autres, tout comme à sa qualité de vie personnelle et celle de sa propre famille. A la maison, elle se montre impatiente et directive avec ses enfants et son compagnon exprime des signes de lassitude, voire parfois de rejet. Elle commence à prendre conscience de l’urgence qu’il y a pour elle à changer pour sauver la famille qu’elle a construite. Or elle sait pertinemment qu’elle n’y parviendra pas seule.

Margot n’a ni le temps ni l’envie de se lancer dans une psychothérapie de longue haleine. Elle a bien entendu parler des effets bénéfiques de l’hypnose mais elle est méfiante. Elle qui aime garder le contrôle, elle craint d’être embarquée contre son gré dans une aventure qui pourrait briser sa force et sa ténacité. Et si elle n’en ressortait pas « indemne » ?

Et puis l’hypnose après tout, n’est-ce pas que pour les esprits faibles qui se laissent facilement embrigader ?

Malgré ses réticences, Margot a pris contact avec moi. J’ai pu lui expliquer le déroulement et les effets auxquels elle pouvait s’attendre, aussi bien durant la séance qu’à court et moyen terme. Elle a été rassurée de savoir qu’elle resterait consciente tout du long et qu’elle pourrait sortir de son état hypnotique si bon lui semblait. Nous avons pu effectuer ensemble un travail remarquable qui lui a permis de comprendre d’où lui venait cet irrépressible besoin de tout contrôler et surtout de changer sa perception et modifier son comportement autoritaire. Aujourd’hui, ses relations professionnelles sont plus équilibrées et sa vie de famille a retrouvé plus de sérénité.

L’hypnose n’est ni mystique, ni miraculeuse. Elle repose sur des bases simples : un cadre, un objectif, un état de conscience différent, et une posture bienveillante. Elle agit en collaboration avec la personne, jamais à sa place.

Si vous résidez à Pélissanne, Aurons, Salon-de-Provence, ou ailleurs, et si vous ressentez le besoin d’avancer, de mieux comprendre ce qui se passe en vous, ou simplement de retrouver de la sérénité : cette approche peut vous convenir.

Le cabinet vous accueille en présentiel ou en visio, dans un cadre confidentiel et respectueux.

Pour en savoir plus sur les accompagnements en hypnose et coaching à Pélissanne, contactez-moi via le formulaire dédié. Un premier échange peut tout changer.

Ne laissez pas les spectacles d'hypnose vous faire croire que vous ne serez pas maître de votre corps lors des séances d'hypnose ! Vous gardez votre libre arbitre !
Dépasser ses peurs et aller de l’avant grâce à l’hypnose

Dépasser ses peurs et aller de l’avant grâce à l’hypnose

Vous ne savez pas comment dépasser vos peurs et aller de l'avant ? Votre coach Pascale Garnier vous livre son secret !

Il nous est déjà tous arrivé de ne pas oser prendre la parole en public. Bien souvent, c’est la peur d’être ridicule ou le regard des autres qui nous arrête. Pourtant, seul, devant le miroir de la salle de bain, on s’en sortait plutôt bien. Cette peur du jugement nous empêche de nous exprimer et de faire entendre notre voix. On rentre alors dans un moule et on suit un groupe ou une voie qui ne nous correspond pas.

La peur est un grand obstacle qui nous empêche d’avancer, d’atteindre nos objectifs et d’avoir la vie que l’on rêve de mener. Nous craignons les échecs et les mauvaises surprises qui ne sont que le fruit de notre imagination.

Vos peurs handicapent votre quotidien ? Vous ne savez pas comment les affronter, les dépasser et aller de l’avant ? Alors cet article est fait pour vous !

Je vous fais découvrir l’hypnose, cette méthode peu connue, qui sauve un grand nombre de mes patients grâce à son efficacité. L’hypnose agit comme accélérateur pour aller vers le changement, ce qui est un avantage à ne pas négliger.

Libérez-vous de vos peurs et changez votre vie ! Alors prêts à enfin devenir vous-même ?

Comprendre l’origine de vos peurs

Tout d’abord, selon moi, il existe trois grandes catégories de peurs :

  • Premièrement, les peurs liées au centre instinctif. Ce sont les peurs qui touchent à la survie, comme la mort, la maladie, la vieillesse ou la souffrance ;
  • Ensuite, les peurs liées au centre émotionnel. Ces peurs se produisent durant notre enfance. Elles sont liées à des blessures émotionnelles et cela peut se traduire par : la peur de l’abandon, de l’échec, de ne pas être à la hauteur, du changement, etc.
  • Et enfin, les phobies. Il n’a pas encore été démontré que la génétique avait un lien dans la transmission des phobies. Cependant, l’éducation et l’environnement familial jouent un rôle très important. En effet, un père ou une mère phobique peut transmettre à son enfant une vulnérabilité émotionnelle qui peut le prédisposer aux phobies.

Allons voir de plus près les peurs reliées au centre émotionnel, puisque ce sont ces peurs qui nous bloquent et nous empêchent d’avancer dans la vie.

Comme je l’ai dit précédemment, les peurs liées au centre émotionnel se développent pendant l’enfance. Ces peurs créent un “blocage émotionnel”, qui sont en réalité des blessures émotionnelles refoulées qu’il faut guérir.

Avant de les accepter, il faut comprendre ses peurs. Vous ne parvenez pas à le faire ? Contactez votre coach Pascale Garnier !

Les traumatismes laissés par les événements du passé, perdurent dans le temps, car ils sont constamment réactivés par le subconscient. C’est pour cette raison que l’on n’arrive pas à avancer.

Je vous donne un exemple concret : la peur de la solitude ou de l’abandon. Les personnes qui ressentent ces peurs sont dépendantes des autres. Elles sont souvent victimes de personnes toxiques, car elles développent une dépendance affective. Celle-ci, les pousse à accepter des comportements inacceptables, pourvu qu’elles ne soient pas délaissées. Dépendre des autres, c’est s’oublier soi-même et ne pas vivre sa vie. En s’effaçant totalement, le dépendant affectif sombre peu à peu dans la passivité. Les personnes qui souffrent de ce type de dépendance ont souvent peu confiance en elles et cherchent sans cesse l’approbation des autres. 

Enfin, lorsque des émotions difficiles comme la colère, la déception, la culpabilité ou bien encore la tristesse sont enfouies et non guéries, les effets secondaires affectent le bien-être général. En effet, vous pouvez vous sentir plus fatigués, démotivés ou encore de mauvaise humeur. Ces émotions vont forcément vous freiner et vous pousser à procrastiner. 

Tout cet enchaînement peut vous pousser à la dépression, car votre moral en prend un coup. Avant d’en arriver là, demandez de l’aide ! 

Comment se faire aider pour soigner ses peurs ?

Les blocages émotionnels peuvent être difficiles à reconnaître, car un nombre important de ces blocages résulte d’événements survenus à un jeune âge. Il existe aussi l’amnésie traumatique, qui vous fait oublier un épisode ou toute une partie de votre vie.

Comme évoqué dans l’article Comment l’hypnose peut changer votre vie ! (pgcoachpro.com), il existe plusieurs traitements, mais malheureusement, ils ne conduisent pas toujours à la guérison. Par exemple, les traitements médicamenteux qui sont censés vous soigner, vous exposent à d’autres problèmes.

En revanche, l’hypnose permet déjà de détecter rapidement les causes de la peur, car on va entrer dans le subconscient du patient. On détecte directement le problème et la cause. On plonge le patient dans son état pur, son état de “bébé” et on va parcourir ensemble les expériences qu’il a vécues. L’adulte d’aujourd’hui sera en capacité de comprendre ce qu’il s’est passé et pourra clarifier cette compréhension qui a manqué à l’enfant qu’il était. Cet enfant intérieur sera donc apaisé et toutes ses qualités, valeurs et capacités vont pouvoir émerger.

Il faut se faire aider pour affronter ses peurs et surtout avancer !

Évidemment, le travail ne se fait pas en une fois. Il faut respecter et suivre le rythme du patient, on avance à son allure. Au fur et à mesure des séances, la personne se réapproprie, ses qualités oubliées ou enfouies et les utilise dans son présent et dans son futur. Elle visualise les corrections nécessaires à apporter et définit les actions à appliquer. 

En hypnose, on travaille sur l’estime de soi. On amène la personne à revivre des événements où elle se sent fière de ses propres accomplissements. Se remémorer les situations où elle a fait des choses positives pour les autres n’est pas l’objectif.

Les gens confondent souvent l’estime de soi et la confiance en soi. Ce sont pourtant deux choses différentes. L’estime de soi, c’est le volant et le moteur d’une voiture, la confiance, ce sont les roues entraînées par le moteur une fois en marche. 

L’estime de soi correspond à l’identité de la personne. La confiance représente l’ensemble de ses capacités et de ses compétences. Si la personne a suffisamment d’estime pour elle, elle se met en action et stimule sa confiance en elle. Toutes ces actions contribuent à lui offrir un retour d’information dont elle a besoin pour savoir si elle est sur la bonne voie.

Débarrasser le subconscient de ses émotions négatives en neutralisant les événements négatifs permet de libérer l’énergie nécessaire pour aller de l’avant. C’est pour cette raison que je pratique l’hypnose sur mes patients. Après nos séances, ils sont libérés de leurs peurs et pleinement épanouis.

Zoom sur Avignon

Rémy, 27 ans, vit près du Palais des Papes d’Avignon depuis peu.

“J’ai emménagé à Avignon il y a quelques mois pour rejoindre ma conjointe Lucie.

Au début de notre relation, tout se passait bien. Nous allions au restaurant, au cinéma et faisions nos activités préférées ensemble, comme un couple normal finalement.

Seulement, à un moment donné, le schéma habituel se répétait : possessivité, jalousie, suspicions, approbation, insécurité…

Lucie est une personne attentionnée et très présente pour moi, mais avant mes séances d’hypnose avec Pascale, je ne me rendais pas compte que je lui en demandais trop. Notre relation, qui avait si bien commencé, se transformait peu à peu en une relation toxique. C’était insupportable à la fois pour moi et pour elle. En discutant avec une amie, je me suis d’abord rendu compte que ce n’était pas normal que dans toutes mes relations le même schéma se répète. J’ai fini par me dire que le problème ne provenait pas uniquement des autres… Au final, j’avais besoin de voir quelqu’un pour comprendre pourquoi mes relations sont toutes similaires et qu’est-ce que je dois faire pour que cela change.

J’ai alors entamé mes recherches et je suis tombée sur plusieurs articles qui parlaient de l’hypnose. Les articles vantaient les bienfaits et la capacité à lire en soi comme dans un livre pour “accepter et avancer”.

Bien sûr, au départ, j’étais réticent et je me suis dit que c’était sûrement faux. Je n’arrivais pas à croire que quelque chose qu’on pratique d’habitude pour faire rire les gens pouvait m’aider à me comprendre.

Mais ça, c’était avant de rencontrer Pascale ! Elle a pris le temps de m’expliquer ce que c’était l’hypnose, les différents types d’hypnose et le déroulement des séances. Elle a également pris le temps de me rassurer et de m’expliquer qu’elle n’allait pas travailler seule, que nous serions deux, elle et moi.

Je ne saurais pas vraiment l’expliquer, mais je ne dormais pas et en même temps, je n’étais pas éveillé.

Pascale m’a replongé dans mon enfance. Cela m’a permis de comprendre mon besoin de réassurance constant. Elle m’a ensuite fait visualiser les moments où je me suis senti fier de moi. Cela m’a permis de réaliser que je valais quelque chose et que j’étais capable d’être comblé par mon image sans avoir besoin de l’approbation des autres.

En toute bienveillance, après la séance, Pascale a pris le temps de répondre à mes questionnements. Elle est très attachée au respect de la personne dans sa personnalité, ses valeurs ou son rythme.

Aujourd’hui, j’ai réussi à dépasser ma dépendance affective et ma peur de l’abandon. J’ai repris confiance en moi, ce qui me permet d’être heureux et épanoui. Non seulement, j’ai réussi à soigner les blessures qui m’empêchaient de vivre, mais j’ai également réussi à ne plus faire vivre un cauchemar à Lucie. Notre relation est redevenue saine et nous communiquons mieux.

Merci Pascale pour ce renouveau et le travail que vous faites !”

Affrontez vos peurs pour avancer avec votre coach Pascale Garnier !
Comment soigner un syndrome du Stress Post Traumatique ?

Comment soigner un syndrome du Stress Post Traumatique ?

Stress Post Traumatique, comprendre ce que c'est et se soigner avec votre coach Pascale Garnier !

Adopter les techniques qui vous aident à venir à bout du Syndrome du Stress Post Traumatique

« A mes patients dont le corps n’a rien oublié et qui m’ont tout appris ». Cette citation issue du livre Le corps n’oublie rien de Bessel Van der Kolk illustre parfaitement l’approche globale d’une prise en charge du stress post-traumatique. Ce psychiatre reconnu, professeur à Boston University et fondateur du Trauma Center de Boston, a bousculé les certitudes d’une discipline encore très centrée sur la prescription.

Longtemps mis de côté, son travail est aujourd’hui une référence. Il rappelle que pour aider une personne atteinte de stress post-traumatique, il ne suffit pas de traiter les symptômes visibles. L’accompagnement doit aussi tenir compte de la mémoire du corps. Cela demande du temps, de la régularité et un cadre sécurisant. C’est souvent l’alliance de plusieurs techniques qui permet des résultats durables. Le stress post-traumatique se manifeste de manière variée, parfois trompeuse. Certaines personnes cumulent des diagnostics qui ne les soulagent pas. Des troubles anxieux aux insomnies en passant par des douleurs corporelles inexpliquées, les signes prennent des formes multiples.

La solution ne réside pas toujours dans les médicaments. Des alternatives naturelles telles que l’hypnose ou le coaching méritent toute leur place dans un parcours de soin. Ces approches, disponibles en cabinet à Pélissanne ou à distance en visioconférence, offrent des outils efficaces pour retrouver un apaisement durable. Il est essentiel de proposer une écoute attentive et des méthodes progressives qui respectent le rythme du patient.

Le Syndrome du Stress Post Traumatique : un traumatisme comme un autre ?

Il y a les petits traumatismes du quotidien…

Il existe des expériences marquantes, même lorsqu’elles paraissent banales. Certaines laissent une trace, d’autres disparaissent naturellement. Tout dépend de la façon dont le cerveau les enregistre. Chaque cerveau réagit différemment selon la situation, l’intensité perçue et les ressources internes de la personne concernée.

Vous avez peut être subi un traumatisme que votre cerveau a effacé. Consultez un professionnel pour savoir si vous êtes victime du Stress Post Traumatique ou non.

L’exemple d’Hélène et Aurore l’illustre bien. Une chute de vélo, un visage ensanglanté, une mère paniquée. Cet événement n’a pas provoqué de trouble majeur. Il a été verbalisé, digéré. Mais lorsqu’un événement implique une menace vitale ou un sentiment profond d’impuissance, les mécanismes internes changent. L’événement devient alors traumatique, car il dépasse les capacités de régulation du cerveau.

Dans ces situations, le stress devient extrême. Le corps et le cerveau enregistrent une mémoire traumatique. Cette trace ne se dissipe pas avec le temps. Elle reste, parfois silencieuse, parfois présente au quotidien. L’hypnose permet d’accéder à ces souvenirs figés, de les mettre en mots. Le coaching peut ensuite accompagner la reconstruction identitaire. Ces deux outils sont complémentaires et renforcent les capacités de résilience des personnes suivies.

Et les événements qui laissent une marque indélébile…

Le stress post-traumatique découle souvent d’une expérience insoutenable. Le terme « empreinte » utilisé par Bessel Van der Kolk illustre cette trace laissée autant dans le corps que dans le cerveau. Cette empreinte se manifeste par une surcharge émotionnelle qui reste enfermée, inexpressible et parfois insidieuse. Elle influence les comportements, les réactions et les décisions, souvent à l’insu de la personne.

Trois grandes familles d’événements sont fréquemment identifiées comme éléments déclencheurs :

  • Une confrontation directe avec la mort (attentats, guerres, homicides)
  • Une menace de mort subie (tentative d’assassinat, agression grave)
  • Une agression sexuelle (viol, attouchements par une personne proche)

Ces situations génèrent des troubles durables. Le stress s’infiltre dans la mémoire, l’attention, le sommeil, les relations sociales. Il devient difficile de maintenir une vie sociale stable, une activité professionnelle régulière ou des liens affectifs solides. À Pélissanne, les accompagnements spécialisés en hypnose permettent de relancer les processus naturels de régulation. Les patients peuvent aussi opter pour un suivi à distance, accessible depuis des communes proches comme Salon-de-Provence, La Barben, Lançon-Provence ou encore Aurons.

Quand la mémoire vous fait défaut…

Les dernières données de l’INSERM sont claires : un stress post-traumatique pris en charge rapidement peut être résolu en quelques semaines. Mais dans 20 % des cas, il devient chronique. Cette chronicité entraîne une altération du quotidien. Le trouble s’enracine et modifie la perception du monde et de soi-même. Cela peut conduire à un isolement progressif.

Le syndrome du Stress Post Traumatique se soigne. On peut opter pour les médicaments, ou alors l'hypnose !

Ce trouble s’exprime souvent par des phénomènes de reviviscence. L’esprit s’enferme dans des boucles mentales. Les flash-back peuvent être aussi vifs que l’événement initial. Le patient le revit sans pouvoir le verbaliser. Le regard se vide, la posture se fige. C’est une projection interne que l’extérieur ne peut percevoir. L’entourage peut se sentir impuissant ou désemparé.

Les anciens combattants sont souvent concernés. Leurs souvenirs s’imposent, même des années après les faits. Les mots manquent, la douleur persiste. Une prise en charge par l’hypnose ou un coaching ciblé à Pélissanne peut rétablir une sécurité psychique. Ces techniques redonnent un cadre, une structure et permettent de faire circuler l’énergie bloquée par le traumatisme.

C’est exactement ce qui s’est passé pour Benjamin, 39 ans, ancien soldat. Il a été plusieurs fois en mission en Afghanistan après les attentats du 11 novembre. Un jour, il a été pris en embuscade avec 4 de ses pairs. Il en a réchappé, mais ne peut oublier le visage de ses camarades ensanglantés et sans vie gisant sur ce sol souillé de rouge. Au retour de cette dernière mission, il prend une décision irrévocable : quitter l’armée. Il en a fait part à son chef, sans lui expliquer pourquoi. Seule la façon dont les mains de Benjamin se tordaient, son regard horrifié et sa bouche tordue de douleur ont convaincu le lieutenant de ne pas le renvoyer sur le terrain. Son cerveau sait qu’il a vécu un traumatisme, mais il était incapable de le mettre en mot.

C’est le cas de nombreux vétérans de guerre.

7 signes qui montrent que vous êtes atteints du Syndrome Stress Post Traumatique

Quand les premiers signes émergent…

Les symptômes peuvent apparaître dans les mois suivant le choc initial, mais certains se manifestent plus tardivement. La mémoire traumatique fonctionne en dehors du temps. Des années peuvent s’écouler avant que les effets ne deviennent visibles. Les personnes concernées vivent souvent avec une alerte interne constante. Ce sentiment d’insécurité permanente perturbe leur rapport au monde, à l’autre et à eux-mêmes.

Une longue liste proportionnelle à la douleur ressentie

Voici quelques manifestations récurrentes :

Hypervigilance constante.

Sensation de panique accompagnée de manifestations physiques : sueurs, tachycardie, tremblements.

Pensées obsédantes provoquant angoisse ou abattement.

Reviviscences soudaines sous forme de flashs.

Difficultés dans les relations intimes.

Manque de concentration.

Troubles du sommeil.

Il y a des signes qui ne trompent pas ! Si vous êtes parfois envahi (e) par un sentiment de peur sans pouvoir agir dessus, consultez un professionnel !

À ces symptômes s’ajoutent parfois une irritabilité chronique, une grande fatigue, ou encore une perte de motivation. Une majorité de réponses affirmatives à ces situations peut indiquer un stress post-traumatique. Un psychiatre ou un hypnopraticien pourra proposer une évaluation précise. Le cabinet de Pélissanne propose également des séances à distance pour s’adapter aux contraintes géographiques ou personnelles. Ce format est particulièrement apprécié dans les villes voisines où les structures de soin spécialisées sont peu nombreuses.

Quelles méthodes peuvent guérir le SSPT ?

Il y a les méthodes traditionnelles …

Lorsque le diagnostic est posé rapidement, un traitement peut être mis en place. Le DSM-5 structure encore la plupart des prises en charge classiques. Les psychiatres prescrivent souvent des antidépresseurs ou des anxiolytiques. Ces substances soulagent certains symptômes mais ne résolvent pas l’origine de la souffrance.

Certaines psychothérapies, comme les TCC, l’EMDR ou l’hypnose, offrent des alternatives pertinentes. Ces approches travaillent sur les racines du traumatisme. Elles sont progressives, structurées et s’adaptent à la singularité de chaque personne. L’hypnose, pratiquée à Pélissanne ou en visio, permet d’accéder à des souvenirs non verbalisés. Elle offre un espace de reconnexion avec soi, sans revivre l’intensité de l’événement. Le coaching post-thérapeutique vient ensuite soutenir les transformations engagées.

Un suivi peut s’étendre sur plusieurs mois. Il associe souvent hypnose et coaching, ce qui permet de réactiver des ressources oubliées. Le travail mené en séance donne naissance à des changements profonds dans le quotidien. Ces accompagnements sont également disponibles pour les habitants d’Eyguières, Vernègues ou encore Sénas, qui recherchent une alternative de proximité ou en ligne.tisme passé. Mais laissons Noémie en témoigner…

Zoom sur la ville de Bayonne

Noémie, 29 ans, future maman et formatrice au GRETA.

J’ai mis entre parenthèses ma carrière pour vivre pleinement ma grossesse. Avec mon compagnon, nous attendons cet événement avec impatience. Et pour cause, sans pouvoir l’expliquer, je ressens une gêne dans les moments intimes avec mon compagnon. Ce qui n’a pas facilité la conception. Même si Benoît m’assure que cela ne le gêne en rien, car il est fou amoureux de moi, je ne peux m’empêcher de culpabiliser.

Un jour en promenade dans les ruelles de Bayonne, je me suis arrêtée quelques instants au pied du pont du quartier St Esprit. J’appréhende toujours de passer au-dessus d’un point d’eau, et ce, depuis toute petite. Mais cette fois-ci, peut-être sous l’action des hormones de la gestation, plusieurs flash-back m’envahissent. Des souvenirs désagréables remontent à la surface et me mettent dans un état à la limite de la crise épileptique. Je prends alors un taxi pour rentrer et m’isoler.

J’avais besoin d’aide et j’ai alors pensé à prendre de nouveau contact avec Pascale. Nous avions déjà travaillé ensemble, car elle m’avait déjà coachée pour quitter mon travail de serveuse pour devenir formatrice. Je lui ai exposé la situation très désagréable que je venais de vivre. Pascale, me propose de réaliser une séance d’hypnose pour identifier et faire remonter mes souvenirs enfouis. À ma grande surprise et pour le plus grand des désarrois, les souvenirs m’assaillent et je me souviens avoir été victime d’attouchements par un de mes voisins au bord du canal qui jouxtait la maison de mes parents.

Passé la considération du traumatisme, Pascale m’a aidé à mettre en mots mes émotions et je ne la remercierai jamais assez ! Le travail n’est pas terminé, mais je sais que la guérison est au bout du chemin !”

Dites adieu au syndrome du Stress Post Traumatique avec les séances d'hypnose proposées par votre coach Pascale Garnier !
L’automne une période propice à la dépression saisonnière

L’automne une période propice à la dépression saisonnière

Qui dit automne, dit dépression saisonnière. Mais pas avec votre coach Pascale Garnier !

L’automne vous rend-il maussade ? Gare à la dépression saisonnière

Nous sommes officiellement entrés dans l’automne la semaine dernière. Pour certains, cette période est très appréciée. La baisse des températures appelle au cocooning et à se blottir sous un plaid en écoutant la pluie, ou à déguster un chocolat chaud au coin du feu, ou bien encore à ramasser des champignons en forêt…

Pour d’autres, comme certains d’entre vous qui êtes sujet à une dépression saisonnière, une longue période sombre s’annonce. Pour vous, l’automne s’apparente davantage à un sol boueux où vous risquez de glisser, à un enfermement forcé à cause du temps pluvieux et surtout à une faible luminosité due aux nuages gris et persistants.

Toutes ces idées noires, influent chaque jour un peu plus sur votre moral. Si cela ne durait que quelques jours, vous seriez en capacité de vous faire une raison… Or, cette période risque de s’étendre jusqu’au printemps prochain, soit 6 longs mois à broyer du noir !

Chaque année, vous appréhendez cette période sans pouvoir y échapper ? Vous êtes à la recherche d’une solution pour mettre définitivement fin à ce cercle vicieux qui vous plonge chaque année dans la dépression saisonnière ? Alors cet article va vous éclairer.

Quelles sont les causes de la dépression saisonnière ?

Facteur principal : la baisse de luminosité

Le facteur principal à l’origine de la dépression saisonnière est sans conteste le manque de luminosité naturelle. Mais ce dernier impacte chacun d’entre nous à différents degrés bien sûr. Alors quand peut-on parler de pathologie clinique ? Le DSM 5 qui fait office de référence dans la catégorisation des maladies psychologiques est psychiatrique définit plusieurs critères :

  • Ce type de dépression doit intervenir à la même période et ce chaque année : soit à l’entrée de l’automne, soit à l’entrée de l’hiver ;
  • La récurrence de ce phénomène doit apparaître au moins deux années de suite chez le patient de ce type ;
  • La phase dépressionnaire doit subsister au moins jusqu’au printemps suivant.

Il y a plusieurs facteurs qui déclenchent une dépression saisonnière. La baisse de luminosité en automne en fait partie !

Liens entre luminosité et régulation hormonale

À l’entrée dans l’automne, vous avez sans doute été interpellé par la vitesse à laquelle les arbres se dénudent de leurs feuilles. Il en va de même pour la luminosité. Le choc est violent, puisque nous passons d’une luminosité égale à 100 000 lux au cours des journées d’été les plus lumineuses à 2 000 lux, pour les journées hivernales les plus nuageuses.

La mise en corrélation de l’influence de cette baisse de luminosité et la baisse de moral, nous la devons au psychiatre et chercheur Dr Norman E.Rosenthal. Ses découvertes remontent au début des années 80, au National Institute of Mental Health. À cette même période a été découverte la luminothérapie. Après avoir exposé aux rayons lumineux artificiels à large spectre, certains des patients atteints de dépression saisonnière, il a fait le constat suivant : les symptômes diminuent.

L’automne joue-t-il avec votre horloge interne ? 

Comment la lumière peut-elle influer à ce point notre humeur ?

Pour faire simple : l’œil influe sur le cerveau qui modifie les sécrétions hormonales. Oui, mais de quelle manière ? Une fois que les rayons lumineux entrent dans l’œil, ces derniers sont codés sous forme de signaux électriques pour être “lus” par le cerveau. Le cerveau, ordinateur très puissant, enregistre ces informations via les neurones. Les neurones qui vont agir sur les neurotransmetteurs : petites molécules chimiques. Parmi elles, on relève principalement 2 hormones que sont : la sérotonine et la mélatonine.

La sérotonine régule différentes fonctions vitales telles que : l’humeur, le sommeil, les risques de dépression, l’agressivité… Et elle régit la sécrétion de mélatonine. Celle dernière assure quant à elle, l’équilibre des rythmes circadiens : jour/nuit. La sécrétion de cette dernière est réduite en plein jour pour vous permettre de rester éveillé et elle est accélérée la nuit pour vous pousser dans les bras de Morphée. Or, une diminution brutale de la quantité de lumière naturelle a pour effet chez certains, comme vous qui souffrez de dépression saisonnière, de récolter une horloge interne toute déréglée.

Les effets néfastes sur le mental liés à l’entrée dans l’automne

S’il s’agit d’un épisode sporadique, tant mieux pour vous ! Mais, si chaque année, le scénario se reproduit, il y a fort à parier que vous devez en être victime. Les symptômes peuvent être variés en fonction de votre profil, mais les conséquences sont toutes aussi pénibles à vivre au quotidien. 

Marie, 21 ans, étudiante en fac d’Anglais depuis 2 ans à Montréal.

Chaque année, c’est la même chose, elle entame l’année universitaire sur les chapeaux de roue, puis à l’arrivée de l’automne, son réservoir d’énergie s’épuise. Elle rentre dans un état de fatigue qui lui pèse au quotidien. Elle s’affale dans l’amphi où elle résiste pour ne pas s’endormir. Et le soir, elle est victime d’insomnie. Son horloge biologique fonctionne à l’envers. Les répercussions ne se font pas attendre sur sa productivité. Elle n’arrive plus à se concentrer.

Par conséquent, suivre les cours devient difficile. Si vous aussi vous êtes étudiant et dans la même situation, vous savez que ce cercle infernal nuit grandement à votre parcours universitaire. Il va remettre en jeu toutes vos chances de réussite. L’année précédente, Maria a pu rattraper le temps perdu entre mars et juin, période où son moral est remonté en flèche avec l’avènement du printemps. Mais elle a décroché son année de justesse. Plus les années passent, plus la charge de travail augmente, si elle ne trouve pas de solution, elle risque de rater son diplôme universitaire.

Sofiane, 41 ans, père d’une petite fille et marié depuis 3 ans.

Chaque année, la femme de Sofiane, Cécile, lui fait la même remarque : “l’automne ne te va pas !”. Effectivement, à cette même période, depuis qu’ils se connaissent, cela fait environ 10 ans à présent, Sofiane qui est habituellement souriant devient triste et irritable. Si c’était passager, personne n’y prêterait attention.

Or, cela influe sur leur couple et leur vie de famille. Vous avez sans doute déjà pu vous aussi éprouver cela : un rien vous agace, vous criez sur vos enfants à la moindre bêtise et pour ne rien arranger, votre libido descend en flèche… Cécile, sa femme, même si elle l’aime énormément, commence à saturer face à la récurrence de cette situation. Par dessus tout, elle ne supporte plus que son mari s’emporte sur leur petite fille de 2 ans à la moindre incartade.

Si Sofiane ne veut plus être victime de la dépression saisonnière, il va devoir se prendre en main. Les traitements qu’il a déjà pris au cours des années précédentes n’ont eu aucun effet. Il va donc devoir se pencher sur une autre alternative.

L’hypnose : un remède naturel pour éviter la dépression saisonnière

Cet automne, optez pour l'hypnose afin de vous sortir de la dépression saisonnière !

Si comme Sofiane et Marie, vous voulez vous débarrasser définitivement de la dépression saisonnière, faites appel à un hypnothérapeute. Pour en savoir plus sur cette technique à proprement parler, nous vous invitons à lire un de nos articles précédents. Aujourd’hui, nous vous proposons de vous prouver en quoi l’hypnose agit spécifiquement sur cette pathologie. Ce qui caractérise la dépression saisonnière, nous l’avons déjà dit, c’est le manque de lumière naturelle. Alors le coach en hypnose va vous accompagner au son de sa voix, vers des lieux emplis de chaleur.

Ces derniers vont vous procurer des sensations physiques positives. Vous entrerez alors dans un cocon fait sur mesure, rien que pour vous ! Le coach en hypnose vous entraînera à retrouver ces sensations par vous-même par le biais d’exercices quotidiens. Ainsi, vous prolongez les effets de la séance sur le long terme. C’est tout l’intérêt de pratiquer l’hypnose avec un coach. En effet, ce dernier, tout comme Pascale, ne se limite pas au bien-être délivré uniquement pendant la séance. Il prend en compte votre mal-être quotidien et vous donne des exercices à reproduire chaque jour pour obtenir l’effet escompté. Vous devenez acteur de votre guérison.

Zoom sur Montréal

Valérie 62 ans, mamie épanouie, veuve depuis 4 ans, à Montréal

“J’ai lu dernièrement que 18 % des gens sont touchés par une dépression saisonnière au Canada. C’est d’autant plus vrai au Nord-est, comme à Montréal chez moi, où les hivers sont longs et rudes. C’est à la lecture de ces quelques lignes que je me suis questionnée sur ma propre dépression saisonnière.

Je suis une enseignante retraitée et comblée. Je suis bénévole dans de nombreuses associations et passe beaucoup de temps avec mes petits-enfants de respectivement 6 et 9 ans qui habitent à proximité de chez moi. Cependant, chaque année, mon fils et ma belle-fille s’inquiètent pour moi. Plus précisément, pour mon moral. À chaque entrée dans l’hiver, je deviens morose. Les journées raccourcissent et agissent sur ma bonne humeur. J’ai moins envie de m’adonner à mes activités quotidiennes. Il en va de même pour le bénévolat qui me passionne habituellement. Mon fils me fait également ressentir, que j’ai l’air “ailleurs” lorsque je m’occupe des petits.

Chaque année, l’arrivée du printemps dissipe tous ces nuages noirs et le moral est de nouveau boosté. Or, que ce soit pour moi ou mes proches, je commençais à en avoir assez d’appréhender cet hiver qui me pèse tant. Alors, à force de visionner des vidéos et de lire des articles sur le net, je suis tombée sur cette vidéo de Pascale qui traitait des bienfaits de l’hypnose. Touchée par son discours et sa spontanéité, je n’ai pas hésité longtemps. Je l’ai contactée pour une première séance à distance. Conquise et ravie des effets obtenus rapidement, j’ai réalisé plusieurs séances qui m’ont beaucoup aidée.

J’ai traversé le dernier hiver d’une manière totalement différente. Je me suis concentrée sur les éléments positifs de cette saison et sur tous les petits bonheurs qui m’entourent au quotidien. Merci pour tout Pascale !”

L'automne, une période propice à la dépression. Ne vous laissez plus abattre et faites appel à votre coach Pascale Garnier !
Comment l’hypnose peut vous offrir le déclic qui changera votre vie ?

Comment l’hypnose peut vous offrir le déclic qui changera votre vie ?

De nos jours, 1 personne sur 5 souffre de dépression. Faites-vous accompagner par un coach, l'hypnose peut être une solution.

Après avoir tout essayé, l’hypnose sera sûrement LA solution à vos problèmes

Face à des épreuves répétées, à un mal-être profond ou à une perte de repères, il est fréquent de chercher une solution durable. Parfois, après avoir consulté plusieurs spécialistes, tenté divers traitements, suivi des recommandations classiques, rien ne semble suffisant. Pourtant, un déclic peut tout changer. Ce déclic, certains le trouvent grâce à l’hypnose.

Selon l’INSERM, une personne sur cinq fera face à la dépression au cours de sa vie. Ce chiffre met en lumière une réalité inquiétante. Entre 5 % et 20 % des personnes concernées en viennent à envisager l’irréparable. Même avec un accompagnement thérapeutique et médical, près de 30 % des cas n’évoluent pas favorablement. Pour ces personnes, les approches classiques ne suffisent plus. C’est là que l’hypnose et le coaching prennent tout leur sens, notamment dans une démarche personnalisée et centrée sur l’humain, comme celle proposée à Pélissanne, en présentiel ou à distance.

Quelles sont les causes de la dépression ?

La dépression est devenue un terme courant, parfois utilisé à tort. Pourtant, il s’agit d’un trouble sérieux, profond, aux causes multiples. Des événements douloureux, des charges émotionnelles anciennes, une fatigue psychique accumulée ou une sensation de vide intérieur peuvent en être à l’origine.

Elle ne fait pas de distinction d’âge, de profession ou de situation. Enfants, adultes, personnes âgées, tout le monde peut être concerné. La solitude, les pertes affectives ou les transitions de vie mal accompagnées en sont souvent le point de départ.

À Pélissanne, de nombreuses personnes souffrant de ce trouble viennent chercher une alternative. Elles cherchent non pas une simple méthode, mais un changement durable. Le coaching allié à l’hypnose leur offre un cadre rassurant pour commencer ce processus.

Comment se manifeste-t-elle ?

L’un des signes les plus fréquents est une perte d’envie générale. Les petits plaisirs disparaissent, la motivation s’efface. Ce qui apportait de la joie auparavant devient sans intérêt. Le cerveau semble figé dans une boucle de pensées négatives.

Difficulté à se concentrer, isolement, troubles du sommeil, sentiment de fatigue permanente : ces symptômes reviennent souvent dans les échanges avec les personnes accompagnées à Pélissanne. Le quotidien devient lourd. Chaque action demande un effort considérable. Le regard des autres n’aide pas, car rien ne semble visible de l’extérieur. Pourtant, à l’intérieur, tout vacille.

Nous avons parfois l'impression qu'il n'y a pas d'autres issus que les médicaments pour soigner la dépression. Heureusement un coach peut vous aider à vous en sortir avec des séance d'hypnose.

D’un point de vue extérieur, rien ne transparaît…

Prenons l’exemple de Lucile, 29 ans, couturière de mode. Elle a toujours débordé d’idées. Depuis quelques mois, elle peine à créer. Son atelier, autrefois source de fierté, devient un poids. Les commandes s’empilent, la culpabilité grandit.

Autour d’elle, les proches remarquent le changement, mais Lucile garde le silence. Comme beaucoup, elle préfère s’enfermer dans ses pensées. Son estime s’effrite. Lorsqu’elle consulte un professionnel, un traitement lui est prescrit. Mais rapidement, elle ressent les effets secondaires. Rien ne s’améliore durablement.

À ce stade, ce qui manque à Lucile, c’est ce fameux déclic, cette étincelle qui l’aidera à sortir de l’impasse. L’hypnose peut alors faire émerger une issue.

Des traitements inefficaces 

Débuter par un traitement médical approprié

Pour nombre de patients, le chemin commence avec la médecine traditionnelle. Elle est souvent nécessaire, parfois indispensable. Mais ces solutions ont leurs limites. Elles traitent certains symptômes sans toujours atteindre la racine du mal.

Les antidépresseurs, par exemple, agissent sur l’humeur, mais au prix d’effets secondaires : troubles digestifs, variation de l’appétit, fatigue excessive… Beaucoup de personnes accompagnées à Pélissanne, ou en visio dans les alentours (comme Salon-de-Provence, Lançon-Provence, Lambesc…), évoquent une sensation d’engourdissement plus qu’un mieux-être.

Ce type de traitement apporte parfois du répit, mais rarement un changement intérieur profond. Il manque cette prise de conscience qui transforme durablement. Ce fameux déclic dont on parle tant.

L'hypnose peut être une alternative aux médicaments. On peut donc se soigner en évitant la dépendance médicamenteuse.

La dépendance médicamenteuse : un cercle vicieux difficile à briser

Lucas, 43 ans, a perdu son emploi. Depuis, ses nuits sont sans repos. Après plusieurs semaines à lutter contre l’insomnie, il consulte son médecin traitant, qui lui prescrit un antidépresseur. Les premières prises lui apportent un soulagement partiel : il dort enfin. Mais très vite, les effets secondaires s’accumulent. Nausées matinales, maux de tête, somnolence… Chaque réveil devient plus lourd que le précédent. Il se sent engourdi, ralenti, incapable de mener une journée normale.

À la longue, Lucas entre dans un cycle répétitif. Sans traitement, il ne parvient plus à dormir. Avec, il vit ses journées dans un brouillard constant. Il n’arrive plus à se projeter dans une reprise d’activité professionnelle. Sa motivation diminue. Il ne voit plus d’issue. Pire : le simple fait d’interrompre son traitement l’angoisse. Ce mélange de fatigue, de culpabilité et de manque de repères devient un frein à toute tentative de reconstruction.

Ce cercle vicieux est plus fréquent qu’on ne le pense. De nombreuses personnes rencontrées à Pélissanne ou en visio partagent ce sentiment d’enfermement. Elles souhaitent arrêter les médicaments mais craignent l’effet de sevrage, veulent retrouver leur vie d’avant, sans ressentir cette sensation d’anesthésie émotionnelle. Elles recherchent une méthode qui leur permettrait d’agir sans subir. C’est là que l’hypnose entre en jeu : elle ne remplace pas un traitement médical, mais elle propose un déclic différent, en redonnant au corps et à l’esprit la capacité de reprendre les commandes. Et cela, sans dépendance.

Une psychothérapie en dents de scie

Un accompagnement thérapeutique en parallèle du traitement

Lorsque les médicaments ne suffisent pas, les médecins orientent vers une psychothérapie. Cela peut être un soutien précieux. Mais encore faut-il trouver un professionnel à l’écoute, disponible, et avec qui le lien se crée.

À Pélissanne, plusieurs personnes venues en cabinet racontent un parcours décousu. Des rendez-vous espacés, des thérapeutes différents, un manque de constance dans les approches. L’effet est souvent mitigé. La parole ne suffit pas toujours.

Certaines villes proches, comme Salon-de-Provence ou Saint-Cannat, manquent également de structures de suivi. Il est alors plus simple d’opter pour un suivi à distance, en visio, pour bénéficier de séances d’hypnose ou de coaching sans contrainte géographique.

Quand les espoirs de guérison ne sont pas là, que faire ?

Mounia, 51 ans, a perdu son conjoint après une longue maladie. Ce deuil, qu’elle pensait pouvoir traverser seule, s’est transformé en une lourde tristesse. L’absence, le silence, les habitudes à deux devenues vides… Le choc est profond. Après un passage à l’hôpital, on lui recommande de consulter un psychiatre. Elle suit les instructions à la lettre. Elle commence une thérapie. Mais très vite, les séances deviennent mécaniques. Aucun lien ne se crée. Le traitement médicamenteux est stable, mais elle, elle ne bouge plus.

Elle reste figée dans une douleur sourde. Elle entre dans cette fameuse phase quatre du deuil, celle de la tristesse prolongée. Et cette phase, si elle dure trop longtemps, devient un risque. Car à force de ne plus rien ressentir, elle ne fait plus de projets, ne voit plus personne. L’isolement devient son quotidien. Chaque jour se ressemble. Elle ne sait plus pourquoi elle se lève.

Dans ce type de situation, ce qu’il manque, ce n’est pas un rendez-vous de plus, ni une dose ajustée. Ce qu’il manque, c’est un élan nouveau. Une impulsion intérieure qui fait que quelque chose bascule. Un déclic. L’hypnose, surtout lorsqu’elle est intégrée dans un accompagnement de coaching, ouvre une autre voie. Elle ne se contente pas d’écouter. Elle agit dans l’instant, en mobilisant ce qu’il reste d’envie enfouie. C’est ce que recherchent beaucoup de personnes de Pélissanne, de Lambesc, ou de Salon-de-Provence : une manière de retrouver une lueur sans devoir attendre des mois. Un soulagement perceptible dès les premières séances, sans effet secondaire.

Il faut se faire suivre par un thérapeute en parallèle du traitement. Un coach pourra également pratiquer l'hypnose.

5 apports de l’hypnose pour guérir de la dépression

L’hypnose reste peu connue du grand public, souvent entourée de préjugés ou d’idées floues. Pourtant, elle repose sur des principes simples et naturels. En modifiant temporairement l’état de conscience, elle permet à l’esprit d’accéder à ses ressources profondes. Là où les pensées sont figées, elle permet de relancer un mouvement. Là où la parole ne suffit plus, elle déclenche un déclic. Ce n’est pas une magie, ni une illusion. C’est un outil puissant, complémentaire, utilisé de manière concrète.

À Pélissanne, cette méthode est souvent associée à un accompagnement en coaching. Le cadre est structuré, rassurant, et les résultats sont souvent visibles rapidement. En cabinet ou en visio, les personnes repartent avec un sentiment d’allègement. Leur esprit devient plus clair. Leur corps se détend. Les idées s’organisent autrement. Elles ne ressentent plus seulement le vide : elles identifient ce qu’elles souhaitent changer.

Voici 5 apports concrets de l’hypnose dans l’accompagnement de la dépression :

  1. Modifier les pensées automatiques : l’hypnose permet de désactiver les circuits de rumination négative. En remplaçant les pensées récurrentes par des scénarios plus souples, le cerveau retrouve une respiration mentale ;
  2. Apaiser les tensions émotionnelles : elle offre un espace où la tristesse peut s’exprimer sans envahir, ce qui diminue l’intensité des émotions bloquées ;
  3. Déconstruire les croyances internes : certaines idées reçues (je ne suis pas capable, je ne mérite pas…) peuvent être remises en question en douceur, sans confrontation directe ;
  4. Réactiver la capacité à ressentir : dans un état d’hypnose, les sensations positives deviennent à nouveau accessibles. Les personnes redécouvrent ce qu’elles aiment, ce qui les touche ;
  5. Rétablir un cycle de sommeil réparateur : sans recourir à des substances, le cerveau apprend à s’apaiser naturellement, favorisant des nuits complètes et plus sereines.

Ces bénéfices sont observés dès les premières séances, que ce soit à Pélissanne ou en visio. Le processus n’est pas figé. Il s’adapte à chaque personne. Il ne s’agit pas de répéter des techniques, mais de proposer un espace où l’expérience émotionnelle peut enfin se transformer.

L'hypnose peut être une alternative pour soigner la dépression.

Zoom sur Vancouver

Iris, 19 ans, étudiante à Vancouver.

“Bien souvent avant le décès de mon père, il y a un an, nous venions nous promener régulièrement sur le pont suspendu de Capilano. C’est un pont de singe mondialement connu qui traverse le fleuve Capilano de part en part au Canada. Ma mère, mon père, mes deux sœurs cadettes et moi-même adorions venir nous promener ici et profiter de cette vue indescriptible. Il offre une vue spectaculaire sur cette surface d’eau immense. La vue varie en fonction des saisons. Aujourd’hui, il fait très humide, comme chaque hiver à Vancouver. Les 140 mètres de long me donnent l’occasion de laisser voguer mon esprit en tentant de chasser cette tristesse insoutenable qui me poursuit depuis le décès de mon père. Cette vue magnifique malgré la pluie fine persistante, met au défi quiconque de voir à plus de quelques mètres.

Ma vision de l’avenir ne m’offrait guère plus de visibilité que ce paysage. En effet, je ne voyais pas d’issue à mon mal-être malgré mon jeune âge. Je me suis donc mise comme de nombreux internautes à chercher sur Google, comment changer ma vie ? Je suis alors tombée sur la chaîne YouTube de Pascale Garnier, coach en développement. Avec un peu d’appréhension, je l’ai contactée pour lui exposer mon problème.

Pascale ne s’est pas contentée de me proposer une séance d’hypnose. Elle m’a accompagnée en véritable guide, en me proposant des exercices quotidiens. J’ai alors changé mes habitudes pour tenter de déblayer tous les éléments toxiques qui obscurcissaient mon chemin de vie. J’ai, avec Pascale, été capable de déblayer les obstacles qui m’empêchaient de dire au revoir à mon père que j’avais perdu. Je voyais de nouveau une perspective d’avenir où la joie m’attendait au bout du chemin. Alors en un mot : Merci !”.

Votre coach professionnelle Pascale Garnier vous accompagne et vous aide à sortir de la dépression avec l'hypnose.

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